Un fait inhabituel a secoué la ville de Constantine ces dernières 48 heures. Une femme e 71 ans a été violentée par un jeune homme âgé de 39 ans. L’homme a été présenté avant-hier, devant le procureur de la république près le tribunal de Ziadia pour répondre du délit de viol sur personne âgée.
Les faits, survenus au quartier du Coudiat en plein centre-ville, remontent au début de la semaine dernière lorsque l’accusé prétextant sa volonté de venir en aide à la vieille dame qui traînait des courses l’a menaça quelques instants plus tard avec une arme blanche avant de la forcer à le suivre en un lieu isolé où il assouvira ses besoins bestiaux.
Lâchée en « pleurs et dans un état lamentable », la dame sera tout de même secourue par un jeune passant, lequel d’ailleurs réussira à maintenir sur place le violeur jusqu’à l’arrivée des policiers. Arrêté, l’accusé s’avéra être en état d’ébriété.
Devant la juridiction de Ziadia, il plaidera d’ailleurs son innocence en raison de l’état dans lequel il se trouvait. « J’étais inconscient et je ne savais pas ce que je faisais », se contenta-t-il de dire au magistrat.
Interrogé sur le fait qu’un crime de viol soit commis par « un ivrogne » pourrait lui faire bénéficier des circonstances atténuantes, un avocat du barreau auprès du tribunal de Constantine, maître Abdaoui, nous a précisé que le fait de commettre des crimes en état d’ébriété pourrait plutôt constituer un fait aggravant dans la mesure où la consommation de boisson ne le soustrait pas de ses responsabilités civiles dans le droit algérien. :mejliss
Les faits, survenus au quartier du Coudiat en plein centre-ville, remontent au début de la semaine dernière lorsque l’accusé prétextant sa volonté de venir en aide à la vieille dame qui traînait des courses l’a menaça quelques instants plus tard avec une arme blanche avant de la forcer à le suivre en un lieu isolé où il assouvira ses besoins bestiaux.
Lâchée en « pleurs et dans un état lamentable », la dame sera tout de même secourue par un jeune passant, lequel d’ailleurs réussira à maintenir sur place le violeur jusqu’à l’arrivée des policiers. Arrêté, l’accusé s’avéra être en état d’ébriété.
Devant la juridiction de Ziadia, il plaidera d’ailleurs son innocence en raison de l’état dans lequel il se trouvait. « J’étais inconscient et je ne savais pas ce que je faisais », se contenta-t-il de dire au magistrat.
Interrogé sur le fait qu’un crime de viol soit commis par « un ivrogne » pourrait lui faire bénéficier des circonstances atténuantes, un avocat du barreau auprès du tribunal de Constantine, maître Abdaoui, nous a précisé que le fait de commettre des crimes en état d’ébriété pourrait plutôt constituer un fait aggravant dans la mesure où la consommation de boisson ne le soustrait pas de ses responsabilités civiles dans le droit algérien. :mejliss
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