Après avoir été privé d’exercer son métier pour lequel il a été emprisonné un certain temps, le journaliste revient à la charge pour relancer ses publications suspendues non s’attirer avant l’heure, les foudres des autorités qui le craignent.
Ainsi, l ministère de l’intérieur aurait donné des consignes fermes d ne pas lui octroyer de certificat de résidence à Tétouan où pourtant il vit, un document indispensable pour engager les procédures auprès du tribunal relatives à l’autorisation de publier de nouveau ses supports au Maroc qui lui valu de sérieux problèmes par le passé .
Têtu, le journaliste compte bien reprendre la même formule journalistique et le même ton irrévérencieux qui l’ont fait connaître à l’étranger, notamment en Espagne, où il a exercé durant ces dernières années avec un quotidien très lu dans la péninsule ibérique, en se faisant remarquer par des articles et des sujets ouvertement à la monarchie.
Véritable poil à gratter des ministres de la communication et de l’intérieur qui se sont succèdés, Ali Lemrabat qui n’est pas un journaliste de formation mais qui est issu de la diplomatie marocaine promet avant même de recommencer à publier ses journaux, de nouvelles épreuves de force avec les autorités. Si ce n’est pas de la provocation, cela y ressemble fort.
Actu-maroc
Ainsi, l ministère de l’intérieur aurait donné des consignes fermes d ne pas lui octroyer de certificat de résidence à Tétouan où pourtant il vit, un document indispensable pour engager les procédures auprès du tribunal relatives à l’autorisation de publier de nouveau ses supports au Maroc qui lui valu de sérieux problèmes par le passé .
Têtu, le journaliste compte bien reprendre la même formule journalistique et le même ton irrévérencieux qui l’ont fait connaître à l’étranger, notamment en Espagne, où il a exercé durant ces dernières années avec un quotidien très lu dans la péninsule ibérique, en se faisant remarquer par des articles et des sujets ouvertement à la monarchie.
Véritable poil à gratter des ministres de la communication et de l’intérieur qui se sont succèdés, Ali Lemrabat qui n’est pas un journaliste de formation mais qui est issu de la diplomatie marocaine promet avant même de recommencer à publier ses journaux, de nouvelles épreuves de force avec les autorités. Si ce n’est pas de la provocation, cela y ressemble fort.
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