Adam Sfali - publié le Lundi 4 Mai 2015
Marseille : Leïla Chahid, l’ambassadrice de la Palestine auprès de la Commission européenne, s'est insurgée contre la vision obscurantiste israélienne, prônant l’’insurvivabilité’ de la coexistence religieuse entre musulmans et juifs à Jérusalem. Elle a cité le Maroc en contre-exemple.
En effet, prenant part à une table ronde autour du conflit israélo-palestinien, organisée récemment à Marseille, l’ambassadrice Leila Chahid a indiqué que l’Etat d’Israël tente de teinter sa politique de spoliation des terres et des droits du peuple palestinien, d’un trait religieux en allant à détruire Jérusalem comme lieu spirituel et ce en total absence d’une réaction de la communauté internationale.
L’ambassadrice palestinienne qui intervenait lors de la table ronde organisée sur le thème ‘Géopolitique des lieux saints en Méditerranée’ et ce à l’occasion d’une convention de partenariat entre Villa Méditerranée et Mucem, a souligné que le conflit israélo-palestinien qui est une affaire de décolonisation, ‘‘n’est pas un conflit autour des lieux saints’’.
Leila Chahid qui parlait devant un parterre de philosophes, d'historiens, chercheurs et de politiques dont des français et des israéliens, a refusé la vision obscurantiste israélienne qui tente de convaincre le monde de l’’insurvivabilité’ de toute coexistence religieuse paisible entre musulmans et juifs à Jérusalem et ce pour justifier son sécuritarisme atroce envers les palestiniens. Chahid a cité en contre-exemple le Maroc.
Citée par le site français La Marseillaise, la diplomate palestinienne a dit :
Marseille : Leïla Chahid, l’ambassadrice de la Palestine auprès de la Commission européenne, s'est insurgée contre la vision obscurantiste israélienne, prônant l’’insurvivabilité’ de la coexistence religieuse entre musulmans et juifs à Jérusalem. Elle a cité le Maroc en contre-exemple.
En effet, prenant part à une table ronde autour du conflit israélo-palestinien, organisée récemment à Marseille, l’ambassadrice Leila Chahid a indiqué que l’Etat d’Israël tente de teinter sa politique de spoliation des terres et des droits du peuple palestinien, d’un trait religieux en allant à détruire Jérusalem comme lieu spirituel et ce en total absence d’une réaction de la communauté internationale.
L’ambassadrice palestinienne qui intervenait lors de la table ronde organisée sur le thème ‘Géopolitique des lieux saints en Méditerranée’ et ce à l’occasion d’une convention de partenariat entre Villa Méditerranée et Mucem, a souligné que le conflit israélo-palestinien qui est une affaire de décolonisation, ‘‘n’est pas un conflit autour des lieux saints’’.
Leila Chahid qui parlait devant un parterre de philosophes, d'historiens, chercheurs et de politiques dont des français et des israéliens, a refusé la vision obscurantiste israélienne qui tente de convaincre le monde de l’’insurvivabilité’ de toute coexistence religieuse paisible entre musulmans et juifs à Jérusalem et ce pour justifier son sécuritarisme atroce envers les palestiniens. Chahid a cité en contre-exemple le Maroc.
Citée par le site français La Marseillaise, la diplomate palestinienne a dit :
‘‘Dans d’autres pays, comme le Maroc, il y a des lieux de culte partagés, ce qui serait impossible sans le respect des uns et des autres. Or, le gouvernement israélien utilise la dimension religieuse pour justifier un conflit qui devient une guerre contre l’Islam. Ce que les Palestiniens progressistes proposent au contraire, c’est que Jérusalem devienne une capitale pour deux États’’.
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