Ma chance, mon trésor, mon Amérique, c'est toi,
Avec toi, j'ai tant appris, sur la vie, ses déboires aussi,
Un jour, le ciel immense bleu azur, aucun nuage et pas de vent,
Le lendemain, tout est à recommencer, une nouvelle page blanche, vierge.
Sur la mer démontée, telle la Pinta, tu es le vaisseau-mère, la découvreuse,
Tu offres une terre riche, de cette richesse qui fait de moi un pauvre humain,
Ce grain de sable qui fait les plus belles plages ouvrant sur mer bleu turquoise,
Un petit d'homme marchant dans les pas de son père, image d'un idéal absent.
Ma richesse à moi, c'est toi, rien, que toi, encore toi, toujours toi mon ange,
Quand souffle la tempête, il faut baisser la voilure et laisser faire les vagues,
Faire ce pari insensé, risqué, parfois truqué, mais gardé foi en toi mon ange,
Regardes, tous les hommes ont leurs muses, toutes les femmes ont leurs princes.
mai 2015
Avec toi, j'ai tant appris, sur la vie, ses déboires aussi,
Un jour, le ciel immense bleu azur, aucun nuage et pas de vent,
Le lendemain, tout est à recommencer, une nouvelle page blanche, vierge.
Sur la mer démontée, telle la Pinta, tu es le vaisseau-mère, la découvreuse,
Tu offres une terre riche, de cette richesse qui fait de moi un pauvre humain,
Ce grain de sable qui fait les plus belles plages ouvrant sur mer bleu turquoise,
Un petit d'homme marchant dans les pas de son père, image d'un idéal absent.
Ma richesse à moi, c'est toi, rien, que toi, encore toi, toujours toi mon ange,
Quand souffle la tempête, il faut baisser la voilure et laisser faire les vagues,
Faire ce pari insensé, risqué, parfois truqué, mais gardé foi en toi mon ange,
Regardes, tous les hommes ont leurs muses, toutes les femmes ont leurs princes.
mai 2015
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