Un cortège de mariage à Marly, près de Valenciennes a très mal tourné ce samedi. Vers 14 heures, alors qu’un premier cortège circulait en ville, il en aurait croisé un second, d’où des coups de feu ont été tirés. Une jeune fille de 19 ans a été touchée au niveau de la tête. Elle est décédée lors de son transfert au centre hospitalier de Valenciennes peu après 14 h 30.
« On a entendu tirer des coups de feu. Quelques minutes plus tard, les pompiers, puis les policiers sont arrivés ici en très grand nombre », expliquent des témoins, vite tenus à distance des lieux, dans la rue de Champagne, qui donne sur la rue de l’Aviation.
Très vite, des membres de la police technique et scientifique sont arrivés sur place pour les premières constatations. Le tireur, qui se trouvait dans une voiture au sein du second cortège de mariage s’est éloigné à pied, mais a été rattrapé par des jeunes du quartier. Les policiers l’ont donc rapidement interpellé.
De fait, il s’agit d’un jeune homme de 27 ans, originaire de Denain. L’arme utilisée est un fusil de chasse de calibre 12, utilisée à une ou deux reprises.
Le conducteur de la voiture s’est par la suite livré de lui-même au commissariat de Denain. Il est âgé de 26 ans et habite Escaudain. Le tireur et le conducteur ont tous les deux été placés en garde à vue.
Les premiers éléments semblent laisser penser qu’il s’agit là d’un accident. Il semble, en effet, que dans ce secteur de La Briquette où se tenait le premier mariage devant avoir lieu à Marly, un autre convoi nuptial soit passé dans ce quartier, sans doute pour prendre la direction de Raismes. Des coups de feu ont été tirés en l’air en signe de joie. Mais une des décharges a atteint la jeune femme ; elle avait fait la surprise de venir d’Aix-en-Provence pour assister au mariage de son cousin.
Après le drame, le futur couple s’est rendu avec deux ou trois amis à la mairie de Marly pour se marier. Toutes les festivités de la noce ont, bien sûr, été annulées. Toute la famille, très digne, s’est ensuite retrouvée dans une salle de la rue de l’Aviation. « On devait fêter le mariage dans la joie ; on se retrouve finalement pour faire le deuil », a commenté la tante de la mariée, avant de rejoindre les siens. Au même moment, peu avant 18 h 30, les derniers policiers quittaient les lieux du drame.
En ce début de soirée, le parquet n’avait pas encore eu connaissance des explications des deux hommes.
La Voix du Nord
« On a entendu tirer des coups de feu. Quelques minutes plus tard, les pompiers, puis les policiers sont arrivés ici en très grand nombre », expliquent des témoins, vite tenus à distance des lieux, dans la rue de Champagne, qui donne sur la rue de l’Aviation.
Très vite, des membres de la police technique et scientifique sont arrivés sur place pour les premières constatations. Le tireur, qui se trouvait dans une voiture au sein du second cortège de mariage s’est éloigné à pied, mais a été rattrapé par des jeunes du quartier. Les policiers l’ont donc rapidement interpellé.
De fait, il s’agit d’un jeune homme de 27 ans, originaire de Denain. L’arme utilisée est un fusil de chasse de calibre 12, utilisée à une ou deux reprises.
Le conducteur de la voiture s’est par la suite livré de lui-même au commissariat de Denain. Il est âgé de 26 ans et habite Escaudain. Le tireur et le conducteur ont tous les deux été placés en garde à vue.
Les premiers éléments semblent laisser penser qu’il s’agit là d’un accident. Il semble, en effet, que dans ce secteur de La Briquette où se tenait le premier mariage devant avoir lieu à Marly, un autre convoi nuptial soit passé dans ce quartier, sans doute pour prendre la direction de Raismes. Des coups de feu ont été tirés en l’air en signe de joie. Mais une des décharges a atteint la jeune femme ; elle avait fait la surprise de venir d’Aix-en-Provence pour assister au mariage de son cousin.
Après le drame, le futur couple s’est rendu avec deux ou trois amis à la mairie de Marly pour se marier. Toutes les festivités de la noce ont, bien sûr, été annulées. Toute la famille, très digne, s’est ensuite retrouvée dans une salle de la rue de l’Aviation. « On devait fêter le mariage dans la joie ; on se retrouve finalement pour faire le deuil », a commenté la tante de la mariée, avant de rejoindre les siens. Au même moment, peu avant 18 h 30, les derniers policiers quittaient les lieux du drame.
En ce début de soirée, le parquet n’avait pas encore eu connaissance des explications des deux hommes.
La Voix du Nord
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