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Zahra n'summer best of
Née en 1955 -- Interprète.
De son vrai nom Anissa Kemmouche, Zahra est née le 28 février 1955 à Djemaâ Sahridj (Mekla, Tizi-Ouzou). Elle fut élevée par sa grand-mère qui était atteinte de cécité. A l'âge de 16 ans, sa mère la reprend et s'installe à Alger où elle commencé à chanter. Sa mère aimait l'art, l'avait encouragée, et l'envoyat chez Cheikh Noureddine qui la présenta à Chérif Kheddam en 1972. Ce dernier, avant de lui permettre de faire un test de voix, a discuté avec elle pendant une heure. Un test moral en quelque sorte. Sa voix l'a séduit et une semaine après, il lui fait une chanson, et elle passe à la télévision avec Salim Belkadi dans l'émission Minkoum Oua Ileikoum, Samy El Djazairi était l'animateur. C'était en Juillet 1973 et la chanson s'intitulait « Même si j'étais une jeune fille, je sais où mettre les pieds ». Après ce passage à la télévision, le public a apprécié parce que c'est la première fois qu'il voyait une jeune fille en jeans, moderne et quelques jours après, Cherif Kheddam lui composa une patriotique et c'est là dans le bureau du compositeur qu'elle rencontra Idir qui lui proposa de faire un duo avec lui. Avava I Nouva lui permet d'asseoir sa popularité en quelque sorte. Jusqu'à 1975, elle fait des tournées dans le Sud-ouest de la France, le territoire national avec son groupe Le Quatuor Numide. Elle donnait des concerts au TNA à l'époque de Taha El Amiri. En 1975, c'est le coup de foudre, elle se marie avec Noureddine, eut un petit garçon et il lui fallut s'occuper de son foyer, mais par incompatibilité d'humeur, elle divorce. Et en 1980, elle se retrouve seule, recommence à zéro, avec un enfant sur les bras en plus. Le Quatuor Numide, composé d'étudiants, n'existe plus. Mahboub Bati lui proposa alors de faire une cassette qui fut d'ailleurs un échec parce que durant les 5 ans passés à s'occuper de son foyer, loin de la scène, elle ne s'étais pas rendue compte que la musique a évolué et elle, elle démarrait avec des arrangements des années 70. Elle a arrêté toute production toute faisant beaucoup de scène et s'intéresse de plus près au cinéma. Elle tourne en 1980, un téléfilm Au Cœur de la Spirale de Bachir Belhadj, Hadj Rahim la distribue dans Barberousse (1982), Moussa Haddad l'appelle pour Libération (1982), Bougeurmouh dans Cris de Pierre (1986), elle tourne avec Aziz Benmahdjoub dans Nous irons tous sur la Montagne (1987) et enfin participe au film Errances de Djaâfar Damardji qui relate la vie d'Isabelle Eberhardt (1992). Zahra a hésité longtemps pour enregistrer. Elle sort une cassette en 1987. Sans succès. Elle voulait rencontrer un éditeur qui ait un langage artistique et pas uniquement commercial. Avec M. Laceb, elle essaye d'allier le commercial et l'artistique et sort une cassette en Mai 1992 dont Ourdjigh (L'Attente), paroles et musique d'Ait Menguellat, est la chanson générique.
De son vrai nom Anissa Kemmouche, Zahra est née le 28 février 1955 à Djemaâ Sahridj (Mekla, Tizi-Ouzou). Elle fut élevée par sa grand-mère qui était atteinte de cécité. A l'âge de 16 ans, sa mère la reprend et s'installe à Alger où elle commencé à chanter. Sa mère aimait l'art, l'avait encouragée, et l'envoyat chez Cheikh Noureddine qui la présenta à Chérif Kheddam en 1972. Ce dernier, avant de lui permettre de faire un test de voix, a discuté avec elle pendant une heure. Un test moral en quelque sorte. Sa voix l'a séduit et une semaine après, il lui fait une chanson, et elle passe à la télévision avec Salim Belkadi dans l'émission Minkoum Oua Ileikoum, Samy El Djazairi était l'animateur. C'était en Juillet 1973 et la chanson s'intitulait « Même si j'étais une jeune fille, je sais où mettre les pieds ». Après ce passage à la télévision, le public a apprécié parce que c'est la première fois qu'il voyait une jeune fille en jeans, moderne et quelques jours après, Cherif Kheddam lui composa une patriotique et c'est là dans le bureau du compositeur qu'elle rencontra Idir qui lui proposa de faire un duo avec lui. Avava I Nouva lui permet d'asseoir sa popularité en quelque sorte. Jusqu'à 1975, elle fait des tournées dans le Sud-ouest de la France, le territoire national avec son groupe Le Quatuor Numide. Elle donnait des concerts au TNA à l'époque de Taha El Amiri. En 1975, c'est le coup de foudre, elle se marie avec Noureddine, eut un petit garçon et il lui fallut s'occuper de son foyer, mais par incompatibilité d'humeur, elle divorce. Et en 1980, elle se retrouve seule, recommence à zéro, avec un enfant sur les bras en plus. Le Quatuor Numide, composé d'étudiants, n'existe plus. Mahboub Bati lui proposa alors de faire une cassette qui fut d'ailleurs un échec parce que durant les 5 ans passés à s'occuper de son foyer, loin de la scène, elle ne s'étais pas rendue compte que la musique a évolué et elle, elle démarrait avec des arrangements des années 70. Elle a arrêté toute production toute faisant beaucoup de scène et s'intéresse de plus près au cinéma. Elle tourne en 1980, un téléfilm Au Cœur de la Spirale de Bachir Belhadj, Hadj Rahim la distribue dans Barberousse (1982), Moussa Haddad l'appelle pour Libération (1982), Bougeurmouh dans Cris de Pierre (1986), elle tourne avec Aziz Benmahdjoub dans Nous irons tous sur la Montagne (1987) et enfin participe au film Errances de Djaâfar Damardji qui relate la vie d'Isabelle Eberhardt (1992). Zahra a hésité longtemps pour enregistrer. Elle sort une cassette en 1987. Sans succès. Elle voulait rencontrer un éditeur qui ait un langage artistique et pas uniquement commercial. Avec M. Laceb, elle essaye d'allier le commercial et l'artistique et sort une cassette en Mai 1992 dont Ourdjigh (L'Attente), paroles et musique d'Ait Menguellat, est la chanson générique.