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Evitez « rhume et grippe » : soyez joyeux !

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  • Evitez « rhume et grippe » : soyez joyeux !


    Pour ne pas tomber malade en, on a deux solutions : vacciner contre la grippe ou… être joyeux !

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    Les gens heureux résistent mieux aux infections

    Une étude publiée ce mois-ci dans la revue Psychosomatic Medicine vient en effet de démontrer que les personnes de nature gaie sont moins enclines à attraper un rhume ou une grippe que celles qui sont tristes et stressées.

    Pour le mettre en évidence, le Dr Sheldon Cohen et ses collaborateurs de l’université Carneggie Mellon de Pittsburgh ont recruté 193 personnes âgés de 21 à 55 ans, en bonne santé physique, et qu’ils ont classé en deux catégories selon leur « style émotionnel ». D’un coté les « positifs » (perçus comme des gens contents, dynamiques et de contact facile), de l’autre les « négatifs » (tendus, râleurs et souvent mécontents). Les chercheurs ont ensuite administré aux volontaires des gouttes nasales contenant le rhinovirus à l'origine de la moitié des infections des voies aériennes supérieures chez l'homme (bronchite, coryza, rhume, bronchiolite, bronchopneumonie et autres atteintes respiratoires bénignes) ou un virus influenza particulier entraînant des symptômes identiques au rhume.


    Durant les 6 jours suivants, les volontaires ont fait part de tous leurs éventuels maux, douleurs, écoulements nasaux, congestion… et les chercheurs ont collecté des données « objectives » sur leur état de santé, telles que l’intensité de la production de mucus.


    Résultats : les gens du groupe des « positifs » sont moins malades que ceux du groupe des « négatifs ». S’il arrive qu’une personne joyeuse tombe néanmoins malade, sa perception de son état de santé est beaucoup plus optimiste que ce que traduit ses symptômes réels. Les chercheurs montrent que c’est bien la joie et non pas l’estime de soi ou l’optimisme qui expliquent ces effets.

    « Nous avons trouvé que ce sont vraiment les émotions positives qui jouent un rôle » explique Sheldon Cohen. Pour expliquer ce phénomène, les chercheurs évoquent des raisons objectives comme le fait que la joie « booste » le système immunitaire, et des raisons subjectives comme le fait que les gens joyeux se laissent moins troubler que les autres par une toux ou par un nez qui coule. « Les personnes positives ont des réponses immunitaires différente face aux virus. Et quand elles sont malades, elles pensent que leur maladie n’est pas très grave ».

    Durant les 6 jours suivants, les volontaires ont fait part de tous leurs éventuels maux, douleurs, écoulements nasaux, congestion… et les chercheurs ont collecté des données « objectives » sur leur état de santé, telles que l’intensité de la production de mucus.

    Résultats : les gens du groupe des « positifs » sont moins malades que ceux du groupe des « négatifs ». S’il arrive qu’une personne joyeuse tombe néanmoins malade, sa perception de son état de santé est beaucoup plus optimiste que ce que traduit ses symptômes réels. Les chercheurs montrent que c’est bien la joie et non pas l’estime de soi ou l’optimisme qui expliquent ces effets.

    « Nous avons trouvé que ce sont vraiment les émotions positives qui jouent un rôle » explique Sheldon Cohen. Pour expliquer ce phénomène, les chercheurs évoquent des raisons objectives comme le fait que la joie « booste » le système immunitaire, et des raisons subjectives comme le fait que les gens joyeux se laissent moins troubler que les autres par une toux ou par un nez qui coule. « Les personnes positives ont des réponses immunitaires différente face aux virus. Et quand elles sont malades, elles pensent que leur maladie n’est pas très grave ».

    - e-Santé
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