Il est vrai que le débat est houleux, aggressif, virant même des fois au racisme. Il serait bon de remettre les choses en ordre, et d'arrêter de revendiquer à droite et à gauche, avec un nationalisme passioné, qui mène finalement à des débats stériles qui finissent dans la poubelle des innombrables Topics fermés par la modération.
Le problème, c'est que dans le fond, nous sommes d'accord, il faut dire que nous n'avons pas vraiment le choix. Il ya un térritoire, un pays qui l'occupe (à ne pas comprendre le sens péjoratif du terme, occuper n'est pas coloniser), un mouvement qui revendique son indépendence, et bien entendu, une population. Juridiquement, le statut de ce térritoire est "non-autonome". Donc il est clair, que par définition, internationalement, le térritoire n'est ni indépendent, ni sous souveraineté marocaine. Maintenant, d'un côté comme de l'autre, on s'amuse à interpréter ça à une manière bien manipulatrice ma foi (bien que j'en ai pas lol ^^), entre "les provinces du Sud", et "le térritoire colonisé", on a du mal à choisir, surtout quand on sait, que des deux côtés, il y a tout sauf démocratie, alors imaginez le niveau d'indépendence de la presse. Statut quo il ya, et si l'on continue de cette manière, statut quo il restera.
Pourquoi un statut quo? Parce que d'un côté, il ya un pays qui ne reconnait pas une entité, et de l'autre, une entité qui dénonce l'hégémonie d'un pays sur un térritoire et une population, qu'elle prétend représenter. Et là est la quéstion, si le pays ne reconnait pas la légitimité d'une organisation à représenter une population, c'est que cette dernière, n'en a jamais fait la preuve. Le Polisario parle au Nom du Peuple Sahraoui, et revendique l'indépendence du Sahara occidental, alors qu'il n'ya jamais eu preuve (vote ou autres) qui puisse le prouver, démocratiquement, je soulève ce mot, vu que la RASD, se revendique comme Démocratique.
D'un autre côté, le Maroc a été l'un des pays les plus "imbécile" de l'histoire post-colonial. D'un côté, un régime féodal, qui n'a jamais trouvé ses bases idéologiques, preuve : un systeme économique complètement Mezboute (merci fellag). Et d'un autre, une cause des plus légitimes (je ne donne pas mon point de vue, mais tous les historiens s'accordent sur le fait que si le Maroc avait poursuivi sa politique de "regain des terres", sans avoir peur des veilleités révolutionnaire de l'ALN-sud, jamais ce problème n'aurait vu le jour). Alors l'alchimie de tout celà, donne une diplomatie molle, un cause dégradée, de l'argent pérdu, et une politique envers les "provinces du Sud" des plus déplorables.
Les faits sont clairs, les deux parties vont tous les deux à l'encontre de leur interêt, en caréssant l'égo nationaliste des populations, ou allant vers la démagogie. Il ne sert à rien de crier haut et fort, de rabâcher des "vive le Sahara marocain", ou "l'Algérie soutiendra la peuple Sahraoui vers la victoire", les costardés de New York décident, et nous, nous éxécutons. Ce qu'il faut, c'est un changement radical de la politique inter-Tiers-monde, c'est qu'au delà de nos différents, il faut être solidaire devant l'énnemi : l'impérialisme politique, économique et militaire. Il faut une conscience de classe, un soulèvement. Une Révolution. LA Révolution.
Le problème, c'est que dans le fond, nous sommes d'accord, il faut dire que nous n'avons pas vraiment le choix. Il ya un térritoire, un pays qui l'occupe (à ne pas comprendre le sens péjoratif du terme, occuper n'est pas coloniser), un mouvement qui revendique son indépendence, et bien entendu, une population. Juridiquement, le statut de ce térritoire est "non-autonome". Donc il est clair, que par définition, internationalement, le térritoire n'est ni indépendent, ni sous souveraineté marocaine. Maintenant, d'un côté comme de l'autre, on s'amuse à interpréter ça à une manière bien manipulatrice ma foi (bien que j'en ai pas lol ^^), entre "les provinces du Sud", et "le térritoire colonisé", on a du mal à choisir, surtout quand on sait, que des deux côtés, il y a tout sauf démocratie, alors imaginez le niveau d'indépendence de la presse. Statut quo il ya, et si l'on continue de cette manière, statut quo il restera.
Pourquoi un statut quo? Parce que d'un côté, il ya un pays qui ne reconnait pas une entité, et de l'autre, une entité qui dénonce l'hégémonie d'un pays sur un térritoire et une population, qu'elle prétend représenter. Et là est la quéstion, si le pays ne reconnait pas la légitimité d'une organisation à représenter une population, c'est que cette dernière, n'en a jamais fait la preuve. Le Polisario parle au Nom du Peuple Sahraoui, et revendique l'indépendence du Sahara occidental, alors qu'il n'ya jamais eu preuve (vote ou autres) qui puisse le prouver, démocratiquement, je soulève ce mot, vu que la RASD, se revendique comme Démocratique.
D'un autre côté, le Maroc a été l'un des pays les plus "imbécile" de l'histoire post-colonial. D'un côté, un régime féodal, qui n'a jamais trouvé ses bases idéologiques, preuve : un systeme économique complètement Mezboute (merci fellag). Et d'un autre, une cause des plus légitimes (je ne donne pas mon point de vue, mais tous les historiens s'accordent sur le fait que si le Maroc avait poursuivi sa politique de "regain des terres", sans avoir peur des veilleités révolutionnaire de l'ALN-sud, jamais ce problème n'aurait vu le jour). Alors l'alchimie de tout celà, donne une diplomatie molle, un cause dégradée, de l'argent pérdu, et une politique envers les "provinces du Sud" des plus déplorables.
Les faits sont clairs, les deux parties vont tous les deux à l'encontre de leur interêt, en caréssant l'égo nationaliste des populations, ou allant vers la démagogie. Il ne sert à rien de crier haut et fort, de rabâcher des "vive le Sahara marocain", ou "l'Algérie soutiendra la peuple Sahraoui vers la victoire", les costardés de New York décident, et nous, nous éxécutons. Ce qu'il faut, c'est un changement radical de la politique inter-Tiers-monde, c'est qu'au delà de nos différents, il faut être solidaire devant l'énnemi : l'impérialisme politique, économique et militaire. Il faut une conscience de classe, un soulèvement. Une Révolution. LA Révolution.
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