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La société allemande Bosch aspire à ouvrir une implantation en Algérie sous forme de bureau de liaison afin de mettre l'accent sur son engagement pour le pays et offrir un meilleur accompagnement à ses partenaires et clients.
Le Dr. Markus Thill, responsable de la région Afrique, a été présent, ce jeudi 28 mai, lors de l'événement de présentation des activités du groupe à Alger. Nous lui avons posé quelques questions.
Votre société a déposé une demande d'ouverture d'un bureau de liaison en Algérie, pouvez-nous en expliquer les raisons ?
Une demande d'ouverture d'un bureau de liaison en Algérie a été, effectivement, soumise aux autorités et nous attendons la réponse. A travers ce nouveau lien projeté, nous voulons soutenir nos partenaires algériens dans ce marché majeur du continent africain avec le quatrième taux de croissance sur le continent. Bosch anticipe aussi une croissance sur le long terme dans le quatrième plus grand marché du continent africain en termes de PIB.
Quels sont les segments de votre activité actuelle en Algérie ?
Nous sommes déjà présents dans la commercialisation de pièces détachées automobiles et des équipements de diagnostics, de solutions pour l'industrie pharmaceutique comme pour l'industrie agro-alimentaire, mais aussi d'outillage électrique. Vous pouvez d'ailleurs voir des échantillons de nos produits dans cette petite exposition. Sans oublier les solutions de systèmes de sécurité.
Il y a aussi l'activité chauffage...
Il y a effectivement une usine de montage de systèmes de chauffage à Alger. Bosch peut, ainsi, se targuer d'avoir des partenariats établis de longue date en Algérie, par exemple avec Technotherm dans le domaine des chauffes bains.
Que génère cette activité pour votre société ?
Toute cette activité génère, pour nous, un chiffre d'affaires de quelques millions d'euros.
En attendant un bureau de liaison, quelle est la forme de présence de la société en Algérie ?
La société est représentée en Algérie par des produits de ses quatre domaines d'activités que sont les solutions pour la mobilité, les techniques industrielles, les biens de consommation et les techniques pour les énergies et les bâtiments. L'Algérie est un marché clé de croissance sur le long terme pour Bosch en raison de l'accroissement rapide de sa population, de l'âge moyen faible, de l'augmentation des classes moyennes et des perspectives économiques positives.
En tant que responsable Afrique, pouvez-vous nous dire s'il y aura d'autres investissements en Afrique ou en Algérie ?
Les quatre secteurs d'activité de Bosch déjà cités sont représentés en Afrique. Mais on ne peut pas tout investir dans un seul pays et c'est pour cela que nous voulons diversifier nos partenariats en Afrique. Il y a déjà des activités de fabrication de la société, qui sont concentrées en Afrique du Sud et il y a également des filiales et des bureaux de liaison en Egypte et Angola. En plus la société a d'autres représentations dans d'autres pays d'Afrique. Les quelque 760 collaborateurs en Afrique ont réalisé un chiffre d'affaires total de quelque 360 millions d'euros en 2014.
Qu'en est-il du centre de formation Bosch en Algérie ?
C'est un projet que nous voulons réaliser si l'on arrive à obtenir l'accord des autorités.
Ahmed T
Le Dr. Markus Thill, responsable de la région Afrique, a été présent, ce jeudi 28 mai, lors de l'événement de présentation des activités du groupe à Alger. Nous lui avons posé quelques questions.
Votre société a déposé une demande d'ouverture d'un bureau de liaison en Algérie, pouvez-nous en expliquer les raisons ?
Une demande d'ouverture d'un bureau de liaison en Algérie a été, effectivement, soumise aux autorités et nous attendons la réponse. A travers ce nouveau lien projeté, nous voulons soutenir nos partenaires algériens dans ce marché majeur du continent africain avec le quatrième taux de croissance sur le continent. Bosch anticipe aussi une croissance sur le long terme dans le quatrième plus grand marché du continent africain en termes de PIB.
Quels sont les segments de votre activité actuelle en Algérie ?
Nous sommes déjà présents dans la commercialisation de pièces détachées automobiles et des équipements de diagnostics, de solutions pour l'industrie pharmaceutique comme pour l'industrie agro-alimentaire, mais aussi d'outillage électrique. Vous pouvez d'ailleurs voir des échantillons de nos produits dans cette petite exposition. Sans oublier les solutions de systèmes de sécurité.
Il y a aussi l'activité chauffage...
Il y a effectivement une usine de montage de systèmes de chauffage à Alger. Bosch peut, ainsi, se targuer d'avoir des partenariats établis de longue date en Algérie, par exemple avec Technotherm dans le domaine des chauffes bains.
Que génère cette activité pour votre société ?
Toute cette activité génère, pour nous, un chiffre d'affaires de quelques millions d'euros.
En attendant un bureau de liaison, quelle est la forme de présence de la société en Algérie ?
La société est représentée en Algérie par des produits de ses quatre domaines d'activités que sont les solutions pour la mobilité, les techniques industrielles, les biens de consommation et les techniques pour les énergies et les bâtiments. L'Algérie est un marché clé de croissance sur le long terme pour Bosch en raison de l'accroissement rapide de sa population, de l'âge moyen faible, de l'augmentation des classes moyennes et des perspectives économiques positives.
En tant que responsable Afrique, pouvez-vous nous dire s'il y aura d'autres investissements en Afrique ou en Algérie ?
Les quatre secteurs d'activité de Bosch déjà cités sont représentés en Afrique. Mais on ne peut pas tout investir dans un seul pays et c'est pour cela que nous voulons diversifier nos partenariats en Afrique. Il y a déjà des activités de fabrication de la société, qui sont concentrées en Afrique du Sud et il y a également des filiales et des bureaux de liaison en Egypte et Angola. En plus la société a d'autres représentations dans d'autres pays d'Afrique. Les quelque 760 collaborateurs en Afrique ont réalisé un chiffre d'affaires total de quelque 360 millions d'euros en 2014.
Qu'en est-il du centre de formation Bosch en Algérie ?
C'est un projet que nous voulons réaliser si l'on arrive à obtenir l'accord des autorités.
Ahmed T