Lassée de combattre un système pileux envahissant, une étudiante britannique a cessé de s'épiler il y a huit ans. Elle encourage les femmes à en faire de même.
Yasmin Gasimova n'est pas une étudiante tout à fait comme les autres. Cette Britannique de 19 ans a révélé sur son blog qu'elle ne perdait pas de temps à s'épiler. C'est sans aucun complexe que la jeune femme a publié sur le web une série de photos montrant différentes parties de son corps recouvertes de poils, rapporte le «Daily Mirror».
«Peut-être que je me ferai le maillot si je pars en vacances, mais attrapez-moi dans un jour normal où mes aisselles sont broussailleuses et mes jambes touffues, et vous pourriez être surpris», prévient la jeune femme. L'étudiante en science informatique et en philosophie explique que les seuls poils qu'elle rase plus ou moins régulièrement, ce sont ceux de son visage.
«Etre poilue n'a rien d'effrayant. Dans une société où les femmes sont censées s'épiler, je n'ai pas honte de dire que je ne le fais pas», affirme la jeune femme qui écrit pour le journal d'étudiants «The Tab». Yasmin raconte qu'à l'âge de 10 ans, ses camarades de classe se moquaient d'elle parce qu'une légère moustache recouvrait sa lèvre supérieure. Mais un an plus tard, la Britannique a décidé de ne plus se prendre la tête à cause de son système pileux: «Comme j'avais des poils naturellement épais et qui poussaient rapidement, je devais gaspiller une heure juste pour avoir des petits points sur mes jambes, qui repousseraient en une semaine», explique la jeune femme.
Une exception pour les rendez-vous galants
Libérée du fardeau de l'épilation, Yasmin admet qu'elle se plie tout de même à l'exercice quand elle part en vacances ou qu'elle essaie de se trouver un amoureux. «Oui je me rase, très très rarement, quand c'est une nécessité absolue. Malheureusement, je préfère encore les inconvénients de l'épilation aux regards méchants et au rejet», ajoute-t-elle.
L'étudiante espère que son choix inspirera la gent féminine. «La société a décidé que les femmes devaient être complètement imberbes de manière à être perçues comme véritablement féminines. Mais rien de ce qui est naturel chez une femme ne devrait la faire se sentir moins féminine. C'est la réalité du corps féminin, et elle ne devrait pas être camouflée», conclut la Britannique.
20 minutes
Yasmin Gasimova n'est pas une étudiante tout à fait comme les autres. Cette Britannique de 19 ans a révélé sur son blog qu'elle ne perdait pas de temps à s'épiler. C'est sans aucun complexe que la jeune femme a publié sur le web une série de photos montrant différentes parties de son corps recouvertes de poils, rapporte le «Daily Mirror».
«Peut-être que je me ferai le maillot si je pars en vacances, mais attrapez-moi dans un jour normal où mes aisselles sont broussailleuses et mes jambes touffues, et vous pourriez être surpris», prévient la jeune femme. L'étudiante en science informatique et en philosophie explique que les seuls poils qu'elle rase plus ou moins régulièrement, ce sont ceux de son visage.
«Etre poilue n'a rien d'effrayant. Dans une société où les femmes sont censées s'épiler, je n'ai pas honte de dire que je ne le fais pas», affirme la jeune femme qui écrit pour le journal d'étudiants «The Tab». Yasmin raconte qu'à l'âge de 10 ans, ses camarades de classe se moquaient d'elle parce qu'une légère moustache recouvrait sa lèvre supérieure. Mais un an plus tard, la Britannique a décidé de ne plus se prendre la tête à cause de son système pileux: «Comme j'avais des poils naturellement épais et qui poussaient rapidement, je devais gaspiller une heure juste pour avoir des petits points sur mes jambes, qui repousseraient en une semaine», explique la jeune femme.
Une exception pour les rendez-vous galants
Libérée du fardeau de l'épilation, Yasmin admet qu'elle se plie tout de même à l'exercice quand elle part en vacances ou qu'elle essaie de se trouver un amoureux. «Oui je me rase, très très rarement, quand c'est une nécessité absolue. Malheureusement, je préfère encore les inconvénients de l'épilation aux regards méchants et au rejet», ajoute-t-elle.
L'étudiante espère que son choix inspirera la gent féminine. «La société a décidé que les femmes devaient être complètement imberbes de manière à être perçues comme véritablement féminines. Mais rien de ce qui est naturel chez une femme ne devrait la faire se sentir moins féminine. C'est la réalité du corps féminin, et elle ne devrait pas être camouflée», conclut la Britannique.
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