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La Russie devient le premier marché pour les agrumes marocains en absorbant 44 % des exportations du royaume en 2005, a indiqué l’Association des exportateurs d’agrumes du Maroc (Aspam). Le marché russe a absorbé 236 000 tonnes d’agrumes sur un total de 542 000 tonnes exportées en 2005, a indiqué Aspam.
Ces exportations ont rapporté 860,75 millions de dirhams (78 millions d’euros environ) en 2005, contre 636,12 millions de dirhams (58 millions d’euros) en 2004, selon des chiffres du Centre marocain de promotion des exportations.
«Nous tablons sur le marché russe comme modèle pour les exportations vers d’autres pays de l’Est, notamment la Pologne, la Bulgarie, la Hongrie et la République tchèque», a déclaré Ahmed Derrab, président d’Aspam, dans un entretien au journal le Matin.
Au 20 novembre 2006, le Maroc a exporté 68 000 tonnes d’agrumes, notamment des clémentines, contre 53 000 tonnes pour la campagne précédente, a-t-il indiqué. «Il faut d’abord consolider et sauvegarder le label Maroc dans l’esprit du consommateur russe», a ajouté M. Derrab, actuellement en visite de travail en Russie.
Il explique l’intérêt que la profession accorde à la Russie par la «saturation» du marché de l’UE et par une vive concurrence de l’Espagne sur ce marché. La Russie constitue aussi «un potentiel important pour les primeurs, en particulier les tomates, les haricots verts et les poivrons», a-t-il estimé.
Par le Jeune indépendant
Ces exportations ont rapporté 860,75 millions de dirhams (78 millions d’euros environ) en 2005, contre 636,12 millions de dirhams (58 millions d’euros) en 2004, selon des chiffres du Centre marocain de promotion des exportations.
«Nous tablons sur le marché russe comme modèle pour les exportations vers d’autres pays de l’Est, notamment la Pologne, la Bulgarie, la Hongrie et la République tchèque», a déclaré Ahmed Derrab, président d’Aspam, dans un entretien au journal le Matin.
Au 20 novembre 2006, le Maroc a exporté 68 000 tonnes d’agrumes, notamment des clémentines, contre 53 000 tonnes pour la campagne précédente, a-t-il indiqué. «Il faut d’abord consolider et sauvegarder le label Maroc dans l’esprit du consommateur russe», a ajouté M. Derrab, actuellement en visite de travail en Russie.
Il explique l’intérêt que la profession accorde à la Russie par la «saturation» du marché de l’UE et par une vive concurrence de l’Espagne sur ce marché. La Russie constitue aussi «un potentiel important pour les primeurs, en particulier les tomates, les haricots verts et les poivrons», a-t-il estimé.
Par le Jeune indépendant
, mais sa serait bien qu'on exporte autre chose que de la bouffe et du phosphate 
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