Voilà Risk, c'est je crois le dernier écrit pour la seule enflure de ma vie
Ce sont ces années qui pèsent lourd sur mon pardon
Qui m’empêchent d’oublier mon cœur sur ton diapason
Te voyant en jouer jusqu’à ma dépersonnalisation
Laisse moi, à mon tour aujourd’hui de te redorer le blason
Tu as voulu mystifier en moi la quintessence du poison
Dépourvue de moi-même, je me suis laissée à l’abandon
Dans tes palabres sans sens, sans écho à ma raison
Qui m’ont tout droit foudroyées sur la route de ma perdition
Si ce qui te ronge aujourd’hui n’est que le miroir de la solitude
N’aies crainte, car le diable t’accompagne dans ta vicissitude
Vous ne faites qu’un au bonheur de l’ingratitude
Et je ne sais qui de lui ou de toi se plie à la servitude
Tu veux aujourd’hui me faire croire que tu as une âme
Après avoir fait de l’égoïsme ta jusquiame
Seule Circé aurait pu peut-être te conter
Comment diable j’aurais pu aller jusqu’à te tuer
Tu m’offres aujourd’hui les fleurs de ta culpabilité
Sache que les seules que je t’accorde et ce par pitié
Sont les fleurs qu’on ne voit qu’à moitié une fois dans l’ombre
Celles que je viendrais, heureuse et soulagée, déposer sur ta tombe…
Ce sont ces années qui pèsent lourd sur mon pardon
Qui m’empêchent d’oublier mon cœur sur ton diapason
Te voyant en jouer jusqu’à ma dépersonnalisation
Laisse moi, à mon tour aujourd’hui de te redorer le blason
Tu as voulu mystifier en moi la quintessence du poison
Dépourvue de moi-même, je me suis laissée à l’abandon
Dans tes palabres sans sens, sans écho à ma raison
Qui m’ont tout droit foudroyées sur la route de ma perdition
Si ce qui te ronge aujourd’hui n’est que le miroir de la solitude
N’aies crainte, car le diable t’accompagne dans ta vicissitude
Vous ne faites qu’un au bonheur de l’ingratitude
Et je ne sais qui de lui ou de toi se plie à la servitude
Tu veux aujourd’hui me faire croire que tu as une âme
Après avoir fait de l’égoïsme ta jusquiame
Seule Circé aurait pu peut-être te conter
Comment diable j’aurais pu aller jusqu’à te tuer
Tu m’offres aujourd’hui les fleurs de ta culpabilité
Sache que les seules que je t’accorde et ce par pitié
Sont les fleurs qu’on ne voit qu’à moitié une fois dans l’ombre
Celles que je viendrais, heureuse et soulagée, déposer sur ta tombe…
Commentaire