Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte affronte les Anglo-Néerlandais et les Prussiens à quelques kilomètres de Bruxelles.
Le 18 juin 1815, quelque 140 000 hommes sont alignés près de Waterloo, à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles où est réfugié le roi Louis XVIII. Les armées anglo-alliées sont conduites par le duc de Wellington. Celles de la France par Napoléon Ier, rentré quatre mois plus tôt de son exil de l’île d’Elbe pour reconquérir le pouvoir impérial. Les deux hommes se connaissent bien, et se haïssent cordialement ; c’est la première fois cependant qu’ils s’affrontent sur terre. Au matin de la bataille, malgré la prudence de son état-major qui tente de l’avertir de l’extraordinaire force défensive des Anglais, l’Empereur se dit sûr de la victoire : ce sera, dit-il, "l'affaire d’un déjeuner". Quelques heures plus tard, il assiste stupéfait à la défaite de sa Garde et la déroute de son armée ; on compte plus de 10 000 morts sur le champ de bataille. La journée et ses scènes emblématiques, comme la charge des redoutables "Écossais Gris" ou le "mot" de Cambronne, ont inévitablement inspiré les peintres de l’époque
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Le 18 juin 1815, quelque 140 000 hommes sont alignés près de Waterloo, à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles où est réfugié le roi Louis XVIII. Les armées anglo-alliées sont conduites par le duc de Wellington. Celles de la France par Napoléon Ier, rentré quatre mois plus tôt de son exil de l’île d’Elbe pour reconquérir le pouvoir impérial. Les deux hommes se connaissent bien, et se haïssent cordialement ; c’est la première fois cependant qu’ils s’affrontent sur terre. Au matin de la bataille, malgré la prudence de son état-major qui tente de l’avertir de l’extraordinaire force défensive des Anglais, l’Empereur se dit sûr de la victoire : ce sera, dit-il, "l'affaire d’un déjeuner". Quelques heures plus tard, il assiste stupéfait à la défaite de sa Garde et la déroute de son armée ; on compte plus de 10 000 morts sur le champ de bataille. La journée et ses scènes emblématiques, comme la charge des redoutables "Écossais Gris" ou le "mot" de Cambronne, ont inévitablement inspiré les peintres de l’époque
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