Le Maroc a investi des sommes colossales pour le développement de ses provinces du Sud, comme souligné dans le dernier rapport du Secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, a déclaré, mardi, l'ambassadeur du Maroc à l'Onu, Omar Hilale.
«De minuscules villages, Dakhla et Laâyoune sont devenus aujourd'hui de grandes agglomérations dotées d'infrastructures modernes», un constat également relevé par ce même rapport, a-t-il précisé.
Dans ce rapport, Ban Ki-moon a notamment indiqué que le Sahara marocain continue de bénéficier d'«investissements publics considérables», notamment en matière d'infrastructures routières et portuaires.
Omar Hilale s'exprimait lors d'un point de presse à l'issue de l'adoption à l'unanimité des Quinze de la résolution 2218 prorogeant d'une année le mandat de la Minurso.
«Quand le Maroc a récupéré ses provinces du Sud, il y avait seulement deux petits villages Laâyoune et Dakhla. Il n'y avait ni électricité, ni eau, ni écoles, encore moins des hôpitaux, et une population très peu nombreuse car nomade», a souligné l'ambassadeur en réponse à une question sur l'exploitation des ressources naturelles.
«Aujourd'hui, le Sahara est constitué de grandes agglomérations, de nombreux ports, et d'industries et Dakhla est une destination touristique internationale incontournable», a-t-il soutenu à l'adresse des médias internationaux.
Le Maroc a investi «plusieurs milliards de dollars dans les provinces du Sud ces 40 dernières années», a poursuivi l'ambassadeur.
Le Royaume est «en plein dans la légalité internationale et en totale conformité avec l'avis rendu en 2002 par Hans Corell», ancien Secrétaire général adjoint aux affaires juridiques et conseiller juridique des Nations unies, a-t-il dit.
MAP
«De minuscules villages, Dakhla et Laâyoune sont devenus aujourd'hui de grandes agglomérations dotées d'infrastructures modernes», un constat également relevé par ce même rapport, a-t-il précisé.
Dans ce rapport, Ban Ki-moon a notamment indiqué que le Sahara marocain continue de bénéficier d'«investissements publics considérables», notamment en matière d'infrastructures routières et portuaires.
Omar Hilale s'exprimait lors d'un point de presse à l'issue de l'adoption à l'unanimité des Quinze de la résolution 2218 prorogeant d'une année le mandat de la Minurso.
«Quand le Maroc a récupéré ses provinces du Sud, il y avait seulement deux petits villages Laâyoune et Dakhla. Il n'y avait ni électricité, ni eau, ni écoles, encore moins des hôpitaux, et une population très peu nombreuse car nomade», a souligné l'ambassadeur en réponse à une question sur l'exploitation des ressources naturelles.
«Aujourd'hui, le Sahara est constitué de grandes agglomérations, de nombreux ports, et d'industries et Dakhla est une destination touristique internationale incontournable», a-t-il soutenu à l'adresse des médias internationaux.
Le Maroc a investi «plusieurs milliards de dollars dans les provinces du Sud ces 40 dernières années», a poursuivi l'ambassadeur.
Le Royaume est «en plein dans la légalité internationale et en totale conformité avec l'avis rendu en 2002 par Hans Corell», ancien Secrétaire général adjoint aux affaires juridiques et conseiller juridique des Nations unies, a-t-il dit.
MAP
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