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La LADDH déplore l’absence d’enquêtes sérieuses sur les assassinats de journalistes en Algérie

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  • La LADDH déplore l’absence d’enquêtes sérieuses sur les assassinats de journalistes en Algérie

    La Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (LADDH) a déploré, ce mardi 2 juin, l’absence d’enquêtes sérieuses sur les assassinats de journalistes pendant la décennie noire du terrorisme. « La LADDH regrette que deux décennies plus tard aucune enquête sérieuse n’a été ouverte sur les assassinats de journalistes », écrit l’ONG à l’occasion du 22e anniversaire de l’assassinat de Tahar Djaout.
    Un assassinat qui constitue l’un « des tristes épisodes du déni de justice et de vérité qu’ont connu les affaires relatives aux assassinats politiques », selon la LADDH. « Le simulacre de procès, qui a eu lieu en juillet 1994 devant le tribunal spécial d’Alger de l’époque, n’a convaincu personne », ajoute la ligue.
    Pressions sur les journalistes

    Vingt-deux ans après la mort de Tahar Djaout, la situation des journalistes « ne cesse de se détériorer les exposant à des abus, des intimidations et des pressions interminables », assure la LADDH. L’association cite le cas du correspondant d’El Watan à Khenchela. Mohamed Taibi « a été convoqué par la police du 7e arrondissement de la ville de Khenchela, le dimanche 24 mai 2015, où il a été auditionné à propos d’une plainte émanant du Wali », souligne la ligue qui suit « avec beaucoup de préoccupations ce dossier ». Elle affirme que « de telles plaintes cachent une volonté de « faire taire » les journalistes, notamment ceux qui révèlent des dossiers de corruption et de mauvaise gouvernance »

    tsa
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