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Coupe du monde 2010 : Le Maroc victime de corruption ?

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  • Coupe du monde 2010 : Le Maroc victime de corruption ?

    Nouveau rebondissement dans le scandale qui secoue les arcanes de la FIFA.
    La ministre américaine de la Justice à New York, Loretta Lynch, a annoncé que l’attribution de la Coupe du monde de football 2010 était "corrompue".
    En effet, selon elle, "des dirigeants de la FIFA et d’autres ont corrompu le processus en utilisant des pots-de-vin pour influencer la décision".
    Cette déclaration choc remet en question le choix de l’Afrique du Sud comme pays organisateur dans la compétition qui l’opposait au Maroc.
    leconomiste

  • #2
    rAQCO: " Nouveau rebondissement dans le scandale qui secoue les arcanes de la FIFA.

    La ministre américaine de la Justice à New York, Loretta Lynch, a annoncé que l’attribution de la Coupe du monde de football 2010 était "corrompue".

    En effet, selon elle, "des dirigeants de la FIFA et d’autres ont corrompu le processus en utilisant des pots-de-vin pour influencer la décision".

    Cette déclaration choc remet en question le choix de l’Afrique du Sud comme pays organisateur dans la compétition qui l’opposait au Maroc."

    N'importe quoi! Ce qui l'avait emporté lors de dotation de la coupe du monde de foot de 2010 constituait de savoir: " Alors faudrait-il aussi admettre d'allouer à Israël cette joute sportive un jour?"

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    • #3
      Cette déclaration choc remet en question le choix de l’Afrique du Sud comme pays organisateur dans la compétition qui l’opposait au Maroc.
      J'ai vu ça sur BFM. A l'époque on s'en doutait un peu.

      Le qatari Mohammed Bin Hammam, le président de la Confédération asiatique de football à l'époque, a joué un rôle déterminant dans la corruption des membres de la FIFA pour barrer la route au Maroc.

      Il a été banni à vie par la FIFA en 2012 pour malversations au sein de la confédération asiatique.

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      • #4
        -Les raisons de ce qui n'a que l'apparence d'un coup de tonnerre dans un ciel serein sont à rechercher ailleurs, et sans doute loin en arrière. Les germes de l'aigreur sont semés dès 1962, lors de la tournée de Nelson Mandela au Maghreb. Celui qui est alors le leader de l'ANC clandestin dans son propre pays rencontre Bourguiba et Ben Bella, mais n'est reçu au Maroc par aucun officiel - ni, a fortiori, par le roi Hassan II.

        Plus tard, au début des années 1980, lorsque le même Mandela croupit à Robben Island, l'armée marocaine, en pleine guerre contre le Polisario soutenu par l'Algérie, se fournit secrètement en blindés légers Panhard fabriqués sous licence en Afrique du Sud. Il n'en faut pas plus pour que l'ANC y voit une collusion entre le royaume et le régime de l'apartheid, et assimile le combat des indépendantistes sahraouis au sien - la commune idéologie « progressiste » des deux mouvements faisant le reste. En 1994, à peine arrivé au pouvoir, Nelson Mandela, qui n'a pas la mémoire courte, s'engage par écrit auprès du président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, à reconnaître sans délai l'entité sahraouie. Le Polisario ouvre aussitôt un bureau à Pretoria. Mais les pressions américaines, françaises, saoudiennes, puis celles de James Baker - le représentant spécial de Kofi Annan au Sahara - incitent l'Afrique du Sud à reporter sa décision. En 2000, la ministre Dlamini Zuma informe officiellement le Maroc que son pays, sans rien renoncer de ses convictions, est prêt à jouer les médiateurs entre les deux parties. Rabat fait la sourde oreille. En 2003, la compétition pour la désignation du pays hôte de la Coupe du monde de football en 2010 met aux prises... l'Afrique du Sud et le Maroc.-


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        • #5
          même celle de 1998 face à la France.

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