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Baccalauréat/ La triche continue au deuxième jour…sur Facebook !

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  • Baccalauréat/ La triche continue au deuxième jour…sur Facebook !

    Les scandales continuent à éclabousser le Baccalauréat 2015 avec une nouvelle fuite, ce lundi matin, dans l’épreuve des mathématiques. En effet, quelques minutes seulement après le début de l’examen, les sujets ont été à nouveau publiés sur Facebook par des tricheurs habiles et audacieux.

    Après la mise en ligne du sujet de langue arabe, un quart d’heure après le début de l’épreuve, voici au tour d’un autre examen, celui des mathématiques, à être publié sur les réseaux sociaux, moins de 20 minutes après le coup d’envoi de l’épreuve par des tricheurs qui réclamaient l’aide de leurs amis et connaissances virtuels. Une nouvelle fois, les candidats ont réussi à poster le sujet de l’examen en défiant les surveillants et ignorant les éventuels risques d’un tel acte.

    Les voyants sont absolument au rouge et la situation prête réellement à de sérieuses interrogations : comment est-ce que les candidats arrivent-ils à faire fuiter les sujets alors que des instructions claires ont été données par le ministère de l’Education afin d’interdire l’usage des téléphones mobiles pendant les épreuves du Baccalauréat ? Quel rôle jouent les encadreurs mobilisés à travers tout le pays pour assurer le bon déroulement des épreuves du baccalauréat 2015 ? Pour de nombreuses personnes, le Bac 2015 se transforme en un véritable fiasco, en raison des scandales que les responsables n’arrivent pas à contenir. Comment réagira le ministère de l’Education face à cette situation et quelles sanctions seront prises à l’encontre des tricheurs ? Les questions restent posées.

    Nourhane S., Algérie Focus, 8 juin 2015

  • #2
    Je poste l'article sans être convaincu. Je me trompe peut être mais un sujet d'examen devient du domaine publique 15/20 min après le début d'examen, cad au moment ou n'accepte plus les retardataires. N'importe qui peut donc publier l’examen sur Facebook même les profs, et sous des vrais ou des faux noms.

    Mais cela ne change rien au fond du problème, la triche est malheureusement devenu un pratique national jusqu'au plus haut niveau de l'état.
    Dernière modification par BeeHive, 09 juin 2015, 13h20.

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    • #3
      Je me trompe peut être mais un sujet d'examen devient du domaine publique 15/20 min après le début d'examen,
      De très peu, en fait les candidats en retard ne seront renvoyé qu'après trente minutes passées.

      La publication du sujet ne veut pas dire nécessairement triche...
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        La publication du sujet ne veut pas dire nécessairement triche...
        Hben
        Si l'examen est publié après un quart d'heure c'est que ce n'est pas sérieux, et les surveillants ne font pas leur travail correctement,
        Je me demande si les téléphones sont tolérés ? parce que c'est très facile de dissuader ..

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        • #5
          Je ne sais pas si c'est sérieux ou pas, mais une fois distribués aux candidats, le sujet devient publique et peut être publié par tout les moyens possibles sans qu'on y voit un quelconque inconvénient. L'essentiel est qu'il ne le soit pas avant le début de l'épreuve.

          D'ailleurs, cette cabale n'est pas très catholique!...
          "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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          • #6
            Exact Hben, les sujets sur Facebook ne justifie pas ces attaques, on sent des règlements de compte avec la ministre.

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            • #7
              Il y a 223.887 candidats libres sur 853.780, soit plus de 26%, un chiffre impressionnant pour un pays ou beaucoup pensent que les études ne servent à rien.

              Il doit y avoir un business caché, par exemple, des faux candidats qui font les examens pour les autres ou quelque chose du genre.

              En France le nombre de candidats libres ne dépassent pas 3%, ce n'est pas pour comparer mais juste pour avoir une idée de l’ordre de grandeur.

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              • #8
                Il y a 223.887 candidats libres sur 853.780, soit plus de 26%, un chiffre impressionnant pour un pays ou beaucoup pensent que les études ne servent à rien.

                Il doit y avoir un business caché, par exemple, des faux candidats qui font les examens pour les autres ou quelque chose du genre.

                En France le nombre de candidats libres ne dépassent pas 3%, ce n'est pas pour comparer mais juste pour avoir une idée de l’ordre de grandeur.
                Bonsoir Bee!
                je ne comprends pas. En quoi le nombre de candidats libres justifie les faux candidats? un business caché?

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                • #9
                  En quoi le nombre de candidats libres justifie les faux candidats? un business caché?
                  Je pense à des candidats bénévoles, qui n'ont rien à perdre et proches des vrais candidats
                  qui sortent juste après l’énoncé, rendre la copie, et publier sur internet

                  Commentaire


                  • #10
                    Je pense à des candidats bénévoles, qui n'ont rien à perdre et proches des vrais candidats
                    qui sortent juste après l’énoncé, rendre la copie, et publier sur internet
                    Ah d'accord! je vois... Ils ne manquent pas d'imagination

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                    • #11
                      Envoyé par BeeHive
                      mais un sujet d'examen devient du domaine publique 15/20 min après le début d'examen
                      Je ne pense pas que ce soit du domaine public durant la durée de l'examen. Je ne connais pas la loi à ce sujet, mais je pense qu'il est probablement illégal de publier un sujet pendant la durée de l'examen, d'autant plus que l'intention est clairement de tricher.

                      Normalement, les candidats au Bac devraient être interdits de se présenter à l'examen avec un produit susceptible d'être utilisé pour tricher (smartphone, tablette, smartwatch...etc).

                      Malheureusement, les autorités algériennes ne semblent pas intéressées de relever le niveau des élèves algériens en instaurant la tolérance zéro contre les tricheurs. L'amateurisme semble encore de rigueur dans le secteur de l'éducation.

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                      • #12
                        Les lois sont claires :

                        - Aucune sortie n'est tolérée avant la première heure.
                        - Aucune arrivée tardive n'est acceptée au-delà des 30 minutes.
                        et surtout :
                        - Aucun appareil électronic n'est permis, à part la calculatrice.
                        "Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien."
                        Socrate.

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                        • #13
                          Bonsoir Bee!
                          je ne comprends pas. En quoi le nombre de candidats libres justifie les faux candidats? un business caché?
                          Bonjour Jasmyne,

                          En plus de ce qu'a dit Phileas, les faux candidats peuvent prendre le risque de cacher des documents sur eux, des téléphones pour communiquer avec l'extérieur, ... et proposer leur service durant l’examen, ils n'ont rien à perdre s'ils se font attraper et sanctionner.

                          J'avoue que j'ai pas une bonne idée, mais il y a de quoi justifier une enquête pour expliquer le nombre très élevés de candidat libre.

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                          • #14
                            Bonjour Jasmyne,

                            En plus de ce qu'a dit Phileas, les faux candidats peuvent prendre le risque de cacher des documents sur eux, des téléphones pour communiquer avec l'extérieur, ... et proposer leur service durant l’examen, ils n'ont rien à perdre s'ils se font attraper et sanctionner.

                            J'avoue que j'ai pas une bonne idée, mais il y a de quoi justifier une enquête pour expliquer le nombre très élevés de candidat libre.

                            bonjour Bee!
                            Oui j'ai bien compris le processus... Donc on en revient toujours à la même conclusion, les hautes instances qui permettent le recrutement de ces candidats libres.

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