Tweet
Les musulmans qui vivent dans le Cercle arctique vont devoir rapidement trouver de nouvelles règles pour le Ramadan. Logiquement, les pratiquants doivent jeûner du levé jusqu’au couché du soleil. Que se passe-t-il dès lors que la nuit ne tombe plus, comme c’est le cas à certaines périodes de l’année dans plusieurs pays.
Une association de musulmans suédois s’est penchée sur la question et étudie de nouvelles dispositions pour la pratique du Ramadan qui débute cette année le 18 juin. Car trois jours après le début du jeûne, le soleil ne se couchera plus que quelques heures.
« Nous sommes face à deux difficultés, savoir quand finir le jeûne mais également savoir quand le commencer », explique Mohammed Kharraki, porte-parole de l’association des musulmans de Suède. « Nous sommes censés commencer le Ramadan avec le levé du soleil, mais celui-ci ne se couche pas vraiment l’été à Stockholm », ajoute-t-il.
Les années précédentes, les musulmans qui vivaient dans des villes situées sous l’Arctique cassaient leur jeûne au même moment que les gens du Sud, mais certains imams suédois et européens recommandent une nouvelle approche. Kkarraki insiste sur le fait que les autorités religieuses travaillent toujours sur les détails d’une pratique adaptée. « Le but n’est pas de jeûner pendant 19 heures. Si les gens n’arrivent plus à travailler ou à tenir debout, il est temps de casser le Ramadan », rassure l’imam.
Atlantico
Une association de musulmans suédois s’est penchée sur la question et étudie de nouvelles dispositions pour la pratique du Ramadan qui débute cette année le 18 juin. Car trois jours après le début du jeûne, le soleil ne se couchera plus que quelques heures.
« Nous sommes face à deux difficultés, savoir quand finir le jeûne mais également savoir quand le commencer », explique Mohammed Kharraki, porte-parole de l’association des musulmans de Suède. « Nous sommes censés commencer le Ramadan avec le levé du soleil, mais celui-ci ne se couche pas vraiment l’été à Stockholm », ajoute-t-il.
Les années précédentes, les musulmans qui vivaient dans des villes situées sous l’Arctique cassaient leur jeûne au même moment que les gens du Sud, mais certains imams suédois et européens recommandent une nouvelle approche. Kkarraki insiste sur le fait que les autorités religieuses travaillent toujours sur les détails d’une pratique adaptée. « Le but n’est pas de jeûner pendant 19 heures. Si les gens n’arrivent plus à travailler ou à tenir debout, il est temps de casser le Ramadan », rassure l’imam.
Atlantico
Commentaire