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Chariot Oil & Gas Ltd, pétro-gazier coté à Londres, a repoussé à entre fin 2016 et début 2017 le programme de forage dans ses licences de Rabat Deep couvrant 10.782 km2 au large de la cote Atlantique du Maroc, « le temps de rallier un nouveau partenaire à ce projet », indique-t-on auprès de la société.
Le report de ces activités est consécutif au refus de Woodside Petroleum Ltd, détenant 25% dans la licence, d’exercer son option pour prendre le statut d’opérateur, en acquérant des intérêts additionnels de 25%, et financer le coût du puits d’exploration, a rapporté le 21 avril Chariot dans une mise à jour sur ses actifs au Maroc. Toutefois, le géant pétro-gazier australien reste partenaire du projet avec 25% d’intérêt, contre 25% pour l’ONHYM et 50% pour le pétro-gazier britannique qui conserve le statut d’opérateur.
« Il est décevant de constater que Woodside n’a pas exercé son option, mais nous demeurons optimistes en nous fondant sur le potentiel des permis Rabat Deep, surtout sur celui révélé par le prospect JP-1 » a commenté Larry Bottomley, CEO de Chariot qui a fait état d’un moment de grands défis pour les compagnies pétro-gazières.
Bottomley ajoute qu’il est difficile de sceller un partenariat, poursuivant que c’est un climat qui pourrait être aussi une opportunité à saisir par des tiers qui cherchent à tirer profit des actifs à fort potentiel comme ceux que Chariot possède dans son portefeuille.
africatime
Le report de ces activités est consécutif au refus de Woodside Petroleum Ltd, détenant 25% dans la licence, d’exercer son option pour prendre le statut d’opérateur, en acquérant des intérêts additionnels de 25%, et financer le coût du puits d’exploration, a rapporté le 21 avril Chariot dans une mise à jour sur ses actifs au Maroc. Toutefois, le géant pétro-gazier australien reste partenaire du projet avec 25% d’intérêt, contre 25% pour l’ONHYM et 50% pour le pétro-gazier britannique qui conserve le statut d’opérateur.
« Il est décevant de constater que Woodside n’a pas exercé son option, mais nous demeurons optimistes en nous fondant sur le potentiel des permis Rabat Deep, surtout sur celui révélé par le prospect JP-1 » a commenté Larry Bottomley, CEO de Chariot qui a fait état d’un moment de grands défis pour les compagnies pétro-gazières.
Bottomley ajoute qu’il est difficile de sceller un partenariat, poursuivant que c’est un climat qui pourrait être aussi une opportunité à saisir par des tiers qui cherchent à tirer profit des actifs à fort potentiel comme ceux que Chariot possède dans son portefeuille.
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