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Sellal : Au rythme actuel des dépenses, les caisses de l’État presque vides en 2019

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  • Sellal : Au rythme actuel des dépenses, les caisses de l’État presque vides en 2019

    Le Premier ministre n’a pas écarté un scénario catastrophe en cas d’échec du plan anticrise.

    “Nous allons vers une grave crise financière en 2019, au rythme actuel des dépenses publiques et des importations”, a averti le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, lors de la réunion tenue avec les cadres du secteur de l’énergie lundi dernier. “À 60 dollars, les réserves de change atteindront 38 milliards de dollars dans quatre ans. À 55 dollars, elles se situeront à 9 milliards de dollars”, a-t-il estimé. Soit de quoi couvrir moins d’un mois et demi d’importations.
    Ce qui veut dire qu’on s’achemine vers la fonte quasi totale des réserves de change à la fin du plan quinquennal 2015-2019 si les prix du pétrole se situent en moyenne dans les fourchettes des prix du pétrole susmentionnées. En d’autres termes, l’Algérie dans ces scénarios va puiser chaque année 35 à 40 milliards de dollars, au rythme actuel des dépenses publiques. En parallèle, des experts anticipent, dans l’hypothèse d’un laisser-faire ou d’une inefficacité dans l’application du plan anticrise, l’épuisement du Fonds de régulation des recettes en deux à trois ans.
    Cela veut dire que la situation est beaucoup plus grave qu’on ne l’imaginait. En cas d’échec dans l’application du plan anticrise ou d’hésitations à procéder à de grands arbitrages dans les dépenses publiques, l’Algérie court vers la banqueroute en 2019 ou 2020 avec les conséquences qu’on peut imaginer sur le plan social : pouvoir d’achat affaibli, augmentation du chômage et graves difficultés à garantir la paix sociale et à prendre en charge les besoins de la population.
    On léguera dans quatre ans une situation économique insoutenable aux Algériens et on ouvrira une large brèche en termes de souveraineté nationale avec un possible recours à l’appui conditionné des institutions financières internationales.
    Les marges de manœuvre du gouvernement sont étroites. D’autant que le chef de l’État somme l’Exécutif de poursuivre l’effort colossal d’investissements dans les infrastructures dans le plan quinquennal 2015-2019 et de maintenir les subventions. Les principaux objectifs du programme présidentiel sont toujours maintenus : résorber la crise du logement en 2019, atteindre un taux de croissance annuel de 7%, poursuivre le programme de modernisation des infrastructures, surtout pour les projets en cours de réalisation : voies ferrées, autoroutes, barrages…
    Or, les restes à réaliser uniquement du plan quinquennal 2010-2014 sont estimés à 100 milliards de dollars. On s’achemine donc vers une crise de financement. À moins que les alternatives au financement des grands projets d’investissement par le budget de l’État ne se mettent en place : financements bancaires, financements par le marché financier. Ainsi, une telle situation invite la société civile et les partis politiques à exercer une pression sur nos gouvernants pour que les mesures salutaires soient mises en œuvre dans les délais pour éviter de nouvelles souffrances à la population. Sans quoi, les intérêts de quelques hommes d’affaires primeront sur ceux de la collectivité nationale. Dans ce cas, on peut s’inquiéter sérieusement sur l’avenir économique de l’Algérie.
    Liberté

  • #2
    au moins avec cette (crise) nos responsable sont devant le fait accompli, très facile de dépenser et s'en mettre plein les poches l'argent gagner sans travail et sans effort,

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    • #3
      Ils sont où les forumeurs qui critiquaient ceux qui prévoyaient des caisses de l'état vide et un possible recours à des prêts, 2019 c'est dans a peine 4 ans.
      Voilà où nous a mener notre nif
      l'amitié est une chose rare,l'ami veritable est celui qui te demande d'etre toi meme.il t'aidera a survivre par l'amour qu'ilte porte

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      • #4
        D'ici quatre ans on fera le bilant ,si on tient jus-quand 2019 sans passé par la case prêt on sera pas trop mal .
        On a encore de la marge .

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        • #5
          Sellal : Au rythme actuel des dépenses, les caisses de l’État presque vides en 2019
          C'est pas précis du tout..les réserves de changes ne sont pas '' les caisses de l’état ''...c'est de l'argent bloqué qui n'est pas à la disposition du gouvernement.
          les caisses de l’état c'est le fond de régulation des recettes...et selon les spécialistes, le FRR sera à sec fin 2016 ...alors évidemment, ce scenario n'est valable que sous l'hypothèse d'un prix du baril autour de 60$...si les prix remontent, les résultats de ces simulations s’effondreront.

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          • #6
            Je me demande surtout , oui surtout , pourquoi les clowns imposent-ils le secret quand eux mêmes sèment à tout vent bobards et contrevérités .

            Non , il nous faut jeter la lumière sur tout !

            Sur ces salopards de voleurs que le pouvoir a ennoblis, sur les crimes commis sous couvert de causes sacrées , sur les complices à tous les échelons , sur le comment ce pays collectionne les intentions d'entreprendre dans le même temps qu'il garrotte tout , sur ce que cache l’écran de la bureaucratie , sur le racisme et le régionalisme érigés en système de défense de l’État ,sur l'ignorance de nos dirigeants , sur l’errance de la misère à travers le pays , sur ..., sur...à ne plus finir !!!

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            • #7
              Sellal : Au rythme actuel des dépenses, les caisses de l’État presque vides en 2019
              s'il s'inquiete vraiment il demande a sa fille, aux enfants de saadani , aux enfants de BELKHEIR , aux enfants de Lamari , aux enfants de Nezhar, au fils de chadli, au fils de toufiq, aux enfants Atailiya ..........................aux enfants de Gaîd Salah, aux enfants de nos cher ministre et les caisses se rempliront par l'operation du saint esprit jusqu'a 2039

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              • #8
                Les voleurs ont sentis le danger , allez voir les visites des ventes aux encheres immobilières dans paris et sa banlieue , que des Algeriens qui achetent cache des appartements parfois à 400000 euros , ils peuvent voler et piller l' argent du peuple tant qu il y a des énergumènes qui les défendent ici même dans ce forum parmi eux un certain pseudo intellectuel dont je ne citera pas le nom a bon a tendeur .
                Faute de grives , nous mangeons des Merles

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                • #9
                  C'est pour cette raison qu'ils ont fait des mains et des pieds pour garder bouteflika,il les couvre.

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                  • #10
                    si ca va si mal qu'ils vendent les apparts a paris

                    pour renflouer les caisses.Bizarrement le discours devient de plus en plus sombre -j'espere qu'il y a bien des reserves de changes de coté -parce j'ai comme l'impression que cette inquietude soudaine est peut etre lié a quelque chose que les algeriens ne soupconne pas encore -la disparition des reserves de changes !...allicante est quasiment algerienne -l'immobilier parisien est acheté a tour de bras -d'ou viens tout ce fric?- Ce serait votre fameux matelas sur lequel devait compter le pays -vous ne les croyez pas capable?.

                    y a peut etre plus rien

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                    • #11
                      vu le niveau des taux d’intérêts si il faut repasser par la case pret il vaudrait mieux le faire maintenant avec un petrole encore cher et des taux bas -encore faut il savoir quoi faire avec l'argent car si pour acheter le 7eme arrondissement de paris apres le 16eme et le 8eme cela ne sert pas a grand chose .
                      Dernière modification par Bgaith, 27 mai 2015, 21h36.

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                      • #12
                        citation.
                        sur l’errance de la misère à travers le pays , sur ..., sur...à ne plus finir !!!
                        ______________________________


                        Panic pas ,on en a vue d'autre...!

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                        • #13
                          @bgayath
                          c clair et on s'attend a quoi d'une économie monopolisée par l'administration qui ne produit que dalle à part la mauvaise gestion
                          les reserves de changes ça va etre le dernier coup de pocker pour sauver le château de cartes , le peuple ne verra que du feu comme d'hab

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                          • #14
                            >>>Ils sont où les forumeurs qui critiquaient ceux qui prévoyaient des caisses de l'état vide et un possible recours à des prêts

                            Ils travaillent sur le projet de la pénétrante autoroutière entre El mouradia et El alia, qui va coûter (si l'on prend l'inflation), exactement les 9 milliards de dollars qui resteraient dans les caisses en 2019.

                            Il faut bien un projet grandiose pour finir.

                            Ma Yenfaa ghir Sah.

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                            • #15
                              4 ans çà passe super vite pour une nation ! le travail c'est sur 10-15 ans, sous les années boutef quoi ! donc çà sera un echec pour eux, pas étonnant !

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