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Les faits se sont déroulés le week-end dernier à l’aéroport international de Tunis. Un avion de la compagnie nationale Air Algérie qui devait effectuer la liaison Tunis-Alger le samedi 25 avril, a décollé avec plus de 24 heures de retard laissant quelques 300 passagers dans le doute.
Manque de communication
Aucune explication, aucune information. C’est le traitement dénoncé par ces Algériens dont beaucoup s’étaient rendus en Tunisie pour les vacances ou pour des motifs de santé. « Le vol devait partir à 18h35. Nous avons embarqué vers 19h15, avec un peu de retard pour finalement être débarqués à cause d’un problème technique », nous explique un homme qui voyageait avec son épouse, son enfant de douze mois et ses parents malades. Des lors, les galères s’enchaînent. Après une longue attente à l’aéroport, le vol ne décollera pas, les passagers sont logés dans plusieurs hôtels différents qui ne fournissent pas de repas, selon des témoignages.
Le lendemain, dimanche 28 avril, ils sont toujours sans nouvelles d’Air Algérie. C’est seulement sur les coups de midi, qu’ils sont informés qu’un bus devant les acheminer vers l’aéroport de Tunis est prévu pour 15 heures. Une information sur laquelle revient la compagnie avant qu’un car n’arrive finalement une heure plus tard. Des hésitations et quiproquos qui sèment la panique chez les passagers dont la plupart n’avaient pas prévu assez de liquidités pour une journée supplémentaire à Tunis.
Malheureusement leur mésaventure ne s’arrête pas là, puisqu’une fois arrivés à l’aéroport, on leur annonce un départ pour 20 heures alors que le vol régulier du dimanche 26 avril prévu à 18h35 compte lui-même un retard. Ce sera seulement tard dans la nuit qu’ils pourront embarquer à bord d’un avion non sans bousculades et fracas : « les policiers tunisiens ont du intervenir, c’est vraiment une honte », concède le passager, qui après ce service « cauchemardesque » tente de chercher réparation auprès des services de la compagnie. Peine perdue puisque personne n’est « au courant » de l’affaire.
« Une panne technique, cela arrive à toutes les compagnies »
Contacté par TSA, Air Algérie a pour sa part confirmé une panne technique sur le premier appareil de type Boeing 767. « Il y a eu une panne au niveau de la climatisation, il fallait une pièce de rechange à partir d’Alger. Cette pièce est arrivée que très tard le soir par un vol Tunisair et trois mécaniciens ont été dépêchés à Tunis » explique Mounia Bertouche, chargée de communication d’Air Algérie.
« D’après notre direction à Tunis, après avoir demandé leur leur autorisation, environ 120 personnes ont été hébergées dans trois hôtels, les autres passagers sont résidents à Tunis », poursuit-elle. Elle concède « qu’au niveau de l’escale, les gens ne sont peut-être pas très communicatifs mais la panne a été expliquée ».
TSA
Manque de communication
Aucune explication, aucune information. C’est le traitement dénoncé par ces Algériens dont beaucoup s’étaient rendus en Tunisie pour les vacances ou pour des motifs de santé. « Le vol devait partir à 18h35. Nous avons embarqué vers 19h15, avec un peu de retard pour finalement être débarqués à cause d’un problème technique », nous explique un homme qui voyageait avec son épouse, son enfant de douze mois et ses parents malades. Des lors, les galères s’enchaînent. Après une longue attente à l’aéroport, le vol ne décollera pas, les passagers sont logés dans plusieurs hôtels différents qui ne fournissent pas de repas, selon des témoignages.
Le lendemain, dimanche 28 avril, ils sont toujours sans nouvelles d’Air Algérie. C’est seulement sur les coups de midi, qu’ils sont informés qu’un bus devant les acheminer vers l’aéroport de Tunis est prévu pour 15 heures. Une information sur laquelle revient la compagnie avant qu’un car n’arrive finalement une heure plus tard. Des hésitations et quiproquos qui sèment la panique chez les passagers dont la plupart n’avaient pas prévu assez de liquidités pour une journée supplémentaire à Tunis.
Malheureusement leur mésaventure ne s’arrête pas là, puisqu’une fois arrivés à l’aéroport, on leur annonce un départ pour 20 heures alors que le vol régulier du dimanche 26 avril prévu à 18h35 compte lui-même un retard. Ce sera seulement tard dans la nuit qu’ils pourront embarquer à bord d’un avion non sans bousculades et fracas : « les policiers tunisiens ont du intervenir, c’est vraiment une honte », concède le passager, qui après ce service « cauchemardesque » tente de chercher réparation auprès des services de la compagnie. Peine perdue puisque personne n’est « au courant » de l’affaire.
« Une panne technique, cela arrive à toutes les compagnies »
Contacté par TSA, Air Algérie a pour sa part confirmé une panne technique sur le premier appareil de type Boeing 767. « Il y a eu une panne au niveau de la climatisation, il fallait une pièce de rechange à partir d’Alger. Cette pièce est arrivée que très tard le soir par un vol Tunisair et trois mécaniciens ont été dépêchés à Tunis » explique Mounia Bertouche, chargée de communication d’Air Algérie.
« D’après notre direction à Tunis, après avoir demandé leur leur autorisation, environ 120 personnes ont été hébergées dans trois hôtels, les autres passagers sont résidents à Tunis », poursuit-elle. Elle concède « qu’au niveau de l’escale, les gens ne sont peut-être pas très communicatifs mais la panne a été expliquée ».
TSA
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