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BENFLIS À PARTIR D'ORAN : Notre parti occupera une place importante"

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  • BENFLIS À PARTIR D'ORAN : Notre parti occupera une place importante"

    «Le militantisme politique est rude en Algérie» dira Benflis ajoutant que «cela est truffé d'entraves et d'embûches».
    C'est officiel, le premier congrès du parti de Benflis aura lieu dans moins d'un mois, les 14 et 15 juin à Zéralda à Alger L'annonce a été faite par Benflis à l'occasion des assises régionales tenues hier à Oran en présence des délégués représentants de 10 wilayas de l'ouest du pays. Présidant la rencontre d'Oran, Ali Benflis est longuement revenu sur les circonstances qui l'ont motivé, lui et ses compagnons, à passer à l'action en se structurant dans le cadre partisan. En ce sens il a affirmé que la finalité recherchée dans cette action politique est «de placer le parti comme acteur principal dans la scène politique nationale». Pourquoi donc le «parti de l'avant-garde des libertés». Benflis, très sûr dans ses affirmations, dira que cela relève de la volonté populaire. Il argumente tout en faisant référence à la présence d'un nombreux public qui a marqué la rencontre d'Oran. «Nous vous sommes redevables, vu votre engouement», a souligné l'ex-chef du gouvernement avant de passer dans les détails qui marquent l'actualité nationale, notamment en ce qui concerne l'exercice politique en Algérie. «Le militantisme politique est rude en Algérie» dira Benflis ajoutant que «cela est truffé d'entraves et d'embûches», lança-t-il.
    Pour Benflis, «ces embûches n'entraveront pas la démarche des militants convaincus, s'opposant aux intimidations et à toutes les formes de spéculation». En tenant de tels propos, jugés quelque peu acerbes vis-à-vis du système de gouvernance en Algérie, Benflis ira loin dans son propos en affirmant que «le système de gouvernance imposé à l'Algérie n'ouvre aucun droit d'exercice politique aux hommes et femmes». Sur sa lancée, il ajoutera que «des hommes et femmes sont écartés et marginalisés». Benflis hausse le ton et dira que «ce système opte pour la soumission (des populations), la tricherie aux dépens de la citoyenneté». «Ce système est bâti sur le négationnisme en rejetant la citoyenneté et la confiscation de la volonté populaire», a-t-il enchaîné. Pourquoi sommes-nous arrivés à une telle situation? Quelles sont les origines de toutes ces calamités?» s'est demandé Benflis. Les réponses ne lui ont pas manqué en affirmant d'un ton sec que «la raison principale est que ce système s'ancre à vie en ne reculant pas, même devant les dérapages comme ceux liés dans le cadre de la pérennisation du système». «Pour ce clan, rester au pouvoir est son seul but, raison pour laquelle la Constitution est bafouée». Evoquant la prochaine révision de la Constitution, Benflis n'a pas omis de la qualifier de «Loi fondamentale faite de toutes pièces au profit du système.» Par ailleurs, le président du parti Talaiou El houriyat, a estimé que «l'opposition politique est un devoir national sacré et pas seulement un droit consacré par la Constitution». Ali Benflis a expliqué à son assistance que Talaiou El houriyat oeuvre à «éveiller les consciences et à tirer la sonnette d'alarme sur la situation que vit le pays et non à semer la discorde, à diviser les rangs des Algériens et à créer le désordre». «L'objectif de notre parti est d'accélérer le processus d'alternative démocratique en Algérie» a-t-il encore souligné. Concernant les préparatifs du congrès constitutif, il a estimé que ceux-ci «se déroulent dans de bonnes conditions», appelant ses militants à contribuer activement, par les débats et leurs propositions, à la réussite de cet évènement.
    La rencontre d'Oran sera suivie par d'autres rassemblements au niveau de 10 wilayas de l'ouest du pays, avec pour objectif d'expliquer et d'enrichir les textes qui seront soumis au congrès constitutif du parti.

    Par Wahib AïT OUAKLI
    L'expression dz
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Félicitations pour ce premier départ, un congrès constitutif en bonne et due forme. C'est vrai ce nouveau parti va jouer un rôle significatif dans la vie politique mais gare aux opportunistes qui viendront se servir et non servir la démocratie et les llibertés. Benflis doit mmontrer l'exemple en faisant autrement la politique en s'ancrant dans la société avec des valeurs et non en mimant les réflexes du FLN et du rnd.
    Le PAGL doit bien se préparer aux batailles qui l'attendent .

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    • #3
      Benflis hausse le ton et dira que «ce système opte pour la soumission (des populations), la tricherie aux dépens de la citoyenneté».
      homme de BELKHEIR , BENFLIS doit sa carrière à sa collaboration avec le DAF dans sa complicité avec les militaires et politiciens qui étaient nombreux aux ordres du général. Mené en barque , il avait cru être très proche d'accéder du pouvoirsupprême pour ses qualités et ses compétences propres, là où les patrons ne voulaient que des leaders compromis...Réveil douloureux et remise en circuit aidé par quelques revenchards sous l'oeil attentif de Rab Dzair.

      le FLN est un parti indétronable . ZEROUAL n'ayant pas réussi à le doubler par le RND ce n'est pas BENFLIS qui y réussira. SAADANI assurera son poste en bon serviteur et mettra la dynamique du parti au service du candidat de TOUFIK.

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      • #4
        Le FLN , une machine rouillée composée de khobzistes aux dd'entiersaaiguisés

        Le sénateur du tiers présidentiel Salah Goudjil monte à nouveau au créneau pour dénoncer la volonté de l’actuelle direction du FLN de consacrer sa mainmise sur le parti, en enfreignant la réglementation et en piétinant les statuts. «Nous refusons de cautionner un congrès sur mesure qui va entériner la main mise d’un groupe de personnes sur le FLN», a affirmé Salah Goudjil pour lequel la dérive du parti risque de le conduire vers sa disparition. Cet ancien redresseur en chef qui reprend du service suite aux derniers développements estime que les opposants à l’organisation de ce congrès cherchent à sauver le FLN d’une cassure définitive. «Le parti du FLN s’enlise dans la crise multidimensionnelle qu’il connaît depuis des mois. Ses militants, ses cadres et ses sympathisants en souffrent et même l’opinion publique s’y intéresse et s’en inquiète», a-t-il relevé dans une déclaration rendue publique aujourd’hui. Pour Salah Goudjil, il est insupportable de voir que ceux qui dirigent actuellement le FLN, «après l’avoir squatté d’une manière flagrante en dépit d’un arrêt du Conseil d’Etat, ont l’air de ne pas s’en inquiéter et pratiquent la politique de la fuite en avant au point qu’ils ont décidé, contre toute attente, de tenir en quelques jours, au lieu de six à douze mois en temps normal, un congrès sur mesure qui rassemblerait plus de 5 000 personnes venant de différents horizons et ce, dans le but de faire main basse sur le parti». Le sénateur du tiers présidentiel, qui multiplie depuis quelques jours les contacts pour trouver une issue à ce qu’il qualifie de crise profonde, considère que la tenue du 10e congrès à la fin du mois et dans les conditions actuelles précipitera la cassure de l’ex-parti unique d’une manière définitive. Il estime que «le FLN se trouve à la croisée des chemins : ou bien il est redressé rapidement pour revenir à ses véritables militants et à sa mission originelle au service du pays en contribuant à son développement, ou bien il disparaît dans le fracas avec toutes les conséquences qui en découleraient». Mais, assure-t-il, personne ne pourra contrôler à lui seul le parti. Il affirme que, devant cette situation exceptionnelle, un nombre important des membres du comité central (l’instance dirigeante du parti entre deux congrès ), conscients de leur responsabilité historique, ont profité d’une rencontre à Alger pour débattre, à son initiative, de la gravité de la situation et s’entendre sur la manière d’éviter l’implosion du parti. Une implosion qui ne manquera pas d’avoir de graves incidences sur le fonctionnement des institutions de l’Etat, notamment au sein du Parlement et dans les assemblées populaires où le FLN détient la majorité des sièges, prévient-il. Pour lui, il y va de l’avenir du FLN.
        Rafik Meddour
        *

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        • #5
          Si Benflis se consacre au bien du pays et du peuple et uniquement à cela sans chercher à construire une nouvelle mafia , tous les militants integres et fidèles aux idéaux de la révolution du FLN le rejoindront, les barons indeboulonables resteront seuls avec leur mauvaise conscience.

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          • #6
            Cet ancien redresseur en chef qui reprend du service
            Les redresseurs ont été mis en branle par les DAF en vue d'éliminer le FLN que n'avait pas réussi à mettre à mort le multipartisme , faute de programme, de libertés et d'engagement du peuple qui savait que tout était pipé.

            les décideurs du DRS groupé autour de TOUFIK , tous anciens du FLN , sachant qu'ils n'avaient rien à craindre du parti prestigieux qu'ils contrôlaient laissèrent faire , laissant les exités d'étriper. Le FLN est le parti qui a donné l'indépendance à l'Algérie qui depuis est passé sous la coupe des militaires .
            DRS-FLN fera élire son dauphin, sitôt que le vieux rendra son âme à Dieu.

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            • #7
              Ce sont des révolutionnaires qui ont fondé le FLN qui était un front de libération et pas dutout un parti politique. Ce sont les putschistes de 62 qui en ont fait un parti unique.
              Ce parti de la dictature post colonial à toujours servi el wagef, il a vendu son âme et depuis ne cesse de se donner à l'aplaventrisme et à la corruption sur tous les plans .

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              • #8
                SALAM ALIKOUM SI KHORE....


                Je ne peux que comprendre votre colère, quand vous parlez de tout ce puant ramassis de crapules qui n'a de cesse à conduire notre pays vers sa ruine...
                visiblement bien documenté que vous êtes...j'apprécie vos messages au vitriol, que la réalités des choses confirme...

                Ma réserve dans tout cela... se veut au niveau de votre avis sur Ali Benflis que j'hésite à mettre dans le même panier que tout ces crabes que vous citez avec un soucis de précision

                j'ai force à croire que quelque sois le passe d'un être humain aussi trouble et sulfureux soit-il...ses capacités de changement dans le bon sens peuvent à tout moment le transcender...(oua allah yehdi men yacha)

                indépendamment de cela, je crois à la différence positive de ce monsieur par rapport aux autres...

                Sans quoi , il n'aurait pas quitté l'enclos doré du Sérail, pour présumer autrement de ses forces , en somme , au service d'un idéal national qu'il entend partager avec la cite Algérienne..

                j'espère que du congres de son Parti, émergera une ligne directrice qui saura se faire plébisciter par une conséquente majorité aux prochaines échéances électorales.

                Je crois que notre pays à besoin d'un homme comme Ali Benflis...pour lui donner l'avenir qui lui convient

                NB / Je ne suis militant d'aucun parti...et mon avis est indépendant de toutes tendance politiques ...

                salutations...
                Dernière modification par tayeb el Ouatani, 18 mai 2015, 18h31.
                "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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                • #9
                  Notre parti occupera une place importante
                  aprés une lourd défaite en ce prépare pour les prochaines élections APN atraver ces déclations en cherche aussi une part du gateaux ....ou en jeux le role du pompier pour le pauvoir !!!
                  dz(0000/1111)dz

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                  • #10
                    Sans quoi , il n'aurait pas quitté l'enclos doré du Sérail, pour présumer autrement de ses forces , en somme , au service d'un idéal national qu'il entend partager avec la cite Algérienne..
                    Chacun est libre d'avoir ses opinions et ses vérités, mais enfin, un minimum d’honnêteté intellectuel est requise dans le marketing politique. Benflis a été poussé par son mentor à se présenter contre son président en 2004. Il n'a donc pas quitté l'enclos doré du sérail, mais a succombé aux chants des sirènes qui l'ont fait plus gros qu'il ne l'est, subventionné par une presse qui s'est étonnement mise à son service. Étonnement quand on sait au nom de qui il a adhéré aux comités des droits de l'homme... Un président doit etre capable de mesure et de retenu, malheureusement, il n'est pas taillé pour une charge aussi lourde, ni en terme de maîtrise de certains sujets, et ses approximations sur le gaz du schiste sont effarantes, ni en terme de personnalité, ni en terme de programme, qui ressemble à du FLN new look, à la sauce Belkheir, donc avec une dose de libéralisme... On a eu un Chadli qui amené le pays là où on sait, non merci, personnellement, je ne souhaite pas d'un Benflis à la tête de la destinée de ce pays...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      salam Katiaret...


                      je n'ai pas compris le sens de ton message....
                      "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

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