Alger, 03 mai 2015
Communiqué
Le FFS dénonce avec la plus grande fermeté l’attitude des forces de l’ordre qui ont empêché une délégation du FFS, conduite par le secrétaire national à la communication, de déposer une gerbe de fleur à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
Le FFS condamne avec la plus grande fermeté la brutalité de l’intervention des forces de sécurité, présentes en masse sur les lieux ainsi que l’interpellation ou l’arrestation des militants politiques, des droits de l’Homme et du monde associatif qui se sont associés à cette activité pacifique.
Le FFS dénonce avec énergie la prétention des autorités à faire de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, un domaine réservé aux officiels. Toute Algérienne et tout Algérien à le droit de s’exprimer, de célébrer et de participer pacifiquement à toute action ou manifestation qui s’inscrit dans ce cadre.
Dans tous les commissariats en Algérie, sont placardées des affiches proclamant que l’Etat de droit commence par la police ; dans tous les commissariats d’Algérie sont placardées des déclarations des droits de l’homme, mais la réalité est malheureusement toute autre sur le terrain.
Sur le terrain, ce sont les matraques, les fourgons cellulaires, les propos agressifs et les séjours prolongés et injustifié dans les locaux des commissariats qui sont la pratique ordinaire.
La meilleure manière d’empêcher les dénonciations internationales c’est de mettre en cohérence le discours et la pratique, c’est de se conformer aux normes communément admises au plan international, c’est de respecter, dans les faits, les libertés publiques partout sur le territoire national et notamment la liberté de manifester pacifiquement y compris dans la capitale, Alger.
L’histoire montre que la liberté d’expression et la liberté de la presse sont des piliers de la construction démocratique et le FFS réaffirme sa mobilisation constante dans les luttes pour concrétiser ces libertés.
Pour le FFS, liberté d’expression et démocratie sont inséparables.
On ne peut pas parler de démocratie là où la liberté d’expression est bâillonnée comme on ne peut pas parler de liberté d’expression dans un Etat autre que démocratique.
Le Premier Secrétaire
Mohamed Nebbou
Communiqué
Le FFS dénonce avec la plus grande fermeté l’attitude des forces de l’ordre qui ont empêché une délégation du FFS, conduite par le secrétaire national à la communication, de déposer une gerbe de fleur à l’occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse.
Le FFS condamne avec la plus grande fermeté la brutalité de l’intervention des forces de sécurité, présentes en masse sur les lieux ainsi que l’interpellation ou l’arrestation des militants politiques, des droits de l’Homme et du monde associatif qui se sont associés à cette activité pacifique.
Le FFS dénonce avec énergie la prétention des autorités à faire de la célébration de la journée mondiale de la liberté de la presse, un domaine réservé aux officiels. Toute Algérienne et tout Algérien à le droit de s’exprimer, de célébrer et de participer pacifiquement à toute action ou manifestation qui s’inscrit dans ce cadre.
Dans tous les commissariats en Algérie, sont placardées des affiches proclamant que l’Etat de droit commence par la police ; dans tous les commissariats d’Algérie sont placardées des déclarations des droits de l’homme, mais la réalité est malheureusement toute autre sur le terrain.
Sur le terrain, ce sont les matraques, les fourgons cellulaires, les propos agressifs et les séjours prolongés et injustifié dans les locaux des commissariats qui sont la pratique ordinaire.
La meilleure manière d’empêcher les dénonciations internationales c’est de mettre en cohérence le discours et la pratique, c’est de se conformer aux normes communément admises au plan international, c’est de respecter, dans les faits, les libertés publiques partout sur le territoire national et notamment la liberté de manifester pacifiquement y compris dans la capitale, Alger.
L’histoire montre que la liberté d’expression et la liberté de la presse sont des piliers de la construction démocratique et le FFS réaffirme sa mobilisation constante dans les luttes pour concrétiser ces libertés.
Pour le FFS, liberté d’expression et démocratie sont inséparables.
On ne peut pas parler de démocratie là où la liberté d’expression est bâillonnée comme on ne peut pas parler de liberté d’expression dans un Etat autre que démocratique.
Le Premier Secrétaire
Mohamed Nebbou
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