Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La résolution 2218 met alger dans le désarroi total

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La résolution 2218 met alger dans le désarroi total

    L’Algérie a reçu de la part du Conseil de sécurité un appel clair pour «adhérer avec détermination» aux efforts visant à trouver une issue politique au conflit du Sahara, lui demandant par la même occasion d’autoriser le recensement de la population séquestrée sur son sol à Tindouf.

    La résolution votée mardi 28 avril à l’unanimité des quinze membres du Conseil de sécurité a battu en brèche toutes les manœuvres dilatoires orchestrées par Alger afin d’entraver toute issue politique au conflit artificiel créé autour du Sahara marocain. «Alger est appelée à s’inscrire clairement dans les efforts déployés, depuis 2006, pour négocier une solution politique au conflit du Sahara», relève Assabah, dans son édition de ce jeudi 30 avril.

    En appelant Alger à prendre fait et cause pour le processus politique engagé en 2007 à Manhasset, à New-York, le Conseil de sécurité replace le débat dans sa trajectoire initiale et barre la route devant les manouvres orchestrées par le voisin de l’Est, depuis 2018, pour noyer ce même débat dans des élucubrations humanitaristes à n’en plus finir.

    La résolution 2218 mentionne d’ailleurs, sans ambages, les efforts indéniables effectués par le Maroc pour promouvoir et protéger les Droits de l’Homme sur tout son territoire, et dans ses provinces sahariennes en particulier, via les antennes locales du Conseil national des Droits de l’Homme (CNDH), à Laâyoune et à Dakhla, souligne Assabah, qui se fait l’écho de l’appel lancé par le CS aux pays de la région de «coopérer pleinement avec l’organisation des Nations Unies» et de «s’engager avec détermination » afin de sortir le processus politique de l’impasse.

    La même source revient sur l’appui clair et ferme apporté par l’ambassadeur représentant permanent de la France, François Delattre, à l’Initiative marocaine d’octroyer un statut d’autonomie au Sahara, estimant que celui-ci offre une borne de négociation pour trouver une issue à ce conflit quarantenaire.

    Autre acquis, et pas des moindres : la résolution 2218 exige clairement d’Alger d’autoriser le recensement de la population sahraouie séquestrée, sachant que cette dernière s’est toujours dérobée à ses responsabilités empêchant la communauté internationale de déterminer le nombre réel des Sahraouis séquestrés et, du coup, identifier leurs vrais besoins en aides humanitaires.
    Par Ziad Alami

  • #2
    La résolution 2218 met alger dans le désarroi total
    Faut vivre dans la 4ème dimension pour sortir de telles idioties. Le statut quo actuel c'est inespéré pour le régime algérien, y a pas plus serein que ces gens là. Je donne un million à qui me montre le moindre début de signe d'agacement de Lamamra au sujet du SO.

    Et quand les responsables algériens qui font mine de s'indigner, se scandaliser à propos du Sahara, ils nous font simplement admirer leur jeu d'acteur.

    Les rares algériens qui sont réellement sensibles à cette affaire, sont qui ont peur de perdre le buissness ignoble les aides internationales pour Tindouf.

    Commentaire


    • #3
      Le maroc est dans un délire total , toutes les résolutions se ressemblent négociation en vue d'une autodétermination .

      Commentaire


      • #4
        Les positions de l'Algérie par rapport à la question du Sahara occidental sont "constantes" et "fermes", a affirmé dimanche à Alger le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. "Les positions de l'Algérie sont constantes et fermes. Nous faisons clairement la distinction entre la question du Sahara occidental qui relève d'un problème de décolonisation et qui est entre les mains des Nations unies, et nos relations bilatérales (avec le Maroc)", a souligné M. Lamamra dans une conférence de presse animée conjointement avec le ministre de la Communication, Abdelkader Messahel. Il a ajouté que dans les relations bilatérales (algéro-marocaines), "il y a des accords et des règles de conduite, qu'elles soient écrites ou implicites, qu'elles relèvent du droit ou de notre histoire commune, qu'il ne faut pas transgresser". La transgression de ces accords et règles de conduite signifierait, a précisé le chef de la diplomatie algérienne, "une faillite morale de la part de ceux qui transgressent ce genre de référents historiques".

        El Watan

        Commentaire


        • #5
          voila un discours clairvoyant l algerie n a pas le monopole du probleme se qui me laisse a penser que le maroc fait preuve de haine presque gratuite envers l algerie!
          Dernière modification par MOMS13, 30 avril 2015, 12h27.

          Commentaire

          Chargement...
          X