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Une candidate au bac en Algérie a été surprise en flagrant délit de fraude au moyen d’un système de communication satellitaire dissimulé dans son oreille, a révélé mercredi 10 juin une chaîne de télévision algérienne.
La candidate avait glissé dans son oreille une puce électronique « sophistiquée » lui permettant de se faire dicter les réponses par un correspondant utilisant une communication satellitaire, a expliqué un surveillant à la Chaine TV A4 en présence de la ministre de l’éducation, Nouria Benghebrit.
Lorsque la jeune fille a été surprise, son correspondant, qui ne s’en est pas rendu compte, a continué de dicter les réponses, a ajouté le surveillant. Après la mise au jour de son acte, la candidate a signé un procès-verbal reconnaissant sa fraude.
« Le recours à ces techniques sophistiquées démontre qu’il n’y a pas eu de fuite des sujets », a commenté la ministre.
Pourtant, le souffleur était bien en possession des énoncés qu’il dictait.
Une fouille systématique impossible
Dès le premier jour du bac algérien, dimanche 7 juin, le parquet d’Alger avait ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire à la suite de cas de fraude via le réseau social Facebook.
Un quart d’heure après le début de certaines épreuves, des candidats ayant introduit frauduleusement des smartphones ont mis en ligne les sujets en demandant de l’aide.
La ministre de l’éducation algérienne a annoncé que pas moins de 61 élèves avaient été exclus dès le premier jour des épreuves pour tricherie,révéle le site Algérie Focus.
Selon un inspecteur de l’éducation nationale, les candidats doivent déposer leur téléphone avant d’entrer en salle d’examen.
Bien que ces épreuves mobilisent 163 000 surveillants, « la fouille n’est pas systématique » car « cela prendrait deux ou trois heures pour fouiller les 600 ou 700 candidats affectés à chaque centre », explique-t-il
lemonde.fr
La candidate avait glissé dans son oreille une puce électronique « sophistiquée » lui permettant de se faire dicter les réponses par un correspondant utilisant une communication satellitaire, a expliqué un surveillant à la Chaine TV A4 en présence de la ministre de l’éducation, Nouria Benghebrit.
Lorsque la jeune fille a été surprise, son correspondant, qui ne s’en est pas rendu compte, a continué de dicter les réponses, a ajouté le surveillant. Après la mise au jour de son acte, la candidate a signé un procès-verbal reconnaissant sa fraude.
« Le recours à ces techniques sophistiquées démontre qu’il n’y a pas eu de fuite des sujets », a commenté la ministre.
Pourtant, le souffleur était bien en possession des énoncés qu’il dictait.
Une fouille systématique impossible
Dès le premier jour du bac algérien, dimanche 7 juin, le parquet d’Alger avait ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire à la suite de cas de fraude via le réseau social Facebook.
Un quart d’heure après le début de certaines épreuves, des candidats ayant introduit frauduleusement des smartphones ont mis en ligne les sujets en demandant de l’aide.
La ministre de l’éducation algérienne a annoncé que pas moins de 61 élèves avaient été exclus dès le premier jour des épreuves pour tricherie,révéle le site Algérie Focus.
Selon un inspecteur de l’éducation nationale, les candidats doivent déposer leur téléphone avant d’entrer en salle d’examen.
Bien que ces épreuves mobilisent 163 000 surveillants, « la fouille n’est pas systématique » car « cela prendrait deux ou trois heures pour fouiller les 600 ou 700 candidats affectés à chaque centre », explique-t-il
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