salam
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« Les Algériens plus grands consommateurs de chocolat au Maghreb »
Par Zahra Rahmouni @ZahraaRhm |
chocolat-gourmandise-alger
Les gourmands et les curieux ont pu profiter du premier salon du Chocolat et de la Confiserie qui s’est tenu du 23 au 25 avril à Alger. Hier, samedi, ils étaient toujours aussi nombreux à se presser autour des 24 stands pour la journée de clôture de cet événement, « premier du genre en Algérie et au Maghreb » explique l’organisatrice Ismahane Okat. Celle qui a tout orchestré tire un bilan positif et prévoit déjà une deuxième édition pour février 2016.
Des professionnels du secteur
Pour cette première fois, l’organisatrice a pu compter sur la présence de nombreux professionnels du secteur. L’équipe nationale algérienne de pâtisserie, la chef cuisinière Nawel Amaoui ainsi que des instructeurs de l’ESHRA (Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger) ont répondu présent pour animer de nombreux ateliers culinaires. « C’est un beau salon, ça permet de faire découvrir plein de choses et d’évoluer dans ce domaine », explique le chef français Romain Gourmoud, instructeur à l’ESHRA, qui envisage déjà d’accompagner l’édition de 2016.
Le salon a connu une forte affluence dès les premiers jours. Des étudiants et des adultes seuls ou accompagnés de leurs enfants étaient présents pour goûter des produits de qualité. « Les Algériens sont à l’écoute », indique Fazia Messar St-Germain, qui expose de fines tartinades produites au Québec.
Pour permettre un accès plus important, les tarifs à l’entrée, initialement compris entre 150 et 250 dinars, ont été revus à la baisse.
« Valoriser le savoir-faire de nos entreprises en Algérie »
C’est la volonté affichée par Ismahane Okat qui admet que « l’on reconnaît plus la cuisine et la pâtisserie traditionnelles marocaines ou tunisiennes » au dépend de l’art culinaire algérien. « Ici, le marché du chocolat est très porteur, il pèse 150 millions d’euros selon les chiffres de ACNielsen (société spécialisée en études marketing, ndrl). Les Algériens sont les plus grands consommateurs de chocolat au Maghreb », poursuit-elle.
« C’est un volume d’affaires important, donc on a rebondi dessus, ce salon permet aux exposants de lancer ou de positionner leurs produits sur le marché. Mais c’est aussi une manière de mettre en avant notre savoir-faire. On n’a pas conscience du potentiel que nous avons ici en Algérie », conclut la communicante.
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« Les Algériens plus grands consommateurs de chocolat au Maghreb »
Par Zahra Rahmouni @ZahraaRhm |
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Les gourmands et les curieux ont pu profiter du premier salon du Chocolat et de la Confiserie qui s’est tenu du 23 au 25 avril à Alger. Hier, samedi, ils étaient toujours aussi nombreux à se presser autour des 24 stands pour la journée de clôture de cet événement, « premier du genre en Algérie et au Maghreb » explique l’organisatrice Ismahane Okat. Celle qui a tout orchestré tire un bilan positif et prévoit déjà une deuxième édition pour février 2016.
Des professionnels du secteur
Pour cette première fois, l’organisatrice a pu compter sur la présence de nombreux professionnels du secteur. L’équipe nationale algérienne de pâtisserie, la chef cuisinière Nawel Amaoui ainsi que des instructeurs de l’ESHRA (Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger) ont répondu présent pour animer de nombreux ateliers culinaires. « C’est un beau salon, ça permet de faire découvrir plein de choses et d’évoluer dans ce domaine », explique le chef français Romain Gourmoud, instructeur à l’ESHRA, qui envisage déjà d’accompagner l’édition de 2016.
Le salon a connu une forte affluence dès les premiers jours. Des étudiants et des adultes seuls ou accompagnés de leurs enfants étaient présents pour goûter des produits de qualité. « Les Algériens sont à l’écoute », indique Fazia Messar St-Germain, qui expose de fines tartinades produites au Québec.
Pour permettre un accès plus important, les tarifs à l’entrée, initialement compris entre 150 et 250 dinars, ont été revus à la baisse.
« Valoriser le savoir-faire de nos entreprises en Algérie »
C’est la volonté affichée par Ismahane Okat qui admet que « l’on reconnaît plus la cuisine et la pâtisserie traditionnelles marocaines ou tunisiennes » au dépend de l’art culinaire algérien. « Ici, le marché du chocolat est très porteur, il pèse 150 millions d’euros selon les chiffres de ACNielsen (société spécialisée en études marketing, ndrl). Les Algériens sont les plus grands consommateurs de chocolat au Maghreb », poursuit-elle.
« C’est un volume d’affaires important, donc on a rebondi dessus, ce salon permet aux exposants de lancer ou de positionner leurs produits sur le marché. Mais c’est aussi une manière de mettre en avant notre savoir-faire. On n’a pas conscience du potentiel que nous avons ici en Algérie », conclut la communicante.
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