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BOMBES A FRAGMENTATION
L'Arabie saoudite fait l'objet de critiques croissantes pour la campagne militaire qu'elle mène depuis plus de cinq semaines au Yémen avec huit autres pays arabes, majoritairement sunnites. L'objectif de l'opération est d'y rétablir le gouvernement légitime et de faire reculer les Houthis, soutenus par l'Iran chiite, qui ont conquis de vastes territoires, dont la capitale Sanaa, depuis septembre 2014. Mais le nombre de victimes civiles ne cesse d'augmenter - plus de 1.200 personnes sont mortes depuis la mi-mars, selon l'ONU - et la situation humanitaire est régulièrement qualifiée de catastrophique. Hier dimanche, l'organisation Human Rights Watch a affirmé que la coalition menée par l'Arabie saoudite avait utilisé des munitions à fragmentation fournies par les Etats-Unis lors de raids aériens contre des rebelles chiites au Yémen, ce qui est interdit par un traité international. Des photos, une vidéo et d'autres éléments crédibles depuis la mi-avril tendent à indiquer que des munitions en grappe ont été utilisées ces dernières semaines dans des frappes de la coalition sur le gouvernorat de Saada, bastion des rebelles Houthis dans le nord du Yémen, a écrit HRW. L'organisation de défense des droits de l'Homme, basée à New York, assure avoir établi, à travers une analyse d'images satellitaires, que ces sous-munitions semblent avoir atterri sur un plateau cultivé, à 600 mètres de zones habitées. Les sous-munitions, qui explosent après coup, posent des dangers à long terme pour les civils et sont interdites par un traité adopté en 2008 par 116 pays, mais pas par l'Arabie saoudite, les Etats-Unis et le Yémen.
le quotidien d'oran
L'arabie séoudite et le reste de la coalition ont violé les résolutions internationale
Nous les poursuiveront pour crimes contre l'humanité et le publieront sur tout les murs
L'Arabie saoudite fait l'objet de critiques croissantes pour la campagne militaire qu'elle mène depuis plus de cinq semaines au Yémen avec huit autres pays arabes, majoritairement sunnites. L'objectif de l'opération est d'y rétablir le gouvernement légitime et de faire reculer les Houthis, soutenus par l'Iran chiite, qui ont conquis de vastes territoires, dont la capitale Sanaa, depuis septembre 2014. Mais le nombre de victimes civiles ne cesse d'augmenter - plus de 1.200 personnes sont mortes depuis la mi-mars, selon l'ONU - et la situation humanitaire est régulièrement qualifiée de catastrophique. Hier dimanche, l'organisation Human Rights Watch a affirmé que la coalition menée par l'Arabie saoudite avait utilisé des munitions à fragmentation fournies par les Etats-Unis lors de raids aériens contre des rebelles chiites au Yémen, ce qui est interdit par un traité international. Des photos, une vidéo et d'autres éléments crédibles depuis la mi-avril tendent à indiquer que des munitions en grappe ont été utilisées ces dernières semaines dans des frappes de la coalition sur le gouvernorat de Saada, bastion des rebelles Houthis dans le nord du Yémen, a écrit HRW. L'organisation de défense des droits de l'Homme, basée à New York, assure avoir établi, à travers une analyse d'images satellitaires, que ces sous-munitions semblent avoir atterri sur un plateau cultivé, à 600 mètres de zones habitées. Les sous-munitions, qui explosent après coup, posent des dangers à long terme pour les civils et sont interdites par un traité adopté en 2008 par 116 pays, mais pas par l'Arabie saoudite, les Etats-Unis et le Yémen.
le quotidien d'oran
L'arabie séoudite et le reste de la coalition ont violé les résolutions internationale
Nous les poursuiveront pour crimes contre l'humanité et le publieront sur tout les murs
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