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Moncef Marzouki, l’ancien président de la République tunsienne, a lancé une pétition internationale pour contraindre les autorités égyptiennes à suspendre les condamnations à mort prononcées contre l’ex-président égyptien déchu par l’armée, Mohamed Morsi, ainsi que des dizaines d’activistes politiques.
« Les condamnations semblables pourraient mener à la violence et à la guerre civile en Egypte, dans un contexte social très tendu », lit-on sur sa page officielle sur facebook.
Il a également affirmé qu’il n’est pas seul dans ce combat et qu’un certain nombre de politiciens, activistes de la société civile et universitaires s’associent à lui pour dénoncer le recours à la peine capitale.
L’ancien président de la République a, d’autre part, plaidé dans cette pétition pour la suspension des jugements de condamnation à mort contre Mohamed Morsi et les activistes islamistes, afin d’aider le peuple égyptien à réussir la transition démocratique et à éviter la guerre civile
- l'économiste maghrébin
« Les condamnations semblables pourraient mener à la violence et à la guerre civile en Egypte, dans un contexte social très tendu », lit-on sur sa page officielle sur facebook.
Il a également affirmé qu’il n’est pas seul dans ce combat et qu’un certain nombre de politiciens, activistes de la société civile et universitaires s’associent à lui pour dénoncer le recours à la peine capitale.
L’ancien président de la République a, d’autre part, plaidé dans cette pétition pour la suspension des jugements de condamnation à mort contre Mohamed Morsi et les activistes islamistes, afin d’aider le peuple égyptien à réussir la transition démocratique et à éviter la guerre civile
- l'économiste maghrébin