Le 30 octobre, la circulation au sol est impossible et le seul moyen d'accéder à la ville est la voie aérienne, par hélicoptère. Le dernier hélicoptère civil arrive à Khojaly le 28. L'helicoptère civil est descendu au dessus de la ville de Shusha, 40 personnes meurent dans l'attaque et le traffic aérien est également stoppé. A partir de janvier, la ville n'a plus d'électricité. La ville survit cependant encore grace au courage et à l'héroisme de ses défenseurs. La défense de la ville est organisée par des gardes locaux, des milices et des combattants de l'Armée Nationale dont le seul matériel militaire est le fusil automatique.
A partir de la seconde moitié de février la ville de Khojaly est encerclée par les forces arméniennes qui tiennent la ville quotidiennement sous un feu d'artillerie lourde soutenu provenant de la périphérie, occupée par les Arméniens.
La préparation de l'assaut de Khojaly commence dans la soirée du 25 février avec la prise de position du 366ème régiment autour de la ville. L'attaque de la ville commence par le bombardement pendant 2 heures des chars d'assaut, véhicules blindés et canons équipés de missiles "Alazan".
Khojaly est bloquée des trois côtés et la population tente de s'enfuir dans la direction d'Askeran. Mais il ne faut pas longtemps pour qu'ils comprennent qu'il s'agit là d'un piège. Près du village de Nakhchivanik les Arméniens ouvrent le feu sur la population sans défense. Tout près, dans la vallée d'Askeran-Nakhchevanik les femmes, enfants et vieillards, rongés par le froid des forêts et des montagnes deviennent les victimes de la brutalité des militaires arméniens.
Ces événements se produisent tandis que le Ministre des Affaires Etrangère de la République Islamique d'Iran Ali Akbar Vilayati est en visite officielle dans la région avec une mission de médiation. Le 25 février il rencontre le gouvernement Azerbaïjannais à Bakou et le 27 il est prévu qu'il aille au Karabakh puis en Arménie. Dans le cadre de cette visite et avec l'accord des deux parties, on trouve un accord de cessez le feu du 27 février au 1er mars, mais cet accord n'est finalement pas respecté par la partie arménienne.
La même chose se produit le 12 février, pendant la visite de la mission de la Comission de Sécurité et de Coopération de l'Europe au Karabakh. Le but de cette mission est d'observer et analyser la situation dans la zone de combat et de trouver des accords de paix. Le programme de la mission prévoit que celle-ci aille à Bakou et à Erevan par la suite.
Le 12 février, des extrémistes arméniens capturent les villes de Malibeyli et Gushchular, dans le district de Shusha. Ces actions ont pour résultat la déstruction totale des villages qui sont incendiées. Seulement à Malibeyli, environ 50 personnes sont executées, blessées ou prises en otage par les forces arméniennes. A ce moment là, les forces Azerbaïjanaises ne peuvent pas encore atteindre la ville de Khojaly et porter secours à la population locale. Il n'y a même aucun moyen d'évacuer les corps des victimes. Au même moment, des forces spéciales arméniennes à bord d'hélicoptères ratissent la forêt et la montagne à la recherche de groupes de rescapés azéris. Tout groupe de personnes découverte est executée sur place, certains sont pris en otage et emmenés à bord des hélicoptères pour être torturés.
Le 28 février, les premiers journalistes locaux atteignent, en hélicoptère, la zone de combat et observent les massacres commis sur les populations azéries La ville entière est recouverte de cadavres. Malgré le convoi humanitaire en hélicoptère, seulement 4 corps ont pu être emmenés à cause des tirs arméniens.
Le 1er mars, un groupe de journalistes internationaux et locaux arrivent à Khojaly, la scène à laquelle ils assistent est encore pire. Les cadavres sont mutilés après leur mort. Nombreux cadavres abimés portent des marques de balle à la tête, prouvant ainsi que les blessés étaient systématiquement executés par les forces arméniennes. Après examen médical des corps, il est demontré qu'ils étaient scalpés, que les oreilles et d'autres organes étaient tranchées, les yeux étaient crevés, les extremités sectionnées. On voyait également de nombreuses blessures d'armes à feu, la plupart d'armements lourds.
Le 30 octobre, la circulation au sol est impossible et le seul moyen d'accéder à la ville est la voie aérienne, par hélicoptère. Le dernier hélicoptère civil arrive à Khojaly le 28. L'helicoptère civil est descendu au dessus de la ville de Shusha, 40 personnes meurent dans l'attaque et le traffic aérien est également stoppé. A partir de janvier, la ville n'a plus d'électricité. La ville survit cependant encore grace au courage et à l'héroisme de ses défenseurs. La défense de la ville est organisée par des gardes locaux, des milices et des combattants de l'Armée Nationale dont le seul matériel militaire est le fusil automatique.
A partir de la seconde moitié de février la ville de Khojaly est encerclée par les forces arméniennes qui tiennent la ville quotidiennement sous un feu d'artillerie lourde soutenu provenant de la périphérie, occupée par les Arméniens.
La préparation de l'assaut de Khojaly commence dans la soirée du 25 février avec la prise de position du 366ème régiment autour de la ville. L'attaque de la ville commence par le bombardement pendant 2 heures des chars d'assaut, véhicules blindés et canons équipés de missiles "Alazan".
Khojaly est bloquée des trois côtés et la population tente de s'enfuir dans la direction d'Askeran. Mais il ne faut pas longtemps pour qu'ils comprennent qu'il s'agit là d'un piège. Près du village de Nakhchivanik les Arméniens ouvrent le feu sur la population sans défense. Tout près, dans la vallée d'Askeran-Nakhchevanik les femmes, enfants et vieillards, rongés par le froid des forêts et des montagnes deviennent les victimes de la brutalité des militaires arméniens.
Ces événements se produisent tandis que le Ministre des Affaires Etrangère de la République Islamique d'Iran Ali Akbar Vilayati est en visite officielle dans la région avec une mission de médiation. Le 25 février il rencontre le gouvernement Azerbaïjannais à Bakou et le 27 il est prévu qu'il aille au Karabakh puis en Arménie. Dans le cadre de cette visite et avec l'accord des deux parties, on trouve un accord de cessez le feu du 27 février au 1er mars, mais cet accord n'est finalement pas respecté par la partie arménienne.
La même chose se produit le 12 février, pendant la visite de la mission de la Comission de Sécurité et de Coopération de l'Europe au Karabakh. Le but de cette mission est d'observer et analyser la situation dans la zone de combat et de trouver des accords de paix. Le programme de la mission prévoit que celle-ci aille à Bakou et à Erevan par la suite.
Le 12 février, des extrémistes arméniens capturent les villes de Malibeyli et Gushchular, dans le district de Shusha. Ces actions ont pour résultat la déstruction totale des villages qui sont incendiées. Seulement à Malibeyli, environ 50 personnes sont executées, blessées ou prises en otage par les forces arméniennes. A ce moment là, les forces Azerbaïjanaises ne peuvent pas encore atteindre la ville de Khojaly et porter secours à la population locale. Il n'y a même aucun moyen d'évacuer les corps des victimes. Au même moment, des forces spéciales arméniennes à bord d'hélicoptères ratissent la forêt et la montagne à la recherche de groupes de rescapés azéris. Tout groupe de personnes découverte est executée sur place, certains sont pris en otage et emmenés à bord des hélicoptères pour être torturés.
Le 28 février, les premiers journalistes locaux atteignent, en hélicoptère, la zone de combat et observent les massacres commis sur les populations azéries La ville entière est recouverte de cadavres. Malgré le convoi humanitaire en hélicoptère, seulement 4 corps ont pu être emmenés à cause des tirs arméniens.
Le 1er mars, un groupe de journalistes internationaux et locaux arrivent à Khojaly, la scène à laquelle ils assistent est encore pire. Les cadavres sont mutilés après leur mort. Nombreux cadavres abimés portent des marques de balle à la tête, prouvant ainsi que les blessés étaient systématiquement executés par les forces arméniennes. Après examen médical des corps, il est demontré qu'ils étaient scalpés, que les oreilles et d'autres organes étaient tranchées, les yeux étaient crevés, les extremités sectionnées. On voyait également de nombreuses blessures d'armes à feu, la plupart d'armements lourds.
imprescriptible.us
A partir de la seconde moitié de février la ville de Khojaly est encerclée par les forces arméniennes qui tiennent la ville quotidiennement sous un feu d'artillerie lourde soutenu provenant de la périphérie, occupée par les Arméniens.
La préparation de l'assaut de Khojaly commence dans la soirée du 25 février avec la prise de position du 366ème régiment autour de la ville. L'attaque de la ville commence par le bombardement pendant 2 heures des chars d'assaut, véhicules blindés et canons équipés de missiles "Alazan".
Khojaly est bloquée des trois côtés et la population tente de s'enfuir dans la direction d'Askeran. Mais il ne faut pas longtemps pour qu'ils comprennent qu'il s'agit là d'un piège. Près du village de Nakhchivanik les Arméniens ouvrent le feu sur la population sans défense. Tout près, dans la vallée d'Askeran-Nakhchevanik les femmes, enfants et vieillards, rongés par le froid des forêts et des montagnes deviennent les victimes de la brutalité des militaires arméniens.
Ces événements se produisent tandis que le Ministre des Affaires Etrangère de la République Islamique d'Iran Ali Akbar Vilayati est en visite officielle dans la région avec une mission de médiation. Le 25 février il rencontre le gouvernement Azerbaïjannais à Bakou et le 27 il est prévu qu'il aille au Karabakh puis en Arménie. Dans le cadre de cette visite et avec l'accord des deux parties, on trouve un accord de cessez le feu du 27 février au 1er mars, mais cet accord n'est finalement pas respecté par la partie arménienne.
La même chose se produit le 12 février, pendant la visite de la mission de la Comission de Sécurité et de Coopération de l'Europe au Karabakh. Le but de cette mission est d'observer et analyser la situation dans la zone de combat et de trouver des accords de paix. Le programme de la mission prévoit que celle-ci aille à Bakou et à Erevan par la suite.
Le 12 février, des extrémistes arméniens capturent les villes de Malibeyli et Gushchular, dans le district de Shusha. Ces actions ont pour résultat la déstruction totale des villages qui sont incendiées. Seulement à Malibeyli, environ 50 personnes sont executées, blessées ou prises en otage par les forces arméniennes. A ce moment là, les forces Azerbaïjanaises ne peuvent pas encore atteindre la ville de Khojaly et porter secours à la population locale. Il n'y a même aucun moyen d'évacuer les corps des victimes. Au même moment, des forces spéciales arméniennes à bord d'hélicoptères ratissent la forêt et la montagne à la recherche de groupes de rescapés azéris. Tout groupe de personnes découverte est executée sur place, certains sont pris en otage et emmenés à bord des hélicoptères pour être torturés.
Le 28 février, les premiers journalistes locaux atteignent, en hélicoptère, la zone de combat et observent les massacres commis sur les populations azéries La ville entière est recouverte de cadavres. Malgré le convoi humanitaire en hélicoptère, seulement 4 corps ont pu être emmenés à cause des tirs arméniens.
Le 1er mars, un groupe de journalistes internationaux et locaux arrivent à Khojaly, la scène à laquelle ils assistent est encore pire. Les cadavres sont mutilés après leur mort. Nombreux cadavres abimés portent des marques de balle à la tête, prouvant ainsi que les blessés étaient systématiquement executés par les forces arméniennes. Après examen médical des corps, il est demontré qu'ils étaient scalpés, que les oreilles et d'autres organes étaient tranchées, les yeux étaient crevés, les extremités sectionnées. On voyait également de nombreuses blessures d'armes à feu, la plupart d'armements lourds.
Le 30 octobre, la circulation au sol est impossible et le seul moyen d'accéder à la ville est la voie aérienne, par hélicoptère. Le dernier hélicoptère civil arrive à Khojaly le 28. L'helicoptère civil est descendu au dessus de la ville de Shusha, 40 personnes meurent dans l'attaque et le traffic aérien est également stoppé. A partir de janvier, la ville n'a plus d'électricité. La ville survit cependant encore grace au courage et à l'héroisme de ses défenseurs. La défense de la ville est organisée par des gardes locaux, des milices et des combattants de l'Armée Nationale dont le seul matériel militaire est le fusil automatique.
A partir de la seconde moitié de février la ville de Khojaly est encerclée par les forces arméniennes qui tiennent la ville quotidiennement sous un feu d'artillerie lourde soutenu provenant de la périphérie, occupée par les Arméniens.
La préparation de l'assaut de Khojaly commence dans la soirée du 25 février avec la prise de position du 366ème régiment autour de la ville. L'attaque de la ville commence par le bombardement pendant 2 heures des chars d'assaut, véhicules blindés et canons équipés de missiles "Alazan".
Khojaly est bloquée des trois côtés et la population tente de s'enfuir dans la direction d'Askeran. Mais il ne faut pas longtemps pour qu'ils comprennent qu'il s'agit là d'un piège. Près du village de Nakhchivanik les Arméniens ouvrent le feu sur la population sans défense. Tout près, dans la vallée d'Askeran-Nakhchevanik les femmes, enfants et vieillards, rongés par le froid des forêts et des montagnes deviennent les victimes de la brutalité des militaires arméniens.
Ces événements se produisent tandis que le Ministre des Affaires Etrangère de la République Islamique d'Iran Ali Akbar Vilayati est en visite officielle dans la région avec une mission de médiation. Le 25 février il rencontre le gouvernement Azerbaïjannais à Bakou et le 27 il est prévu qu'il aille au Karabakh puis en Arménie. Dans le cadre de cette visite et avec l'accord des deux parties, on trouve un accord de cessez le feu du 27 février au 1er mars, mais cet accord n'est finalement pas respecté par la partie arménienne.
La même chose se produit le 12 février, pendant la visite de la mission de la Comission de Sécurité et de Coopération de l'Europe au Karabakh. Le but de cette mission est d'observer et analyser la situation dans la zone de combat et de trouver des accords de paix. Le programme de la mission prévoit que celle-ci aille à Bakou et à Erevan par la suite.
Le 12 février, des extrémistes arméniens capturent les villes de Malibeyli et Gushchular, dans le district de Shusha. Ces actions ont pour résultat la déstruction totale des villages qui sont incendiées. Seulement à Malibeyli, environ 50 personnes sont executées, blessées ou prises en otage par les forces arméniennes. A ce moment là, les forces Azerbaïjanaises ne peuvent pas encore atteindre la ville de Khojaly et porter secours à la population locale. Il n'y a même aucun moyen d'évacuer les corps des victimes. Au même moment, des forces spéciales arméniennes à bord d'hélicoptères ratissent la forêt et la montagne à la recherche de groupes de rescapés azéris. Tout groupe de personnes découverte est executée sur place, certains sont pris en otage et emmenés à bord des hélicoptères pour être torturés.
Le 28 février, les premiers journalistes locaux atteignent, en hélicoptère, la zone de combat et observent les massacres commis sur les populations azéries La ville entière est recouverte de cadavres. Malgré le convoi humanitaire en hélicoptère, seulement 4 corps ont pu être emmenés à cause des tirs arméniens.
Le 1er mars, un groupe de journalistes internationaux et locaux arrivent à Khojaly, la scène à laquelle ils assistent est encore pire. Les cadavres sont mutilés après leur mort. Nombreux cadavres abimés portent des marques de balle à la tête, prouvant ainsi que les blessés étaient systématiquement executés par les forces arméniennes. Après examen médical des corps, il est demontré qu'ils étaient scalpés, que les oreilles et d'autres organes étaient tranchées, les yeux étaient crevés, les extremités sectionnées. On voyait également de nombreuses blessures d'armes à feu, la plupart d'armements lourds.
imprescriptible.us
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