Lu dans TSA
Le gouvernement algérien n’est pas au courant du contenu du projet d’implantation d’une usine Peugeot en Algérie. « Il n’a pas été traité. On ne l’a pas encore vu. Il n’est pas sur la table du gouvernement. Je ne sais pas du tout de quoi il s’agit », a affirmé Amara Benyounes, ce dimanche 21 juin.
Le ministre du Commerce, en visite de travail à Oran, répondait à une question de TSA sur l’annonce d’un projet d’usine automobile de Peugeot en Algérie, faite la semaine dernière par François Hollande à Alger, puis confirmée à demi-mot par les responsables du groupe automobile français.
Vendredi, Peugeot et le gouvernement marocain ont signé un accord pour un projet de grande envergure dans le Royaume. La marque au lion va investir 557 millions d’euros dans ce projet pour la construction d’une véritable usine qui sera implantée près de Kenitra, sur la côte ouest du pays. Cette dernière entrera en production en 2019, avec une capacité de production initiale de 90 000 moteurs et véhicules par an. À terme, la production devrait atteindre 200 000 unités par an, avec un taux d’intégration de 80%.
Concessionnaires : des mesures seront prises
Interrogé sur le rapport du gouvernement concernant les concessionnaires automobiles, Amara Benyounes a répondu : « La mise en application se verra dans l’attribution des licences d’importation (…) Une fois le texte sur les licences d’importation sera voté (par le Conseil de la Nation), il y aura une discussion avec le ministre de l’Industrie pour le problème de l’importation des voitures et il soumettra ses propositions au comité (chargé de délivrer les licences, NDLR) qui tranchera ».
Questionné sur les mesures qui pourraient être décidées à l’encontre des concessionnaires pointés du doigt dans l’étude, M. Benyounes a indiqué que « le rapport est actuellement au niveau du gouvernement qui prendra les mesures qu’il faut ».
Le gouvernement algérien n’est pas au courant du contenu du projet d’implantation d’une usine Peugeot en Algérie. « Il n’a pas été traité. On ne l’a pas encore vu. Il n’est pas sur la table du gouvernement. Je ne sais pas du tout de quoi il s’agit », a affirmé Amara Benyounes, ce dimanche 21 juin.
Le ministre du Commerce, en visite de travail à Oran, répondait à une question de TSA sur l’annonce d’un projet d’usine automobile de Peugeot en Algérie, faite la semaine dernière par François Hollande à Alger, puis confirmée à demi-mot par les responsables du groupe automobile français.
Vendredi, Peugeot et le gouvernement marocain ont signé un accord pour un projet de grande envergure dans le Royaume. La marque au lion va investir 557 millions d’euros dans ce projet pour la construction d’une véritable usine qui sera implantée près de Kenitra, sur la côte ouest du pays. Cette dernière entrera en production en 2019, avec une capacité de production initiale de 90 000 moteurs et véhicules par an. À terme, la production devrait atteindre 200 000 unités par an, avec un taux d’intégration de 80%.
Concessionnaires : des mesures seront prises
Interrogé sur le rapport du gouvernement concernant les concessionnaires automobiles, Amara Benyounes a répondu : « La mise en application se verra dans l’attribution des licences d’importation (…) Une fois le texte sur les licences d’importation sera voté (par le Conseil de la Nation), il y aura une discussion avec le ministre de l’Industrie pour le problème de l’importation des voitures et il soumettra ses propositions au comité (chargé de délivrer les licences, NDLR) qui tranchera ».
Questionné sur les mesures qui pourraient être décidées à l’encontre des concessionnaires pointés du doigt dans l’étude, M. Benyounes a indiqué que « le rapport est actuellement au niveau du gouvernement qui prendra les mesures qu’il faut ».
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