Le Maroc aurait offert des pots-de-vin pour tenter d’obtenir le Mondial 98
Après l’Afrique du Sud, c’est au tour du Maroc d’être cité dans une affaire de corruption ayant trait à l’attribution de la Coupe du Monde 1998 pour laquelle le Royaume chérifien était candidat en compagnie de la France.
Selon Chuck Blazer, ancien haut responsable de la FIFA, devenu par la suite la taupe du FBI, le Maroc a versé des pots-de-vin pour tenter d’obtenir l’organisation du Mondial 98, finalement attribué à la France. Dans des documents déclassifiés par la justice américaine, publiés ce mercredi, l’on apprend que Chuck Blazer et un autre haut cadre de la FIFA appelé « Complice N°1 » étaient invités au Maroc. Durant leur séjour, « un représentant du comité de candidature marocain a offert un pot-de-vin au complice N°1 en échange de sa voix pour le Maroc dans le scrutin pour le pays-hôte de la Coupe du monde 1998. Le conspirateur N°1 a accepté le pot-de-vin », révèle l’ex-Secrétaire général de la Concacaf, aujourd’hui inculpé de racket et corruption. Les observateurs soupçonnent le Trinidadien Jack Warner, ancien président de la Concacaf, d’être le « Complice N°1 ».
Décidément, le scandale de la FIFA n’a pas encore livré tous ses secrets. En tout cas, la réputation du Maroc va en prendre un sérieux coup après ces nouvelles révélations.
Après l’Afrique du Sud, c’est au tour du Maroc d’être cité dans une affaire de corruption ayant trait à l’attribution de la Coupe du Monde 1998 pour laquelle le Royaume chérifien était candidat en compagnie de la France.
Selon Chuck Blazer, ancien haut responsable de la FIFA, devenu par la suite la taupe du FBI, le Maroc a versé des pots-de-vin pour tenter d’obtenir l’organisation du Mondial 98, finalement attribué à la France. Dans des documents déclassifiés par la justice américaine, publiés ce mercredi, l’on apprend que Chuck Blazer et un autre haut cadre de la FIFA appelé « Complice N°1 » étaient invités au Maroc. Durant leur séjour, « un représentant du comité de candidature marocain a offert un pot-de-vin au complice N°1 en échange de sa voix pour le Maroc dans le scrutin pour le pays-hôte de la Coupe du monde 1998. Le conspirateur N°1 a accepté le pot-de-vin », révèle l’ex-Secrétaire général de la Concacaf, aujourd’hui inculpé de racket et corruption. Les observateurs soupçonnent le Trinidadien Jack Warner, ancien président de la Concacaf, d’être le « Complice N°1 ».
Décidément, le scandale de la FIFA n’a pas encore livré tous ses secrets. En tout cas, la réputation du Maroc va en prendre un sérieux coup après ces nouvelles révélations.
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