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Allaoua-feat LOTFI DK-CIRTA

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  • Allaoua-feat LOTFI DK-CIRTA


  • #2
    ...paff !
    Excellent. Non seulement on ne participe pas à votre mascarade, mais on vous dénonce à haut micro : "Cirta, selsnam udem d ajdid, zemren i l3ar ay agellid", comme ils disent.

    Samedi dernier lors du match CSC/JSK à Constantine c'est à l'unisson que les supporters leur ont fait entendre des vertes et des pas mûres.

    Merci Softkah, cette chanson tella3 el moral.
    "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
    Socrate.

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    • #3
      Azul elfamilia,

      Tagui oumouqaren teqveylit teqourante

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      • #4
        taqurat axatar teqqar it-id tiquranin. C'est une langue qui dénonce. Mais ce qui fait encore plus plaisir c'est que cette langue qui conteste est de plus en plus parlée: on voit Lotfi DK et les supporters du CSC qui parlent la même langue que Allaoua. Sachant que ce dernier l'a hérité de ses ainés : Azem, Matoub, Ait Menguellet... Ce qu'ils ont semé, c'est du VRAI, ça ne peut que pousser, un jour ou l'autre.

        C'est pour cela que je disais "tella3 el moral".

        "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
        Socrate.

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        • #5
          Bien entendu la relève c'est l'avenir, l'espoir!

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          • #6
            Lemsagher-hiya

            "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
            Socrate.

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            • #7
              tanmirth n wen a y arrac,

              c'est ce genre de travail qu'il faut multiplier et continuer. la synergie des cultures algero-algeriennes. non seulement dans la chanson et la musique mais investir le maximum d'espaces socio-culturels.

              c'est de cette facon que les algeriens pourrons mettre en echec le projet de zombification du pays des hommes libres, Imazighen.

              merci pour le partage.
              ...et maintenant?

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              • #8
                mais investir le maximum d'espaces socio-culturels.
                Exactement,

                Il y avait la semaine passée, la deuxième edition du festival international du film Amazigh à Paris. Selon les échos, c'était très intéressant avec des films de qualités qui viennent d'un peu partout en Afrique du Nord.
                "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                Socrate.

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