La présidente du groupe parlementaire de fraternité amitié «Algérie-Sahara occidental», Saïda Bouneb, dénonce les «attaques» qui ont ciblé l’Algérie. Rejetant toute atteinte à la souveraineté nationale, elle précise que Tindouf et Béchar ne peuvent faire partie d’un autre pays et restent «indissociables» du territoire algérien. «Toutes les régions pour lesquelles le sang de nos martyrs a coulé sont des terres algériennes», dit-elle.
Intervenant hier, lors d’une rencontre de solidarité avec le peuple sahraoui organisée à Alger, à l’occasion de la présentation du dossier de la cause sahraouie au Conseil de sécurité, Saïda Bouneb a déploré le fait que les droits des Sahraouis soient «bafoués» et leurs richesses «pillées» au vu et au su de la communauté internationale. Elle a ainsi réitéré la position de l’Algérie et celle des Algériens. «La cause sahraouie est devenue une partie de nous», assure-t-elle. Et de rappeler que l’Algérie a été le premier pays à avoir soutenu cette cause, notamment la question de l’autodétermination. «L’Algérie a toujours été aux côtés de toutes les causes justes à travers le monde. La diplomatie algérienne a d’ailleurs été un exemple et une référence à travers plusieurs questions internationales».
La parlementaire cite, à cet effet, les dossiers les plus récents, ceux de la Libye et du Mali.
De son côté, le député de la wilaya de Tamanrasset, Mahmoud Guemama, estime que la question sahraouie n’a que trop «traîné». Il l’a ainsi comparée à la Révolution algérienne qui, elle aussi, «n’avait que trop duré», dit-il. Selon lui, le «nouveau colonisateur» essaye d’exploiter cette cause car, explique-t-il, «le Sahara occidental est aux frontières algériennes».
Rym Nasri
Intervenant hier, lors d’une rencontre de solidarité avec le peuple sahraoui organisée à Alger, à l’occasion de la présentation du dossier de la cause sahraouie au Conseil de sécurité, Saïda Bouneb a déploré le fait que les droits des Sahraouis soient «bafoués» et leurs richesses «pillées» au vu et au su de la communauté internationale. Elle a ainsi réitéré la position de l’Algérie et celle des Algériens. «La cause sahraouie est devenue une partie de nous», assure-t-elle. Et de rappeler que l’Algérie a été le premier pays à avoir soutenu cette cause, notamment la question de l’autodétermination. «L’Algérie a toujours été aux côtés de toutes les causes justes à travers le monde. La diplomatie algérienne a d’ailleurs été un exemple et une référence à travers plusieurs questions internationales».
La parlementaire cite, à cet effet, les dossiers les plus récents, ceux de la Libye et du Mali.
De son côté, le député de la wilaya de Tamanrasset, Mahmoud Guemama, estime que la question sahraouie n’a que trop «traîné». Il l’a ainsi comparée à la Révolution algérienne qui, elle aussi, «n’avait que trop duré», dit-il. Selon lui, le «nouveau colonisateur» essaye d’exploiter cette cause car, explique-t-il, «le Sahara occidental est aux frontières algériennes».
Rym Nasri
Commentaire