La violence domestique est l'ensemble des formes de violences qui s'exerce dans la maison, quelles que soient les personnes qui les exercent et celles qui les subissent.
A la différence de ceux ou celles qui parlent de "violences conjugales", de "violences familiales", ou de "violences maritales", ceux ou celles qui particularisent et classent séparément les "violences contre les femmes" ou les "violences à enfants", j'utilise un terme unique qui globalise des phénomènes semblables. De plus, on peut vivre seul-e et être violenté-e, être tour à tour violenté-e et violent-e… Le point commun de toutes ces violences est de s'exercer dans le privé de la maison. J'ai abandonné l'expression pourtant alléchante de "violences en privé", car le privé est une notion qui m'est apparue trop large. On peut ainsi avoir des relations privées dans beaucoup d'autres lieux que la maison: le bureau, l'atelier, l'université…
Les formes de la violence domestique sont diverses, nous allons les examiner une à une. Mais devant la confusion et la multiplicité des définitions qui concernent la violence, il est utile au préalable d'ouvrir une parenthèse.
Les définitions qui suivent, comme toutes définitions, sont à prendre comme des "outils" qui permettent de classer entre elles les différentes violences, des repères pour permettre de savoir de quoi on parle. Elles essaient d'être les plus objectives possible. Pour éviter tout malentendu, je préciserai les différentes sortes de violences en les illustrant d'exemples fournis par des hommes ou des femmes.
La liste est longue et difficile à lire. Ce n'est pas par gaieté de coeur que je la reproduis. Elle est à l'image de ce que vivent encore hommes et femmes à l'aube de l'an 2000. Elle décrit une réalité complexe et multiforme: les violences domestiques que nos sociétés commencent à découvrir dans toute leur horreur.
A la différence de ceux ou celles qui parlent de "violences conjugales", de "violences familiales", ou de "violences maritales", ceux ou celles qui particularisent et classent séparément les "violences contre les femmes" ou les "violences à enfants", j'utilise un terme unique qui globalise des phénomènes semblables. De plus, on peut vivre seul-e et être violenté-e, être tour à tour violenté-e et violent-e… Le point commun de toutes ces violences est de s'exercer dans le privé de la maison. J'ai abandonné l'expression pourtant alléchante de "violences en privé", car le privé est une notion qui m'est apparue trop large. On peut ainsi avoir des relations privées dans beaucoup d'autres lieux que la maison: le bureau, l'atelier, l'université…
Les formes de la violence domestique sont diverses, nous allons les examiner une à une. Mais devant la confusion et la multiplicité des définitions qui concernent la violence, il est utile au préalable d'ouvrir une parenthèse.
Les définitions qui suivent, comme toutes définitions, sont à prendre comme des "outils" qui permettent de classer entre elles les différentes violences, des repères pour permettre de savoir de quoi on parle. Elles essaient d'être les plus objectives possible. Pour éviter tout malentendu, je préciserai les différentes sortes de violences en les illustrant d'exemples fournis par des hommes ou des femmes.
La liste est longue et difficile à lire. Ce n'est pas par gaieté de coeur que je la reproduis. Elle est à l'image de ce que vivent encore hommes et femmes à l'aube de l'an 2000. Elle décrit une réalité complexe et multiforme: les violences domestiques que nos sociétés commencent à découvrir dans toute leur horreur.
Commentaire