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Sonatrach aurait résilié son contrat avec Technip

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  • Sonatrach aurait résilié son contrat avec Technip

    Selon une information diffusée sur la chaîne d'information française Bfm, la société nationale des hydrocarbures Sonatrach a résilié un contrat de 800 millions d'euros conclu en 2010 avec le groupe français Technip..

  • #2
    difficile à croire, après le passage de HOLLANDE...

    Commentaire


    • #3
      Ça passe en continu sur cette chaîne et curieusement aucune autre chaîne d'information ne relaie cette information..
      Un quelconque lien avec Peugeot !!!

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      • #4
        Sonatrach résilie son contrat avec Technip

        El Watan - le 21.06.15 | 10h00 2 réactions


        Sonatrach vient de rompre unilatéralement le contrat la liant à la société française Technip, chargée de la modernisation et de l’augmentation des capacités de la raffinerie de Sidi Arcine (Alger).


        Les travaux sont à l’arrêt depuis l’annonce, début mai, de la décision de résilier le contrat entre le groupe pétrolier algérien et la multinationale française. Des sit-in ont été observés par les travailleurs de Technip à l’intérieur de la raffinerie, depuis l’annonce de la décision. Des négociations avaient été engagées avec l’employeur pour indemniser les 200 employés qui se sont retrouvés au chômage.
        «Les responsables de Technip ont proposé une indemnisation au cas par cas, proportionnelle au nombre de mois travaillés. Les travailleurs, eux, ont exigé un plafonnement pour tout le monde», précise un travailleur, tout en balayant d’un revers de la main la «rumeur» selon laquelle Sonatrach aurait proposé des contrats aux employés licenciés.

        L’installation de la société française chargée du management de projets, de l’ingénierie et de la construction de la raffinerie de Sidi Arcine, dans la banlieue sud-est d’Alger, s’est accompagnée de plusieurs problèmes. En plus du coût social (licenciement), le projet cause un préjudice important au pétrolier national : le budget initial de 67,9 milliards de dinars (908 millions de dollars) a été revu à la hausse et le délai initial, qui était de 40 mois, devrait passer à 52 mois. «La dernière réunion entre Sonatrach et Technip a été houleuse, elle a été tenue en présence d’un huissier de justice», affirme une source au ministère de l’Energie, sous le sceau de l’anonymat.


        Écueils et retards

        Le projet, qui devait permettre la réalisation de nouvelles installations et le revamping de la vieille raffinerie, serait un «copier-coller» d’une usine réalisée dans le golfe Persique. «Le projet ne faisait pas l’unanimité parmi les cadres de Sonatrach pour des raisons de sécurité. Technip, qui n’ignorait pas la nature du sol dans cette partie du pays, n’admettait pas, par exemple, que le CTC vienne lui demander d’adapter ou d’actualiser ses plans conformément au règlement parasismique algérien. Pourtant, le CTC a mobilisé ses ingénieurs de l’Ouest pour accélérer la procédure d’approbation des plans. Il a même affecté un ingénieur en permanence sur le site», précise notre source.

        Le projet, confié en 2010 à la multinationale française, a connu dès son lancement un retard de 8 mois dû à l’expropriation d’exploitations agricoles. Les conditions de réalisation ont été jugées difficiles, particulièrement en période hivernale, vu la nature du sol. Des accidents ont également été déplorés sur le site, malgré les mesures de sécurité prises par la société réalisatrice.


        Sous-traitants engagés

        Que compte faire la compagnie publique qui a annoncé l’augmentation de ses capacités de raffinage de 35% ? L’option de «reprendre» les sous-traitants étrangers est privilégiée. Le PDG d’un bureau d’études indien, EIL, est annoncé à Alger.

        Cependant, même avec de nouveaux partenaires, Sonatrach ferait face à d’autres problèmes dans un projet dont le taux d’avancement est important (90%). Le groupe public et probablement ses sous-traitants aussi vont se retrouver devant un problème : le matériel de la raffinerie ou les pièces qui le constituent sont spécifiques à cette usine et non à une autre. «Les équipements ne sont pas fabriqués en série.

        La conception de l’usine s’est faite en présence d’un ingénieur de Technip. Et c’est ce dernier qui est chargé de réceptionner et de vérifier sa conformité au port d’Alger. Technip n’est plus ici. Qui va attester ?», s’interroge notre source.

        Une action en justice n’est pas à écarter. Mais il semblerait que Technip aurait déjà réuni ses arguments. Selon certaines indiscrétions, Technip détiendrait des preuves que l’épaisseur des canalisations de l’ancienne raffinerie n’est que de quelques millimètres, l’usage intensif et la corrosion ayant eu raison du métal.

        L’ancienne raffinerie se trouve à quelques encablures d’habitations. Un rapport d’ingénieurs de l’USTHB met en avant la dangerosité du site. Le danger est dans l’ancienne raffinerie elle-même. «L’option choisie par Sonatrach, qui consiste à garder l’ancienne raffinerie et la connecter à la nouvelle, n’a pas été acceptée par Technip, qui craint une explosion», signale notre source, qui affirme que parmi les points sur lesquels ont achoppé les négociations avec Sonatrach, la proposition de «démanteler» l’ancienne usine.

        Il nous a été impossible d’obtenir les versions de Sonatrach et de Technip, contactés depuis quelques jours. 

        Nadir Iddir
        Tout est politique chez une certaine faune de commentateurs...
        Othmane BENZAGHOU

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        • #5

          Algérie: Sonatrach résilie un contrat d'1 md de dollars avec Technip

          © AFP/Archives | Des jets de la patrouille de France en pleine démonstration dans le ciel du Bourget, le 20 juin 2015


          ALGER (AFP) - Le groupe algérien Sonatrach a résilié un contrat d'un milliard de dollars (880 millions d'euros) conclu en 2010 avec le groupe d?ingénierie français Technip, a indiqué dimanche à l'AFP une source du ministère algérien de l?Energie.
          "Le contrat a été résilié début juin", après plusieurs mises en demeure, a ajouté cette source sous le couvert de l'anonymat, confirmant une information du quotidien El Watan.
          Technip avait remporté en décembre 2010 le contrat pour la réhabilitation de la raffinerie de Sidi Arcine, dans la banlieue sud-est d?Alger.
          D?une durée de 38 mois et d?un montant d?environ 963 millions de dollars hors taxes, il prévoyait que le groupe français réhabilite en partie l'installation pour augmenter de 35% sa capacité de production et lui permettre de produire des carburants aux normes internationales, selon le site internet de Sonatrach.
          Mais, selon El Watan, Technip s'est rendu compte après la signature du contrat que les canalisations devaient être totalement refaites, et non juste réhabilitées.
          S'est alors engagé une bataille de procédures entre la Sonatrach et le groupe français, qui s'est conclue par la résiliation du contrat.
          "Technip n?a pas respecté les termes du contrat", selon la source au sein du ministère, précisant que le dossier avait "été transmis à l?arbitrage international".
          Une autre source au ministère de l'Energie a affirmé à l'AFP que Sonatrach allait demander des dédommagements équivalent au montant du contrat, révisé à la hausse, soit 1,5 milliard de dollars.
          Dans la raffinerie, les employés recrutés par Technip ont observé des sit-in pour réclamer des dédommagements.
          Construite en 1964, la raffinerie de Sidi Arcine produit 2.700.000 tonnes de pétrole par an.
          quand un forumeur pose une question "primeure" l'interrogation engage une réponse...attendre pour aller trouver la solution donnée par le net est digne de celui qui jeune...

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