En tout cas, Amar Ghoul ne se trouve dans aucune publication, n’a fait aucune publication et n’est membre d’aucune publication. Ghoul n’a fait aucune conférence à l’étranger et n’a jamais été invité par aucune institution scientifique internationale. Autre chose qui nous intrigue dans le cas Ghoul, ce sont ses performances en langues anglaise et allemande, alors que tout le monde l’a vu comment il articule le français… Ould Kablia en face, devient carrément Jean-Paul Sartre.
La méthode de Amar Ghoul ressemble étrangement à la pédagogie dES FANATIQUES au début des années 1990. Vous vous rappelez probablement comment CEUX LA se moquaient de l’intelligence des Algériens en invitant Zanadani, l’homme surgi du Cro-Magnon pour venir à la patrie d’Arkoun faire «Annadawat oua al Halaqat haoula Al Ilm»(des discussions sur quoi ? Sur la science ya lazrag melloul). Insulte suprême au moment où Zanadani, le malade, fit sortir une aiguille de sa poche pour verser dans le «kahanout», la magie (min Houna Dakhalat oua min Houna Kharajat).
C’est à ce moment que des régiments de visages dévorés par la haine , aux mines patibulaires se mirent à crier «Allah Akbar». «Al Moutahajibate Al Mouchaghibate» qui formaient la section féminine des nouveaux P-DG d’Al Imane (la foi), répliquaient en Soprano, «Fi kimat al Hayajane» (dans le Summun de l’ébullition) ; Zanadani et quelques psychopathes venus du Soudan, avec la complicité de Belkhadem, constituèrent la substantifique moelle de la comédie. Au repos, on vous présente un barbu devant un Laptop (micro-ordivateur), acheté grâce à l’argent saoudien, le tout pour vous impressionner. Et dire que lors des dernières élections législatives, Amar Ghoul fit exactement la même chose. La présentation orale comme la présentation sur son site Web (www.amarghoul.org faites vite, visitez-le !), le font propulser en membre de la revue américaine Experimental Mechanics.
C’est grave car le Monsieur est membre de rien. Ghoul n’est ni parmi son équipe de sélection ou de lecture ni parmi les fondateurs. En 1998, le correspondant de Ghoul, exerçant à l’université de Poitiers (France), co-signe avec un autre enseignant de l’université de Chelf (Algérie), un document de 4 pages. Ce fut l’unique article envoyé par la poste et intitulé «Initiation and arrest of cracks on two pipeline steels at low temperature».
Il faut bien préciser qu’Experimental Mechanics est la revue officielle de The society of experimental mechanics, basée au Connecticut (USA).Cette revue est publiée par la maison germano-americaine Springer. Experimental Mechanics est accessible à tout le monde, ce qui veut dire que l’adhésion est permise à Ghoul comme à Belkhadem ou encore à celui qui fait la claque dans l’assemblée de TAJ. On peut soumettre son document aisément. Cependant, nous ne pouvons pas dire qu’elle était la politique éditoriale de cette revue en 1998 au moment où la circulation de la documentation scientifique n’a pas encore commencé par Internet. Aujourd’hui, nous lançons un défi à Amar Ghoul et nous lui demandons de publier maintenant au niveau d’Experimental Mechanics et d’informer la communauté universitaire du résultat d’évaluation.
On est sûr d’après les notes deThomson Reuters, qu’Experimental Mechanics décroche depuis 2010 un facteur d’impact appréciable (FI), quoi que ce n’est pas grâce aux 4 feuilles de Ghoul. Nous pensons avec certitude que l’article envoyé par un cadre universitaire reçoit généralement, un numéro puis il est remis à un (deux) reviewer(s) du comité de rédaction ou du comité de lecture avec une grille d’évaluation. Quelle grille d’evaluation a-t-on accordée au document de 1998 pour lequel Ghoul fait tout un tapage et déclare être membre…
On ne sait pas. Nous savons que le président du comité rédactionnel, vérifie la grille d’évaluation dès sa production par le (les) reviewer(s) puis la décision finale est prise et transmise aux auteurs avec les commentaires du(des) reviewer(s). La décision finale peut être un choix parmi les suivants : «accepté tel qu’il est», «révision majeure», «révision mineure», «rejeté avec re-soumission» ou «rejeté». Selon des sources, Amar Ghoul aurait passé deux années pour pouvoir faire passer sa marchandise. Ce qui nous paraît un peu louche au premier point, pourquoi Ghoul éparpille partout une seule production avec trois facettes et dans tous les forums. Deuxième point : pourquoi Ghoul prétend être membre en 2012, d’une revue morte en 1996.
Or, il paraît avec toute vraisemblance queGhoul n’a même pas pu publier dans le défunt Journal of Engeneering For Industry car s’il y avait une acceptation, le produit pourrait resurgir sur Internet. Reste à mentionner que ce «Gharib Al Attouar» utilise convenablement une tactique un peu singulière. Il se cache dans le groupe à l’extérieur du pays, et publie seule en Algérie. A titre de ministre des Travaux publics, chef du projet d’une autoroute, exposée à la mécanique de la rupture, il peut demander à un collègue de le citer dans ses références ou faire témoigner un autre à partir de l’université de Metz (1 494 places)… Une belle méthode de se multiplier.
Les bienfaits du miel, le poster et le corridor
par larbi zouaimia
La méthode de Amar Ghoul ressemble étrangement à la pédagogie dES FANATIQUES au début des années 1990. Vous vous rappelez probablement comment CEUX LA se moquaient de l’intelligence des Algériens en invitant Zanadani, l’homme surgi du Cro-Magnon pour venir à la patrie d’Arkoun faire «Annadawat oua al Halaqat haoula Al Ilm»(des discussions sur quoi ? Sur la science ya lazrag melloul). Insulte suprême au moment où Zanadani, le malade, fit sortir une aiguille de sa poche pour verser dans le «kahanout», la magie (min Houna Dakhalat oua min Houna Kharajat).
C’est à ce moment que des régiments de visages dévorés par la haine , aux mines patibulaires se mirent à crier «Allah Akbar». «Al Moutahajibate Al Mouchaghibate» qui formaient la section féminine des nouveaux P-DG d’Al Imane (la foi), répliquaient en Soprano, «Fi kimat al Hayajane» (dans le Summun de l’ébullition) ; Zanadani et quelques psychopathes venus du Soudan, avec la complicité de Belkhadem, constituèrent la substantifique moelle de la comédie. Au repos, on vous présente un barbu devant un Laptop (micro-ordivateur), acheté grâce à l’argent saoudien, le tout pour vous impressionner. Et dire que lors des dernières élections législatives, Amar Ghoul fit exactement la même chose. La présentation orale comme la présentation sur son site Web (www.amarghoul.org faites vite, visitez-le !), le font propulser en membre de la revue américaine Experimental Mechanics.
C’est grave car le Monsieur est membre de rien. Ghoul n’est ni parmi son équipe de sélection ou de lecture ni parmi les fondateurs. En 1998, le correspondant de Ghoul, exerçant à l’université de Poitiers (France), co-signe avec un autre enseignant de l’université de Chelf (Algérie), un document de 4 pages. Ce fut l’unique article envoyé par la poste et intitulé «Initiation and arrest of cracks on two pipeline steels at low temperature».
Il faut bien préciser qu’Experimental Mechanics est la revue officielle de The society of experimental mechanics, basée au Connecticut (USA).Cette revue est publiée par la maison germano-americaine Springer. Experimental Mechanics est accessible à tout le monde, ce qui veut dire que l’adhésion est permise à Ghoul comme à Belkhadem ou encore à celui qui fait la claque dans l’assemblée de TAJ. On peut soumettre son document aisément. Cependant, nous ne pouvons pas dire qu’elle était la politique éditoriale de cette revue en 1998 au moment où la circulation de la documentation scientifique n’a pas encore commencé par Internet. Aujourd’hui, nous lançons un défi à Amar Ghoul et nous lui demandons de publier maintenant au niveau d’Experimental Mechanics et d’informer la communauté universitaire du résultat d’évaluation.
On est sûr d’après les notes deThomson Reuters, qu’Experimental Mechanics décroche depuis 2010 un facteur d’impact appréciable (FI), quoi que ce n’est pas grâce aux 4 feuilles de Ghoul. Nous pensons avec certitude que l’article envoyé par un cadre universitaire reçoit généralement, un numéro puis il est remis à un (deux) reviewer(s) du comité de rédaction ou du comité de lecture avec une grille d’évaluation. Quelle grille d’evaluation a-t-on accordée au document de 1998 pour lequel Ghoul fait tout un tapage et déclare être membre…
On ne sait pas. Nous savons que le président du comité rédactionnel, vérifie la grille d’évaluation dès sa production par le (les) reviewer(s) puis la décision finale est prise et transmise aux auteurs avec les commentaires du(des) reviewer(s). La décision finale peut être un choix parmi les suivants : «accepté tel qu’il est», «révision majeure», «révision mineure», «rejeté avec re-soumission» ou «rejeté». Selon des sources, Amar Ghoul aurait passé deux années pour pouvoir faire passer sa marchandise. Ce qui nous paraît un peu louche au premier point, pourquoi Ghoul éparpille partout une seule production avec trois facettes et dans tous les forums. Deuxième point : pourquoi Ghoul prétend être membre en 2012, d’une revue morte en 1996.
Or, il paraît avec toute vraisemblance queGhoul n’a même pas pu publier dans le défunt Journal of Engeneering For Industry car s’il y avait une acceptation, le produit pourrait resurgir sur Internet. Reste à mentionner que ce «Gharib Al Attouar» utilise convenablement une tactique un peu singulière. Il se cache dans le groupe à l’extérieur du pays, et publie seule en Algérie. A titre de ministre des Travaux publics, chef du projet d’une autoroute, exposée à la mécanique de la rupture, il peut demander à un collègue de le citer dans ses références ou faire témoigner un autre à partir de l’université de Metz (1 494 places)… Une belle méthode de se multiplier.
Les bienfaits du miel, le poster et le corridor
par larbi zouaimia
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