Dans le but d'augmenter sa production, le groupe industriel public des ciments d'Algérie (GICA) va investir 1,579 Mdrs $ (un milliard cinq-cent-soixante-dix-neuf millions de dollars pour porter sa production à 18,5 millions de tonnes (MT) à fin 2017 a indiqué le P-dg du groupe industriel public, Rabah Guessoum.
Ces investissements portent sur l'extension des capacités de production de deux cimenteries existantes et la réalisation prochaine de deux nouvelles usines. Les travaux d'extension des capacités de production des cimenteries de Chlef et de Aïn Kebira (Sétif) ont déjà été lancés, lesquelles vont permettre au groupe d'augmenter la production globale à 15,5 MT/an à fin 2016. Ainsi, la production de la cimenterie d'Aïn Kebira triplera pour passer d'un (1) MT de ciment actuellement à 3 MT à fin 2016, tandis que celle de Chlef devra doubler en passant de 2 à 4 MT annuellement, selon le même responsable.
Quant aux deux nouvelles cimenteries à mettre en place, elles seront installées à Béchar et à Oum El Bouaghi et dont l'entrée en production est prévue pour fin 2017. Le groupe GICA est en phase de réception des offres des soumissionnaires pour la réalisation de ces deux cimenteries dans un délai fixé à 36 mois. La future usine d'Oum El Bouaghi, qui produira 2 MT/an, sera détenue en partenariat avec le groupe public du BTPH Cosider, conformément aux orientations des pouvoirs publics visant à encourager le partenariat public-public.
Concernant la future cimenterie de Béchar, qui sera dotée d'une capacité de production d'un (1) MT de ciment/an, elle sera détenue uniquement par le groupe GICA. En outre, un projet de construction d'une autre cimenterie à El Bayadh d'une production d'un (1) MT de ciment/an est en phase de négociation avec un partenaire étranger, avance M. Guessoum.
Actuellement, l'Algérie dispose de 12 cimenteries publiques et 2 privées d'une capacité de production globale de près de 19,5 MT/an alors que la demande est de 24,5 MT annuellement, soit un déficit de 5 MT.
Cet écart est comblé par les importations dont la facture a coûté, rien que pour l'année 2014, un montant de 513 millions de dollars, en hausse de plus de 28% comparativement à 2013. Le pays s'est donc fixé l'objectif d'encourager les investissements dans ce créneau afin de répondre totalement à la demande du marché qui enregistre des hausses consécutives notamment avec les plans d'investissements publics.
Ecofin
Ces investissements portent sur l'extension des capacités de production de deux cimenteries existantes et la réalisation prochaine de deux nouvelles usines. Les travaux d'extension des capacités de production des cimenteries de Chlef et de Aïn Kebira (Sétif) ont déjà été lancés, lesquelles vont permettre au groupe d'augmenter la production globale à 15,5 MT/an à fin 2016. Ainsi, la production de la cimenterie d'Aïn Kebira triplera pour passer d'un (1) MT de ciment actuellement à 3 MT à fin 2016, tandis que celle de Chlef devra doubler en passant de 2 à 4 MT annuellement, selon le même responsable.
Quant aux deux nouvelles cimenteries à mettre en place, elles seront installées à Béchar et à Oum El Bouaghi et dont l'entrée en production est prévue pour fin 2017. Le groupe GICA est en phase de réception des offres des soumissionnaires pour la réalisation de ces deux cimenteries dans un délai fixé à 36 mois. La future usine d'Oum El Bouaghi, qui produira 2 MT/an, sera détenue en partenariat avec le groupe public du BTPH Cosider, conformément aux orientations des pouvoirs publics visant à encourager le partenariat public-public.
Concernant la future cimenterie de Béchar, qui sera dotée d'une capacité de production d'un (1) MT de ciment/an, elle sera détenue uniquement par le groupe GICA. En outre, un projet de construction d'une autre cimenterie à El Bayadh d'une production d'un (1) MT de ciment/an est en phase de négociation avec un partenaire étranger, avance M. Guessoum.
Actuellement, l'Algérie dispose de 12 cimenteries publiques et 2 privées d'une capacité de production globale de près de 19,5 MT/an alors que la demande est de 24,5 MT annuellement, soit un déficit de 5 MT.
Cet écart est comblé par les importations dont la facture a coûté, rien que pour l'année 2014, un montant de 513 millions de dollars, en hausse de plus de 28% comparativement à 2013. Le pays s'est donc fixé l'objectif d'encourager les investissements dans ce créneau afin de répondre totalement à la demande du marché qui enregistre des hausses consécutives notamment avec les plans d'investissements publics.
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