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Le président Bouteflika procède à un remaniement partiel dans le gouvernement Sellal

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  • Le président Bouteflika procède à un remaniement partiel dans le gouvernement Sellal

    Le président de la république a procèdé ce jeudi 14 mai 2015 à un remaniement partiel dans le gouvernement d’Abdelmalek Sellal. Un changement jugé important pour renforcer la présence des jeunes dans le gouvernement, notamment en ce qui concerne la gestion des secteurs techniques, selon une source officielle.

    Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Tayeb Belaïz quitte le gouvernement, il est remplacé à ce poste par le ministre de la formation professionnelle, Noureddine Bedoui.

    Les ministres des Finances, de la Culture et de la Poste et des TIC, respectivement Mohamed Djellab, Nadia Labidi et Fatma Zohra Derdouri, quittent le gouvernement Sellal.

    Le ministre des Transports, Amar Ghoul devient ministre de l’Environnement et du Tourisme, Azzedine Mihoubi ministre de la Culture et Abdelouahab Nouri ministre des Ressources en eau.

    Tahar Hadjar a été désigné ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Abdelkader Ouali ministre des Travaux publics et Mohamed Mebarki ministre de la formation professionnelle.

    Le docteur Fekhar, cadre supérieur, est chargé du ministère des Finances et le ministre du Sport Mohamed Tahmi quitte le gouvernement. Il est remplacé par Abdelkader Khemri à ce poste.

    Les ministres de l'Habitat, de la Communication et de la Santé, respectivement Abdelmadjid Tebboune et Hamid Grine et abdelmalek Boudiaf maintenus à leurs postes.

    Tahar Khaoua, président du groupe parlementaire du FLN est désigné à la tête du ministère des Relations avec le parlement en remplacement de Khelil Mahi.
    Ennahar

  • #2
    Ghoul passe au tourisme et à l'environnement, quelle catastrophe!
    Apparement les scandales à l'autoroute est-ouest et aux transports n'ont pas eu raison de cet incompétent notoire.
    Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

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    • #3
      Ghoul passe au tourisme et à l'environnement, quelle catastrophe!
      Apparement les scandales à l'autoroute est-ouest et aux transports n'ont pas eu raison de cet incompétent notoire.
      la corruption est un choix politique pour les généraux

      il me semble plus judicieux de savoir pourquoi ce changement intervient après le passage du ministre roumi. A t il donné des consignes à notre malade , où l'entourage de ce dernier a t il profité du dopage des réanimateurs , qui une fois le zombie en marche pour recevoir celui qui s'est imposé , ont en profité pour lui faire signer un remaniement ?

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      • #4

        Les ministres des Finances, de la Culture et de la Poste et des TIC, respectivement Mohamed Djellab, Nadia Labidi et Fatma Zohra Derdouri, quittent le gouvernement Sellal.
        HANOUNI a fini par avoir raison de LABIDI
        preuve qu'elle a la bonne oreille des décideurs

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        • #5
          ha bon et le torchon de la constitution c est pour quand ?

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          • #6
            URGENT le président Bouteflika procède à un remaniement partiel dans le gouvernement Sellal
            se trouvent-il des Algériens qui croient encore a ce khorti?
            أصبحنا أمة طاردة للعلماء مطبلة للزعماء

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            • #7
              A 35 ans Iman Houda Feraoun, ministre de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication.

              Professeur Houda-Imane Faraoun, directrice générale de l’ATRST
              Par Ahmed HADJI


              Le titre peut paraitre paradoxal. Après tout, la science est sans frontières. Elle communique mondialement, elle se le doit pour innover, provoquer une avance en se basant sur tous les faits scientifiques antérieurement acquis. Pourtant, c’est une réalité. En dépit des offres alléchantes parvenues des grandes universités et laboratoires de renommée internationale, le Pr Houda-Imane Faraoun, directrice générale de l’Agence thématique de recherche en sciences et technologie (ATRST), a préféré, par devoir national, rester en Algérie pour se consacrer à la recherche scientifique.

              Ainsi, après avoir obtenu son bac en sciences exactes, en 1995 au lycée Si El Haouès de Sidi Bel Abbès, alors qu’elle n’avait que 16 ans, Houda-Imane Faraoun, c’est d’elle qu’il s’agit, s’est tracé une feuille de route qui devait l’emmener au sommet de ses aspirations. En effet, une fois son bac en poche, elle s’inscrit à l’université Djilali-Liabes de Sidi Bel Abbes où elle décroche un DES en physique du solide en 1999. Ce premier diplôme universitaire l’incite à poursuivre ses études dans le même domaine. C’est ainsi qu’elle soutient en 2001 son magistère, toujours en physique de l’état solide, avec la mention très honorable. Fidèle à son université et à sa spécialité, elle s’inscrit en doctorat, pour développer un travail théorique sur les méthodes de simulation des métaux et leurs alliages.

              En même temps, elle tente sa chance en postulant pour une thèse industrielle en sciences de l’ingénieur à Belfort (France). Elle décroche une bourse de la région de Franche-Comté, dans le cadre d’un projet de développement impliquant un consortium de plusieurs partenaires européens dont Rolls-Roys, pour ne citer que le géant des moteurs d’avion. Le sujet était à l’opposé de celui, théorique, qu’elle a entamé à Sidi Bel Abbès, mais elle préfère poursuivre sur les deux options, en consacrant ses soirées et week-ends à sa thèse algérienne. Pour elle, la recherche théorique est aussi nécessaire, il ne faut pas s’en détacher trop tôt dans la carrière d’un chercheur.

              Couronnement, en 2005, elle décroche les deux titres universitaires à la satisfaction de ses proches. Toute auréolée des deux diplômes qu’elle vient de décrocher, Houda-Imane Faraoun retrouve son pays et ses proches à Sidi Bel Abbes pour revenir à la vocation d’enseignant chercheur, tant désirée, en rejoignant en 2006 l’Université de Tlemcen. C’est là où elle obtient son habilitation en 2008 et, en 2013, accède, à trente-quatre ans seulement, au grade de professeur. Après cinq années passées dans la capitale des Zianides, elle a la chance et l’honneur, comme elle le souligne, de diriger l’Agence de recherche.

              Connue par le passé sous l’appellation de l’Agence nationale pour le développement de la recherche universitaire (Andru), l’Agence est transformée en Agence thématique de recherche en sciences et technologie (ATRST) en 2012 à la suite d’une réforme qui a touché le secteur de la recherche scientifique. D’ailleurs, les pouvoirs publics ont décidé de mettre en place des agences sectorielles à l’instar d’autres structures de liaisons avec le monde socioéconomique. Quatre autres agences thématiques ont été mises en place, notamment :
              de biotechnologie et sciences agroalimentaires,
              des sciences de la nature et de la vie,
              des sciences humaines et sociales.
              des sciences de la santé.

              Invité à parler de ses activités en dehors de son travail de gestion, notre interlocutrice, affirme qu’elle est à cheval entre la gestion et la recherche, tout en gardant un pied à l’université en encadrant des doctorants et en participant aux travaux de membre de jury de thèses. On l’appelle Madame la Directrice, bien qu’elle ne soit pas encore mariée et tout en parlant de sa vie personnelle, la Directrice générale de l’ATRST exige de son entourage un certain niveau de déférence en se faisant appeler Madame la Directrice. Quand elle parle de sa famille, dont elle est l’ainée des trois filles et la cadette de la famille Faraoun, Houda-Imane évoque avec une certaine philosophie : « J’ai l’énorme plaisir d’avoir expérimenté environ 10% de la maternité, en contribuant à élever mes deux petites sœurs dont l’une prépare aujourd’hui un master et l’autre une licence d’anglais », dira-t-elle tout en affirmant qu’elle a une famille formidable qui se trouve toujours à Sidi Bel Abbes, avec son frère, professeur en informatique et fierté de la petite famille.

              D’ailleurs, à l’entendre parler, on comprendra que sa famille et son métier d’enseignant chercheur sont tout pour elle. « En fait, quand j’étais jeune, je pensais que la recherche ne pouvait se concrétiser en Algérie, mais une fois que j’ai été à l’étranger, où j’ai passé quatre ans, j’ai constaté qu’il n’y avait pas une grande différence. Mieux encore, nous avons ce que les autres n’ont pas, c’est-à-dire la matière grise », indique-t-elle. Notre interlocutrice souligne dans ce contexte la jeunesse de l’université algérienne : « Si nous voulons qu’elle prospère, il y a lieu de mettre la main à la pâte. » A ce propos, elle parlera de son travail, pour lequel elle dira avoir constitué une équipe de recherche à Tlemcen avec laquelle elle travaillait, mais elle a dû la quitter en 2011 pour assurer la direction de l’Agence.

              Parlant des moyens de l’Université algérienne, le Pr. Faraoun, dira qu’en Algérie l’université est jeune, mais la recherche l’est encore plus, car elle n’existe de manière organisée et suivie que depuis 2001, c’est là où est apparue fermement la volonté de l’Etat d’investir dans ce secteur et particulièrement sur les chercheurs universitaires. Donc, il y a encore beaucoup à faire. A propos de moyens, elle dira : « Beaucoup de gens estiment que ce volet fait défaut en Algérie. Là, je regrette de les contredire, car les moyens disponibles sont énormes ». Elle affirme qu’à l’étranger, ce n’est pas facile d’obtenir des subventions pour réaliser un projet de recherche, ce qui n’est pas le cas chez nous, où l’on trouve toutes les facilités, du moment que l’Etat est pourvoyeur des fonds nécessaires, quasiment à volonté. Elle ira même à dire que la recherche exige une certaine volonté, car si au début de la décennie, il n’existait que très peu de laboratoires, aujourd’hui 1306 sont répertoriés et environs 40% d’entre eux sont opérationnels depuis peu. Les jeunes générations commencent à peine à découvrir l’espace de la recherche précise-t-elle.

              Plus de 40 publications à son actif
              En dépit de son jeune âge, Houda-Imane Faraoun est l’auteur de plus de 40 publications scientifiques de même qu’elle a présenté plusieurs communications au niveau national et à l’étranger. Membre du Comité de formation doctorale « Physique de la matière condensée », elle est également responsable de la spécialité et chef d’équipe de recherche
              « Métaux et alliage » relevant de l’unité de recherche rattachée à l’université Abou-Bakr-Belkaid.

              Au plan des responsabilités
              Directrice générale de l’ANDRU puis de l’ATRST depuis 2011, elle préside la Commission intersectorielle de promotion, de programmation et d’évaluation de la recherche scientifique et technique « Sciences fondamentales » et elle est membre du Comité sectoriel permanent du MERS. Elle préside également le conseil d’administration du Centre de recherche en analyse physico-chimiques CRAPC et la commission des marchés publics du Centre de recherche en économie appliquée CREAD, tout en siégeant dans le conseil d’administration de l’Agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique ANVREDET.

              A. H.
              Dernière modification par jawzia, 14 mai 2015, 16h35.

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              • #8
                merci pour ce CV impressionnant , sur le papier

                attendons de la voir au travail et ce qu'en pensera la HANOUNI

                bon courage , les gens de SBA sont charmants.

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                • #9
                  Le ministre des Transports, Amar Ghoul devient ministre de l’Environnement et du Tourisme
                  Il est aisé de voir que l'argent se déplace vers le tourisme, des scandales Ghoulesques à l'horizon.
                  Ils sont combien à se cacher derrière le gars aux stupides moustaches ?

                  Azzedine Mihoubi ministre de la Culture
                  Retour aux livres et à la culture, on est bien loin du désastre Khalida Messaoudi
                  وإن هذه أمتكم أمة واحدة

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                  • #10
                    Rien ne changera et ne se développera sous le règne du clan des Boutesrikas, bien au contraire
                    Tant que le vieux connard est en vie, que les vautours sont en poste, il n'y a absolument aucun espoir même infime, et chez aucun ministre quels que soient ses compétences... toute nomination a une raison et un but précis autre que celui de développer son secteur en particulier ou le pays en général

                    Le vassal boutesrika sera très heureux de présenter la jeune ministre à son seigneur hollande comme un petit bonus ajouté aux autres concessions économiques et socio-culturelles

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                    • #11
                      Excellente nouvelle que le maintien de Benghebrit (au nez et surtout à la barbe de ses détracteurs) et le départ (ailleurs) de celui qui voulait assassiner le LMD..

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                      • #12
                        Pour ceux qui doutent encore de la subordination de l'Algérie à la France, ils sont bien servis. Un remaniement sur mesure à la veille de la venue de Hollande notamment Youcefi qui n'est du goût des multinationales énergétiques françaises. Et dire que certaine élite française s'incommode de la forte présence des immigrés Algériens. Ils aiment l'Algérie mais pas les Algériens.
                        si on peut tromper beaucoup de monde quelque temps, ou tromper peu de monde longtemps, on ne peut tromper tout le monde tout le temps

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                        • #13
                          ..................
                          Dernière modification par Nomad7, 14 mai 2015, 22h32.
                          "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

                          Commentaire


                          • #14
                            Le vassal boutesrika sera très heureux de présenter la jeune ministre à son seigneur hollande
                            Dans le système féodal, Hollande serait plutôt le seigneur suprême c'est à dire le roi, et qui pour donner des ordres et des directives au clan du vassal Boutesrika, envoie son plus fidèle et son plus puissant seigneur Laurent l'ancien, alias
                            "Il y aura prochainement des projets dans le Sud algérien" .
                            http://www.tsa-************/20150512...-sud-algerien/

                            Quand je pense qu'il y eu des centaines de milliers morts durant la guerre "d'indépendance"...
                            Tout ça pour ça??
                            Pensez faux, s'il vous plaît, mais pensez par vous-même. (DORIS LESSING)

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                            • #15
                              Rien à l'horizon ...Sauf que ghoul a remplacé Amar et Amar à la place de Ghoul !
                              L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit.”Aristote

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