Sonatrach vient de rompre unilatéralement le contrat la liant à la société française Technip, chargée de la modernisation et de l’augmentation des capacités de la raffinerie de Sidi Arcine (Alger).
Les travaux sont à l’arrêt depuis l’annonce, début mai, de la décision de résilier le contrat entre le groupe pétrolier algérien et la multinationale française. Des sit-in ont été observés par les travailleurs de Technip à l’intérieur de la raffinerie, depuis l’annonce de la décision. Des négociations avaient été engagées avec l’employeur pour indemniser les 200 employés qui se sont retrouvés au chômage.
«Les responsables de Technip ont proposé une indemnisation au cas par cas, proportionnelle au nombre de mois travaillés. Les travailleurs, eux, ont exigé un plafonnement pour tout le monde», précise un travailleur, tout en balayant d’un revers de la main la «rumeur» selon laquelle Sonatrach aurait proposé des contrats aux employés licenciés.
Source: El Watan
Les travaux sont à l’arrêt depuis l’annonce, début mai, de la décision de résilier le contrat entre le groupe pétrolier algérien et la multinationale française. Des sit-in ont été observés par les travailleurs de Technip à l’intérieur de la raffinerie, depuis l’annonce de la décision. Des négociations avaient été engagées avec l’employeur pour indemniser les 200 employés qui se sont retrouvés au chômage.
«Les responsables de Technip ont proposé une indemnisation au cas par cas, proportionnelle au nombre de mois travaillés. Les travailleurs, eux, ont exigé un plafonnement pour tout le monde», précise un travailleur, tout en balayant d’un revers de la main la «rumeur» selon laquelle Sonatrach aurait proposé des contrats aux employés licenciés.
Source: El Watan
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