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Dépénalisation du cannabis!!!!

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  • Dépénalisation du cannabis!!!!

    Des manifestants réclament la dépénalisation du cannabis

    Je serais pour si cela apporte un bienfait a certains malade et aussi pour arrêter l'economie souterraine qui engraine nos Cités et nos jeunes
    Beaucoup vont ce retrouver au chômage (Gremlins)

  • #2
    Béatrice cultive ses plants dans son jardin.
    Comme disait Bob.. it's just a plant

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    • #3
      il est evident que la banalisation ne fera qu'accentué le phenomene que ce soi au niveau commercial ou consommation .. c'est bebete de s'attendre a autre chose ..

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      • #4
        dépénalisation du cannabis = passer d'une mafia de la rue à une mafia des grands groupes

        qui elhema qui erra3ada oeilfermé
        Yaye yaye ou elGalbe 3aye - demandite el Kahwa, jabouli lataye Waria Tirigo

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        • #5
          Pour la condamnation à mort par fumage
          tchek tchek tchek

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          • #6
            Bonjour a vous

            je reste deja persuadé que beaucoup vont être au chômage
            Et perso je n'ai jamais toucher a ça ....

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            • #7

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              • #8
                Je serais pour si cela pouvait éviter les dealers à obliger les enfants à être pris en otage pour faire le guet et autres fonctions pour qu'ils puissent faire leurs affaires. Mais j'en doute!

                Pour les malades, l'état pourrait faire une loi pour que les malades qui réellement ont besoin de soulager leurs douleurs...(en admettant que la morphine soit pas assez fort), pourquoi pas!

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                • #9
                  C est une source de revenusou d impots : mafia contre mafia.....

                  Qneo,
                  meme si on depenalise le cannabis il existera tjrs des marchês souterrains pour des choses illegales......
                  Always on the sunny side.....

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                  • #10
                    Il reste toujours un marché parallèle, du bas prix. Les trafiquants ne risquent pas de se trouver au chômage.

                    Je préfère la dépénalisation en France, parce que la loi n'est pas appliquée de toute façon, ou à la tête du client. Je ne vois pas l'intérêt d'avoir des lois si c'est pour ne pas les appliquer.

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                    • #11
                      Bonsoir a vous

                      Non je suis persuadé que cela mettra un frein au trafic et aux dealers de quartiers

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                      • #12
                        Déjà que nos jeunes en Algérie passent allègrement du cannabis à l'EXTASIE dans nos collèges, vous croyez que dépénaliser le canabis va arrêter ce trafic comme par enchantement ?!

                        Dépénaliser le cannabis, va permettre au trafiquant de canabis de passer à des drogues encore plus dures et plus dévastatrice.

                        Vraiment, vous vous mettez le doigt en réfléchissant ainsi !

                        Vous pouvez même dépénaliser toutes les drogues et tous les poisons mortels.

                        Vous pouvez même les distribuer dans des machines en libres services dans les collèges/lycées pour que nos petites têtes blondes s'en empifrent, s'en goinfrent pour passer dans un état second, deviennent des légumes, perdre la tête, leur avneir ou même leur vie....etc

                        Mais n'espérez jamais réduire cette MAFIA. Elle a plus d'un tour dans son sac !

                        Alors, continuez avec votre logique de dépénalisation à deux balles pour aider ces traficants à passer à des choses pires que ce qu'ils font maintenant !

                        L'inconscience de certains de nos concitiyens ici a dépassé toutes les limites ! :22:
                        Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                        Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

                        Commentaire


                        • #13
                          Non je suis persuadé que cela mettra un frein au trafic et aux dealers de quartiers
                          Mais pas du tout! Dépénaliser veut juste dire que sa consommation ne sera pas sanctionné, mais la production et le commerce restent interdits!

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                          • #14
                            Bonjour

                            Pomaria'Wendy
                            Non je ne suis pas d'accord la dépénaliser c'est comme rappeler vous la prohebition la mafia avait main muse sur l'alcool et une fois libre de vente ils se sont rabattus sur la drogue
                            Cette lou mettra un frein bon une loi mais avec des mais....
                            Pas de coffee shop ou des supérettes
                            Quand au pays les gros dealers sont les riches pour l'arreter il faudrait une armee d'incorruptibles et aussi la misere social
                            Et sans oubler les pharmaciens dealers vendeurs de psycotropes...

                            Commentaire


                            • #15
                              Il ne faut pas confondre dépénalisation et légalisation car j'ai l'impression que tout le monde fait cette erreur. Et il faut aussi distinguer l'usage de cannabis et trafic de cannabis. J'ai mis un texte ci-dessous qui permet de mieux comprendre les différences.

                              On remarque qu'en France, il y a une certaine hypocrisie entre la loi et l'application de celle-ci par les flics ou juges. On assiste de fait à une dépénalisation de l'usage courant de cannabis. Les flics laissent souvent tomber pour une simple barrette (qu'ils confisquent) car ils savent que c'est de la paperasse pour pas grand chose et que les juges ne vont pas donner suite. Je ne parle pas bien sûr du trafic de cannabis.

                              Pour aller plus loin et éviter que les flics ne mobilisent des moyens pour un simple usager de cannabis alors qu'ils pourraient se consacrer à d'autres luttes, il faut légaliser son usage. C'est un moindre mal vu que jusqu'à maintenant on a pas réussi à inverser la tendance, on laisse des trafics s'organiser, l'état ne touche rien dessus et dépendance des sommes énormes pour la lutte.

                              Légaliser permet à l'Etat d'organiser la vente de produits contrôlés sanitairement, de retirer l'avantage financier que dégageaient les trafiquants qui n'auront plus intérêt à vendre un produit très souvent coupé. Un usager préférera aller dans un endroit officiel sûr pour se procurer son cannabis à un prix stable (un peu comme au bureau de tabacs pour les cigarettes).

                              L'état percevra des taxes et pourra lancer des campagnes pour la désintoxication comme pour le tabac.

                              On en engorgerait plus les services de police ou les tribunaux avec l'usage et trafic de cannabis car on aura officialisé la chose et le trafic aura cessé car plus d'intérêt à passer par des réseaux mafieux.


                              FFA
                              Débat sur légalisation, dépénalisation, décriminalisation, libéralisation... des drogues
                              Éléments de langage pour sortir de la confusion et des malentendus


                              Dans le débat, récemment relancé en France, sur un changement de politique envers le drogues, les mots dépénalisation, légalisation, décriminalisation, etc sont utilisés à tort et à travers. L’enchevêtrement sémantique favorise la confusion et les malentendus au détriment du débat et d’une évolution raisonnée de notre cadre légal. Les professionnels de l’addictologie et leurs associations ont une responsabilité citoyenne dans la tenue et la qualité du débat. Il est important que nous contribuions à la rigueur nécessaire pour être compris et pouvoir dire ce que l’on dit et non ce que certains voudraient nous faire dire.

                              Les définitions qui sont données dans cette note ne sont pas issues de dictionnaires mais le fruit de contributions de juristes et de recherches menées depuis des décennies que le débat est ouvert. Nous ne sommes donc pas ici dans une exégèse sémantique du Droit théorique, mais dans une définition de termes utilisés pour définir des mesures et des changements possibles de politique envers les drogues.

                              Pour cela, outre la définition des 3 niveaux d’infraction existant dans le Droit français (contravention, délit et crime), nous expliciterons les 3 termes principaux permettant de situer les différentes orientations des politiques envers l’offre et/ou la demande de drogues : dépénalisation, légalisation, régulation.

                              En filigrane, pour respecter les fondements du Droit, le minimum de rigueur méthodologique impose aussi de distinguer les actes liés à l’usage de ceux liés à l’offre et à l’accès aux dogues, et de distinguer les actes qui portent atteinte à autrui de ceux qui ne peuvent affecter que soi-même.

                              Dépénalisation :

                              Dépénaliser signifie que l’on renonce à punir pénalement un acte considéré jusque là comme un délit.

                              Rappelons que : un délit est une infraction jugée par le tribunal correctionnel. Il se situe entre la contravention et le crime. Un délit est passible d'une peine d'emprisonnement qui ne peut pas dépasser 10 ans. Il est également passible d'une amende, d'un stage de citoyenneté, d'une peine de travail d'intérêt général... L’usage de stupéfiant est le seul acte ne portant atteinte qu’à son auteur qui, dans le Droit français actuel, est sanctionné comme un délit : tout acte de consommation de ces drogues est passible d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à un an de prison et assorti d’une amende pouvant aller jusqu’à 3500 €.

                              Dans le débat sur les drogues, dépénaliser signifie renoncer à punir pénalement l’acte de consommer des stupéfiants.

                              Cette dépénalisation peut être de niveaux différents. Elle peut aller jusqu’à une déjudiciarisation : ce n’est alors plus une infraction. C’est le cas de l’ivresse alcoolique chez soi qui est déjudiciarisée (mais pas pour autant favorisée) alors que l’ivresse publique est une infraction. Mais elle peut aussi modifier le niveau de l’infraction du délit à la contravention. La contravention est l'infraction pénale la moins grave. Il s'agit d'une amende assortie parfois de peines complémentaires (ex suspension du permis de conduire). Les contraventions sont réparties en 5 classes selon leur gravité et les peines qui leur sont applicables.

                              Ainsi, le Portugal a dépénalisé l’usage de drogues en 2001 mais l’usage public reste une infraction, passant à l’équivalent d’une contravention, ce qui permet une interpellation par la police et une mesure de protection (l’obligation de se présenter devant un service d’évaluation pour mise en place éventuelle d’un traitement ou d’une aide).

                              La dépénalisation de la consommation suppose de préciser dans quelles circonstances l’usage reste une infraction ou pas (usage privé, usage public, conduite d’engin...). La dépénalisation peut concerner l’usage de certains stupéfiants (le cannabis par exemple) ou de tous (comme le Portugal l’a fait). Bien qu’on l’entende souvent, dépénaliser une drogue ou les drogues n’a pas de sens, et dépénaliser l’usage n’implique en rien une légalisation de l’offre.

                              Rappelons que la FFA s’est prononcée, dans son livre blanc de 2011, pour une suppression de l’incrimination (ou déjudiciarisation,) donc une dépénalisation de l’usage privé de toutes les substances. La FFA n’a pas souhaité créer un statut particulier au cannabis, et appelle à substituer à la loi de 1970 un cadre législatif « plus cohérent et centré sur l’objectif de réduire les dommages ». Ce qui laisse ouvert les questions d’une dépénalisation de l’usage public et de la légalisation (cf infra) sur lesquelles elle n’a pas pris position.

                              Le terme de décriminalisation est parfois utilisé comme synonyme de déjudiciarisation, mais il peut être aussi compris comme de renoncer à punir une infraction criminelle.

                              Un crime est l’infraction la plus grave. Elle est passible d'emprisonnement et parfois d'autres peines : amende, peines complémentaires. Le crime est jugé par la cour d'assises. Les peines d'emprisonnement peuvent être à perpétuité ou fixées à un temps donné (exemple : 20 ans). En matière de stupéfiants, seuls des actes de trafic sont traités comme des crimes. C’est pourquoi il ne semble pas judicieux d’utiliser le terme de décriminaliser à la place de déjudiciariser. Ce terme a l’avantage de marquer une volonté de sortir l’acte visé du domaine de la justice pour l’inscrire dans celui de la santé et de l’éducation.

                              Légalisation :

                              Légaliser signifie donner un cadre légal à quelque chose ou à un acte qui n’en avait pas. Dans le débat sur les stupéfiants, cela signifierait de substituer à la prohibition (qui est un interdit de toute les étapes et modalités d’offre de la substance en dehors de certains usages médicaux), un système de contrôle par l’État de la production jusqu’à la vente. Cela signifie ouvrir un accès légal à la substance. Mais une légalisation peut prendre différentes formes, de la plus stricte à la plus libérale, selon les limitations et les contrôles mis en place pour produire, transporter, vendre la substance.
                              Certaines personnalités et associations (comme la Fédération Addiction) se sont prononcées pour une forme de légalisation du cannabis. La FFA ne s’est pas prononcée sur cette question.

                              Régulation :

                              Réguler signifie rechercher les moyens politiques et juridiques les plus appropriés pour permettre aux individus et à la société de limiter les dommages liées à l’usage de substances, sans prétendre éradiquer ces substances ni exclure des mesures très restrictives selon les cas. C’est donc une démarche qui cherche à contribuer de façon pragmatique à la maîtrise de la relation entre les personnes et les drogues (ou autres types d’objet de plaisir), mais qui ne défend ni « la guerre à la drogue » ni l’idée d’une libéralisation a priori
                              Dernière modification par LIXUS, 12 mai 2015, 09h46.

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