Casablanca : La Chine migre progressivement du statut de pays émergent dont l’économie est basée sur les exportations vers celui de pays développé ayant un marché de consommation intérieur important.
Le Maroc se dote d'une stratégie d’accélération industrielle 2014-2020
Un changement de portée stratégique est en train d’être opéré en Chine. L’empire du milieu évolue à la faveur de son développement économique soutenu, vers le statut de pays pleinement développé, dont la base de l'économie est assise sur un marché interne de consommateurs, à l’image des grandes puissances économiques, comme les USA, le Japon ou l’Allemagne.
Cette transformation est considérée au Maroc avec très grand intérêt.
En effet, le royaume qui mène depuis une décennie une politique volontaire d’industrialisation, et qui vise à porter la contribution au PIB, du secteur secondaire de 14% actuelle à 28% à l’horizon 2020, attend avec appétit de saisir les opportunités en investissements industriels, que va créer la nouvelle politique économique chinoise.
C’est ce qui a été exprimé par le ministre marocain du commerce et de l’industrie, Moulay Hafid Elalamy – MHE, cité par le site parisien anglophone, The Africa Report.
MHE qui évoquait l’ambition industrielle du royaume, de laquelle, il escompte plus de croissance économique et de postes d’emplois, a déclaré que le développement social en Chine est une très bonne nouvelle pour le royaume.
MHE en a dit :
‘‘La Chine a décidé de stimuler sa demande intérieure en augmentant le salaire minimum. Elle dope le pouvoir d’achat des chinois afin de renforcer son marché intérieur’’.
Le ministre marocain a ajouté :
‘‘Avec le coût de l'énergie qui est aussi en hausse en Chine, les investisseurs locaux et étrangers partent à la recherche de nouveaux pays pour héberger leurs projets de fabrication.’’
MHE a expliqué que le Maroc entend faire valoir ses avantages compétitifs en matière de couts salariaux, pour profiter des opportunités que permet cette nouvelle réalité chinoise. Dans ce sens, le ministre a assuré être en pourparlers avec de grands investisseurs chinois, dans l’optique de leur implantation au royaume.
A noter que le salaire minimum au royaume, de 300 dollars, se retrouve plus avantageux pour les investisseurs, comparé au salaire minimum de 500 dollars, instauré dans l'est de la Chine.
lemag
Le Maroc se dote d'une stratégie d’accélération industrielle 2014-2020
Un changement de portée stratégique est en train d’être opéré en Chine. L’empire du milieu évolue à la faveur de son développement économique soutenu, vers le statut de pays pleinement développé, dont la base de l'économie est assise sur un marché interne de consommateurs, à l’image des grandes puissances économiques, comme les USA, le Japon ou l’Allemagne.
Cette transformation est considérée au Maroc avec très grand intérêt.
En effet, le royaume qui mène depuis une décennie une politique volontaire d’industrialisation, et qui vise à porter la contribution au PIB, du secteur secondaire de 14% actuelle à 28% à l’horizon 2020, attend avec appétit de saisir les opportunités en investissements industriels, que va créer la nouvelle politique économique chinoise.
C’est ce qui a été exprimé par le ministre marocain du commerce et de l’industrie, Moulay Hafid Elalamy – MHE, cité par le site parisien anglophone, The Africa Report.
MHE qui évoquait l’ambition industrielle du royaume, de laquelle, il escompte plus de croissance économique et de postes d’emplois, a déclaré que le développement social en Chine est une très bonne nouvelle pour le royaume.
MHE en a dit :
‘‘La Chine a décidé de stimuler sa demande intérieure en augmentant le salaire minimum. Elle dope le pouvoir d’achat des chinois afin de renforcer son marché intérieur’’.
Le ministre marocain a ajouté :
‘‘Avec le coût de l'énergie qui est aussi en hausse en Chine, les investisseurs locaux et étrangers partent à la recherche de nouveaux pays pour héberger leurs projets de fabrication.’’
MHE a expliqué que le Maroc entend faire valoir ses avantages compétitifs en matière de couts salariaux, pour profiter des opportunités que permet cette nouvelle réalité chinoise. Dans ce sens, le ministre a assuré être en pourparlers avec de grands investisseurs chinois, dans l’optique de leur implantation au royaume.
A noter que le salaire minimum au royaume, de 300 dollars, se retrouve plus avantageux pour les investisseurs, comparé au salaire minimum de 500 dollars, instauré dans l'est de la Chine.
lemag
Commentaire