(Agence Ecofin) - Le projet d’une ligne de train à grande vitesse (TGV) reliant les trois pays du Maghreb central revient sur le dessus de la pile. Enterré pendant une dizaine d’année par le président algérien Abdelaziz Bouteflika, ce projet a été exhumé en juin 2014 par le ministre algérien des transports, Amar Ghoul (photo), qui avait alors annoncé le lancement prochain d'appels d'offres. Le 26 avril, le directeur général de la Société nationale algérienne des transports ferroviaires (SNTF), Yacine Bendjaballah, a confirmé le lancement imminent de ce projet.
«La réalisation d'une ligne de train à grande vitesse (TGV) reliant la Tunisie au Maroc en passant par l'Algérie sera entamée bientôt», a annoncé M. Bendjaballah, dans un entretien à la Chaîne I de la Radio Algérienne.
Le directeur général de la SNTF a également fait savoir que les études techniques ont déjà commencé du côté algérien, indiquant que le projet «sera au service des citoyens des trois pays maghrébins».
Au Maroc, le projet est bien plus avancé, même s'il a pris près de deux années de retard.
La première ligne de TGV du royaume reliant Kenitra à Casablanca doit entrer en service en 2017. Le chantier devrait donc ensuite être poursuivi jusqu'à la frontière algérienne afin de relier Casablanca à Rabat, Oujda, Alger et Tunis. Aucun détail n'a été fourni ni sur le calendrier de réalisation des travaux, ni sur le coût global du projet
«La réalisation d'une ligne de train à grande vitesse (TGV) reliant la Tunisie au Maroc en passant par l'Algérie sera entamée bientôt», a annoncé M. Bendjaballah, dans un entretien à la Chaîne I de la Radio Algérienne.
Le directeur général de la SNTF a également fait savoir que les études techniques ont déjà commencé du côté algérien, indiquant que le projet «sera au service des citoyens des trois pays maghrébins».
Au Maroc, le projet est bien plus avancé, même s'il a pris près de deux années de retard.
La première ligne de TGV du royaume reliant Kenitra à Casablanca doit entrer en service en 2017. Le chantier devrait donc ensuite être poursuivi jusqu'à la frontière algérienne afin de relier Casablanca à Rabat, Oujda, Alger et Tunis. Aucun détail n'a été fourni ni sur le calendrier de réalisation des travaux, ni sur le coût global du projet
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