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Quand les services étrangers infiltraient le GIA

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  • Quand les services étrangers infiltraient le GIA

    Bonsoir

    LIBERTE

    Que se passait-il en Europe pendant que des milliers d’Algériens tombaient en Algérie, assassinés par les différents groupes armés islamistes ? Depuis le 17 novembre dernier, un livre paraissant simultanément en France et dans les pays anglo-saxons, apporte des bribes de réponses :
    sur le Vieux Continent, les services de renseignements occidentaux laissaient faire tant qu’ils avaient la certitude que leur pays ne serait pas touché.

    Comme pour tous les conflits, la partition des services secrets est rarement connue du grand public, c’est pourquoi ce livre est à plus d’un titre captivant. À peine sorti, ce livre fourmillant de détails secoue déjà le petit monde secret des services de renseignements.
    Résumons l’histoire telle que racontée par son auteur. Après avoir vécu au Maroc, il s’installe à Bruxelles dans sa famille et, pour des raisons financières, commence à acheter des armes pour le compte du GIA. Cela commence par des milliers de cartouches de kalachnikov pour finir avec du matériel de vision nocturne, des uzis et des explosifs.
    Après avoir volé de l’argent à l’un des responsables du GIA en Europe, celui qui se présente avec le pseudonyme d’Omar Nasiri décide, pour sauver sa peau, de travailler pour le compte de la DGSE, le service d’espionnage français. Gilles, son officier traitant, lui donne la somme qu’il a dérobée et l’encourage à continuer ses trafics mortifères pour le GIA. Dans la maison familiale, véritable plaque tournante, le bulletin El Ansar est fabriqué avant d’être envoyé dans le monde ; des responsables de haut rang du GIA en Europe comme Ali Touchent (dit Tareq) y transitent c’est pour les services de renseignements français une source d’information de première main.
    Dans le récit d’Omar Nasiri, certains détails sont saisissants. Lorsqu’on lui demande de convoyer par route et par bateau un véhicule bourré d’armes, de munitions et d’argent pour le Maroc, il prévient Gilles, et les deux hommes savent, début janvier 2005, que la cargaison est destinée aux maquis algériens. Le récit du trajet est édifiant, le véhicule tombe en panne à plusieurs reprises, des policiers marocains aident même à embarquer et à débarquer la voiture sur le bateau qui relie l’Espagne à Tanger.
    La DGSE a-t-elle informé les autorités marocaines ? Difficile de penser le contraire tant la sécurité du royaume est l’un des fondements de la politique étrangère de la France. Ainsi, tout ce petit monde aide le véhicule chargé de mort à arriver à bon port. Pour le lecteur algérien, cela est d’autant plus choquant que l’auteur a des raisons de penser que les explosifs ont servi à l’attentat contre le commissariat central d’Alger sis au boulevard Amirouche, le 30 janvier 1995.
    Des centaines de morts et de destins brisés auraient pu être évités, il suffisait pour cela d’arrêter le véhicule qui a pu traverser quatre pays sous l’œil complice des services secrets français et avec l’aide de policiers marocains.
    De retour en Belgique, les trafics pour le compte du GIA s’intensifient jusqu’à ce que la menace commence à peser sur la Belgique et la France, le réseau est alors démantelé en mars 1995. Omar Nasiri et Ali Touchent échappent au coup de filet. Le quotidien La Libre Belgique rappelle que lors du procès qui suivra, un des frères de l’auteur l’accusera de les avoir trahis corroborant ainsi une grande partie du récit. Cela nous permet d’affirmer qu’Omar Nasiri est, en fait, Saïd al-Majda, dont les trois frères — Abdelfadel, Ali Mohammed et Youssef — sont, comme indiqué dans le livre, impliqués dans des affaires de terrorisme.
    Grillé en Europe, Omar Nasiri est alors envoyé en Afghanistan pour infiltrer les camps d’entraînement.
    De l’avis même de Michael Sheuer, l'ancien chef de l'unité de la CIA chargée de traquer Oussama Ben Laden, le récit d’Omar Nasiri/Saïd al-Majda est l’un des plus précis qu’il lui ait été donné de connaître, et est sans “équivalent dans tous les rapports des services secrets américains”.
    Là encore, les détails fournis sont édifiants, notamment en matière d’explosifs, le niveau de sophistication atteint est inquiétant.
    Que sont devenus tous les apprentis djihadistes envoyés, comme Omar Nasiri/Saïd al-Majda pour monter des cellules dormantes un peu partout dans le monde, et donc en Algérie ?
    C’est, en, Grande-Bretagne qu’Omar Nasiri/Saïd al-Majda va mettre ses talents d’espion au profit de la DGSE et des services britanniques. Il infiltre les mosquées du Londonistan où il croise de nouveau Ali Touchent que la justice française recherche pour l’organisation des attentats de l’été 1995. Curieusement, l’un des hommes les plus recherchés à l’époque échappe encore à la vigilance de la DGSE. Piège.
    Les portraits, qu’il dresse d’Abou Koutada et d’Abou Hamza, sont passionnants et leurs activités qu’il raconte aux services anglais et français ne les conduisent pas à mettre un terme aux activités mortifères des deux prédicateurs.
    Les lecteurs algériens seront sans doute choqués d’apprendre qu’en 1997, Abou Hamza avait en toute impunité des discussions par téléphone satellite avec les responsables du GIA en Algérie sur la justification théologique des massacres collectifs de populations civiles à Raïs et Bentalha… rappelant une fois de plus, si besoin était, combien notre pays fut seul durant les années de larmes et de sang.

  • #2
    Le Detective Marocain

    AU CŒUR DU RÊVE d’Omar Nasiri*


    EDITO DE CLAUDE MONIQUET, PRESIDENT DE L'ESISC

    Un livre paru ces derniers jours, en plusieurs langues, « Au cœur du Djihad» (1) est sans doute appelé à faire beaucoup de bruit. L’auteur, Omar Nasiri, y raconte ses souvenirs d’«espion infiltré dans les filières d’al-Qaïda » et affirme avoir travaillé pour la DGSE, les services de renseignement français. Une bien belle histoire, passionnante et pleine de rebondissements. Elle ne présente en définitive qu’une seule faiblesse : elle est fausse. Motivé sans doute par l’appât du gain et manipulé, peut-être, par certains qui ont intérêt à nuire aux services français, Omar Nasiri a tout inventé.


    Loin d’être le super agent qu’il décrit (pour le public francophone, disons qu’on a l’impression d’assister aux aventures de «Super Résistant » dans l’hilarant «Papy fait de la résistance » du réalisateur Jean-Marie Poiré), l’auteur n’est rien de plus qu’un mythomane assez pathétique, en quête de gloire et (surtout) d’argent.
    D’abord, un point de détail qui a son importance : l’identité réelle de Nasiri.
    Enquêtant depuis plusieurs jours sur cette manipulation, nous nous étions engagés à ne pas publier son nom que nous connaissions. Un journal belge néerlandophone (2) ayant, de son côté, révélé partiellement cette information, plus rien ne nous lie. Omar Nasiri est, en fait, Saïd (et non Youssef, comme croit le savoir ce quotidien) al-Majda. Il appartient à une fratrie « bien connue des services », comme on dit, puisque deux de ses trois frères –Abdelfadel et Ali Mohammed –ont été arrêtés dans les années 90 par la police belge dans le cadre de différentes affaires liées au terrorisme islamique (le démantèlement du « réseau Zaoui » en mars 1995 et l’affaire du grenadage de deux gendarmes à Bastogne, dans le sud de la Belgique, en mars 1997) et que son troisième frère, Youssef, a également été arrêté dans une affaire de terrorisme.


    Venons-en maintenant au livre lui-même et faisons court : Nassiri/al-Majda explique, au long de 440 pages, comment il fut, à son initiative, recruté par la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure, les services « offensifs » français), à Bruxelles dans les années 90 et comment, sous le contrôle conjoint de la DGSE et de la Sûreté de l’État belge (le contre-espionnage belge), il trafiqua armes et explosifs pour le compte du GIA (Groupe islamique armé) algérien. Il fut ensuite, toujours selon sa version, exfiltré de Belgique et envoyé en Afghanistan, via la Turquie et le Pakistan, et y infiltra, toujours pour la DGSE, les camps d’al-Qaïda.
    Après quoi, revenu en Turquie, il fut envoyé à Londres et y continua son travail d’infiltration sous un double contrôle franco-britannique.
    Il n’entre pas dans nos intentions de discuter ici de la totalité du livre mais seulement de ce qui a trait aux relations supposées d’al-Majda avec les services français. Et là nous sommes en mesure d’être catégoriques : al-Majda n’a jamais été un « agent français » .
    Pour mieux comprendre les choses, replaçons-nous dans le contexte, celui des années 90. En Algérie, le terrorisme du GIA fait des dizaines de milliers de morts. En, France, des bombes explosent et, un peu partout, en Europe, des réseaux logistiques des GIA sont démantelés. Les deux cibles principales des terroristes algériens sont alors les autorités (et surtout la société civile) algériennes et la France. Très logiquement, les services français sont donc à l’affût de tout renseignement sur cette mouvance islamiste algérienne. Quiconque entre dans un commissariat de police, téléphone à une gendarmerie ou prend contact avec une ambassade de France en prétendant avoir des « révélations » à faire sur le GIA sera vu, interrogé et écouté (« débriefé » comme on dit).
    C’est exactement ce qui se passera avec Saïd al-Majda : il prend contact avec la DGSE via l’ambassade de France à Bruxelles et rencontre un officier traitant du « poste » local. Celui-ci verra al-Majda à plusieurs reprises puis le contact sera rompu : l’analyse de la «centrale » étant que l’homme est un petit voyou, un trafiquant (de drogue et d’armes) doublé d’un mythomane qui brode en s’inspirant de ce qu’il sait des aventures et des relations de ses frères, et qui cherche, en fait, à se faire de l’argent et à se procurer une « couverture » pour ses trafics.
    Fin de l’histoire en ce qui concerne la DGSE. Ni les services français ni les services belges n’ont jamais utilisé comme agent ou rémunéré Saïd al-Majda. Et, bien entendu, ni les uns ni les autres n’ont à aucun moment autorisé cet homme à trafiquer armes et explosifs pour des tueurs qui assassinaient Algériens et Français. A aucun moment, la DGSE n’a envisagé d’envoyer al-Majda en Afghanistan ou de le « traiter » à Londres pour infiltrer les mosquées islamistes. En revanche, parvenu en Grande-Bretagne, il semble bien qu’al-Majda soit entré en relation avec le BSS (British Security Service, populairement connu sous l’acronyme «MI5 »). A-t-il travaillé pour le BSS ou pour le « 6 » (MI6, Secret Intelligence Service), à Londres ou ailleurs ? C’est fort possible, mais nous n’en savons rien.
    Le reste du livre –la « partie afghane » - est crédible et bien documentée mais on n’y apprend rien de nouveau : il peut simplement s’agir d’une très bonne compilation, d’informations «ouvertes » (open sources intelligence). Rien ne nous permet, en fait, de confirmer ou d’infirmer qu'al-Majda ait jamais mis les pieds en Asie centrale.
    Venons-en à la « fabrication » de ce livre. D’après nos informations, al-Majda a fourni à son éditeur, il y a plusieurs mois de cela, un manuscrit de 120 pages (à peu près le quart de l’ouvrage) rédigé en anglais. Le reste de l’ouvrage (plusieurs centaines de pages) a été «rewrité » par des éditeurs anglo-saxons qui affirment avoir travaillé « sur bases d’interviews» d’al- Majda et ne pas avoir « ajouté un mot à ses propos». Admettons, mais un
    sérieux problème se pose pourtant. Al-Majda, de l’avis de ceux qui l’ont rencontré, serait totalement incapable d’écrire en français un récit d’une centaine de pages- l’une des personnes qui a eu à connaître son dossier parle même, avec un humour grinçant, d’un QI «proche d’un lavabo». On imagine mal, dès lors, cet homme « pondre » 120 pages en anglais…
    Autre problème, le battage médiatique qui entoure la parution simultanée de ce livre en plusieurs langues dans plusieurs pays (donc, gros budget et gros investissement…). Des médias anglo-saxons, à nouveau, se sont lancés dans une véritable opération de promotion très peu journalistique puisqu’elle est à sens unique : à aucun moment les « révélations » d’al-Majda ne suscitent la moindre réserve ou le moindre questionnement. Tout ce qu’il dit est parole d’évangile, pardon, de coran. Pire : nous avons été en contact avec certains de ces médias, nous leur avons expliqué (et d’autres l’ont fait comme nous) dans le détail en quoi toute cette affaire était douteuse. Nous ne demandions pas, évidemment, à être crus sur parole mais pas un seul mot de notre argumentaire n’a été repris par les uns ou les autres. Quand on connaît les leçons de déontologie journalistique assénées à longueur de journée par la presse anglaise et sa grande soeur américaine, une telle réserve laisse rêveur.
    Comme laisse rêveur la « révélation » selon laquelle « la DGSE a confirmé toute l’histoire ». Soyons clair : depuis la triste affaire du Rainbow-Warrior, il y a 21 ans, et à une ou deux très rares exceptions près (dont l’assassinat de « Jacques Meurant », un homme de la DGSE, à Beyrouth le 3 février 1988), la DGSE n’a jamais confirmé ou infirmé quoi que ce soit. D’une part, elle n’a aucune politique de communication (ce n’est pas là sa vocation), d’autre part, les seuls à pouvoir « confirmer » seraient des officiers chargés de la manipulation évoquée (or, on l’a vu, il n’y a jamais eu de «manipulation »), de hauts dirigeants du service (des muets professionnels) ou quelques officiers du BCS, le Bureau Central des Sources, seuls à être en possession de toutes les informations relatives aux agents et aux missions qui leur sont confiées. Faut-il le préciser, les hommes et les femmes du BCS n’ont guère pour coutume de se répandre dans les médias. Alors, de quelle « confirmation » parle-t-on ? D’une quelconque «source proche de la DGSE » ? Mais que vaut-elle ?
    Il y a également d’autres «confirmations », celles par exemple « d’anciens responsables de la cellule Oussama Ben Laden de la CIA à la fin des années 90 », cités par CNN, qui évoquent « le compte-rendu de première main le plus détaillé ». Étant donné les formidables résultats atteints par la CIA dans ce domaine (sans vouloir être méchant, on ne peut guère considérer le travail de l’agence américaine comme un « sans faute », au vu de la tragédie du 11 septembre…), on prendra ces « confirmations » pour ce qu’elles valent : le prix de l’encre qui a servi à les imprimer.
    Reste une question : pourquoi ce livre, aujourd’hui, plus de dix ans après les faits ?
    Il y a, sans doute, plusieurs réponses à cette question. La première est évidente : pour Said al-Majda, c’est l’occasion de gagner de l’argent. Mais il y a peut-être plus : qui a rédigé les 120 pages originales du manuscrit ? Qui a mis al-Majda en contact avec les éditeurs ? Avoir les réponses précises et détaillées à ces questions pourrait s’avérer révélateur et, qui sait, conduire vers l’un ou l’autre service qui, de l’autre côté de la Manche ou sur les rives de la Méditerranée, estime avoir des comptes à régler avec les services français…
    Une seule chose est sûre : les journalistes et éditeurs qui se sont prêtés à cette manipulation auraient sans doute mieux fait d’y réfléchir à deux fois. A moins, bien entendu, que la seule chose qui compte à leurs yeux soit de vendre du papier…

    (1) Omar Nasiri, « Au coeur du Djihad», Éditions Flammarion pour l’édition française, « Inside the Jihad: my life with al-Qaeda », aux Éditions Basic Books (Perseus Books Group) pour la version anglaise.
    (2 )Het Laatste Nieuws, dans son édition du 22 novembre, page 7.

    ESISC

    (*)Titre original : « OMAR NASIRI » OU LES DESSOUS
    D’UNE MANIPULATION ANTI-FRANÇAISE ».

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    • #3
      Cela ne m'ettone pas...de tous côté on a entretenu, renforcé, le terrorisme qui ne s'attaque qu'au peuple.

      Tout le monde y a trouvé son compte : ceux qui gouvernent ont muselé le peuple en le terrorisant, ont liquidé en se servant du terrorisme, réglements de compte, les bandits ont agit et agissent à ce jour en se cachant derrière le terrorisme...Tout cela en endossant tout cela à l'islam.

      Un musulman aussi "simple" connaisseur de sa religion ne peut commettre ces crimes. C'est impossible, ça vient de l'extérieur. Mais si certains d'entre eux l'ont fait ils trouveront le jour venu ce qu'il en coûte de commettre le crime au nom de l'islam.

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      • #4
        Envoyé par elyas
        Un musulman aussi "simple" connaisseur de sa religion ne peut commettre ces crimes. C'est impossible, ça vient de l'extérieur.
        D'après ton analyse, les leaders et les millions de sympathisants du FIS ne sont pas des musulmans. Mieux, ils viennent de l'extérieur.

        D'où est-ce qu'ils viennent ? Et quelle est leur religion ?

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        • #5
          D'après ton analyse, les leaders et les millions de sympathisants du FIS ne sont pas des musulmans. Mieux, ils viennent de l'extérieur.

          D'où est-ce qu'ils viennent ? Et quelle est leur religion ?
          tout est possible.

          Commentaire


          • #6
            l’œil complice des services secrets français et avec l’aide de policiers marocains.

            La DGSE a-t-elle informé les autorités marocaines ? Difficile de penser le contraire tant la sécurité du royaume est l’un des fondements de la politique étrangère de la France. Ainsi, tout ce petit monde aide le véhicule chargé de mort à arriver à bon port.

            Vive la fraternité magrebines...

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            • #7
              D'après ton analyse, les leaders et les millions de sympathisants du FIS ne sont pas des musulmans. Mieux, ils viennent de l'extérieur.
              Oui Nassim, c'est vrai que je dois préciser ma pensée.

              Je pense qu'en fait ce terrorisme "islamique" né au début des années 90, dans une phase très paticulière de l'histoire de notre pays, n'est pas venu comme ça sponténément de l'intérieur chez les musulmans. Ils ont radicalisé, poussé, infiltré des groupes pour les lancer.

              On est passé en deux trois ans à une époque de paix, à des tueries, des assassinats. C'est curieux quand même. Je pense que leur coup, l'illusion était si parfaite que le sentiments de frustration né de l'arrêt du processus éléctoral s'est réélement enflamée. Tant de gens se sont laissés avoir pas des "prédicateurs" qu'il ne s'imaginent pas qu'il peuvent être que des "acteurs".

              Ainsi de suite...des gens ont commis des crimes dans cette spirale, rien ne pouvait l'arrêter. Ceux qui ont commis des crimes en y associant le nom de l'islam, sont des criminels est des ennemis de l'islam. Ceux qui les soutiennent pas l'acte ou la parole sont autant reponsables.

              Enfin que dire, c'est toujours très douloureux de paler de ça. Mais bon, pour en revenir à l'islam, chacun aura à répondre de ses actes.

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              • #8
                Salut à tous!
                En effet, parfois je suis tranchant et directe, mais parfois il vaut mieux ne pas savoir. Touché dans ma chère je ne peux accepter les dénégations et les amalgames et Dieu sait ce qu'ils ont fait et ce qu'ils font.

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                • #9
                  Ainsi de suite...des gens ont commis des crimes dans cette spirale, rien ne pouvait l'arrêter. Ceux qui ont commis des crimes en y associant le nom de l'islam, sont des criminels est des ennemis de l'islam. Ceux qui les soutiennent pas l'acte ou la parole sont autant reponsables.
                  Seul problème c'est qu'ils sont convaincus d'agir au nom du dieu !!!!
                  Partout où se dirigent ses montures ; L’amour est ma religion et ma foi.
                  Ibn Arabi

                  Commentaire


                  • #10
                    PS; lire "chair"

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                    • #11
                      Bonjour,

                      J aimerais seulement réagir sur l hauteur et le contenu du livre ans entrer dans les détails de celui-ci, j ai écouter le témoignage de se pseudo ancien grand agent secret son récit c est du grand n importe quoi du coté méthode des services secret, la première règle de ses service c et de ne jamais dévoiler ses secret et c est opération, est ci l idée a un ex vrais agent lui prend de raconter ses opération croyais moi ils ont les moyens de le dissuader avant.

                      Seulement avec le phénomène médiatique du 11 septembre, tous le monde y va de son histoire plus incroyable l une que l autre y a beaucoup d argent à se faire.

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                      • #12
                        Ces "révélations" sont des secrets de polichinelles, n'importe quel pilier de bar savait que les GIA étaient infiltrés par le premier "service" venus et les français et les marocains n'étaient pas les derniers! Pour ce qui est des français l'épisode malheureuse des moines de thibérine a montrer au grand jour leur petit jeux avec les intégristes.............

                        Commentaire


                        • #13
                          al-Majda n’a jamais été un « agent français »

                          Pourkoi je croirai votre article (vos idees) plus qu'il est entraint de dire dans le livre.

                          Je lirais le livre et je vous dirai ce que je pense.


                          Par contre, ce qui est sur , c'est qu'il y a bcp de chose qui aurait du etre fait en Europe pour maitriser les aller et retour des suspet de terorisme et les neutraliser et bloquer leur compte en banque.....

                          Laissons Le nassiri s'exprimer car ce qui dis me somble pas etrange......


                          On vera ca dans qq jours!!!!
                          Dernière modification par racdavid, 03 décembre 2006, 13h58.

                          Commentaire


                          • #14
                            au passage un petit coup de suputation sur le maroc ni vue ni connu ,juste une petit phrase laché comme ça ,pas besoin de prouver quoi que ce soit ,on a telement envie d'y croire que ça nous paré tous a fait normal ,"le maroc acheminait des armes pour le GIA ", et tous le monde avalent ça sans brancher
                            tu tombe je tombe car mane e mane
                            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

                            Commentaire


                            • #15
                              le maroc acheminait des armes pour le GIA ", et tous le monde avalent ça sans brancher

                              __________________________________________________ ______________

                              ?????????????????????????Pourquoi ça te parait fantaisiste????????????????

                              Commentaire

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