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Des industriels et banquiers marocains ont présenté lors d’une conférence à Paris, la stratégie des entreprises du royaume de déploiement en Afrique sub-saharienne.
Le Maroc veut accélérer ses investissements en Afrique. Et Rabat tient à le faire savoir. Le Royaume entendait ainsi promouvoir ses atouts lors d’une conférence sur «L’investissement du Maroc en Afrique » ce mercredi 22 avril à Paris.
L’occasion de se présenter comme un partenaire du "développement économique solidaire avec les pays les moins avancés afin de permettre un développement endogène en Afrique", selon Chakib Benmoussa, ambassadeur du Maroc en France.
Le Maroc développe rapidement ses échanges avec le reste de l’Afrique subsaharienne (+13% en 2014, selon l’ambassadeur) même s’ils restent faibles en montant, ne représentant actuellement que 6,4% des échanges de Rabat avec l’étranger. Ainsi, le Maroc n’est que le 46ème partenaire commercial de l’Afrique en 2012 selon le rapport du think tank Amadeus "Partenariat Maroc-Afrique", publié en juillet 2014.
Les intervenant de la conférence ont mis en avant le rôle de plateforme de connexions du Maroc avec le reste de l’Afrique grâce au développement de son réseau maritime avec le port de Tanger-Med notamment, aérien grâce à la compagnie Royal Air Maroc et même terrestre avec « sa route littorale qui fait le lien avec l’Afrique subsaharienne ».
Karim Mansouri, directeur général adjoint du groupe Jacobs Engineering a vanté "la perception particulière des risques" du Maroc grâce à sa "proximité géographique, culturelle, de pensée et de vécu". Emmanuel Dupuy, associé du cabinet d’avocat Lefèvre Pelletier, va dans son sens louant « la sophistication du droit au Maroc qui accompagne l’économie ».
Pour rappel, les grandes banques marocaines (Attijariwafa, BMCE…), le géant public des phosphates OCP, le groupe immobilier Addoha mais aussi quelques PME comme DLM ou Sothema ont multiplié les investissements en Afrique sub-saharienne ces dernières années.
Le roi du Maroc après une tournée remarquée il y a un an en Côte d’Ivoire ou au Gabon doit prochainement entamer un nouveau périple à connotation politique et économique au sud du Sahara.
usine nouvelle
Le Maroc veut accélérer ses investissements en Afrique. Et Rabat tient à le faire savoir. Le Royaume entendait ainsi promouvoir ses atouts lors d’une conférence sur «L’investissement du Maroc en Afrique » ce mercredi 22 avril à Paris.
L’occasion de se présenter comme un partenaire du "développement économique solidaire avec les pays les moins avancés afin de permettre un développement endogène en Afrique", selon Chakib Benmoussa, ambassadeur du Maroc en France.
Le Maroc développe rapidement ses échanges avec le reste de l’Afrique subsaharienne (+13% en 2014, selon l’ambassadeur) même s’ils restent faibles en montant, ne représentant actuellement que 6,4% des échanges de Rabat avec l’étranger. Ainsi, le Maroc n’est que le 46ème partenaire commercial de l’Afrique en 2012 selon le rapport du think tank Amadeus "Partenariat Maroc-Afrique", publié en juillet 2014.
Les intervenant de la conférence ont mis en avant le rôle de plateforme de connexions du Maroc avec le reste de l’Afrique grâce au développement de son réseau maritime avec le port de Tanger-Med notamment, aérien grâce à la compagnie Royal Air Maroc et même terrestre avec « sa route littorale qui fait le lien avec l’Afrique subsaharienne ».
Karim Mansouri, directeur général adjoint du groupe Jacobs Engineering a vanté "la perception particulière des risques" du Maroc grâce à sa "proximité géographique, culturelle, de pensée et de vécu". Emmanuel Dupuy, associé du cabinet d’avocat Lefèvre Pelletier, va dans son sens louant « la sophistication du droit au Maroc qui accompagne l’économie ».
Pour rappel, les grandes banques marocaines (Attijariwafa, BMCE…), le géant public des phosphates OCP, le groupe immobilier Addoha mais aussi quelques PME comme DLM ou Sothema ont multiplié les investissements en Afrique sub-saharienne ces dernières années.
Le roi du Maroc après une tournée remarquée il y a un an en Côte d’Ivoire ou au Gabon doit prochainement entamer un nouveau périple à connotation politique et économique au sud du Sahara.
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