salam
Le cheikh Abdelhamid Abou Naïm, connu pour ses prêches enflammés, s’en est pris vivement dans une vidéo postée sur Youtube au festival Mawazine, à des médias marocains, en visant spécialement la chaine de télévision publique 2M, qu’il a traités à plusieurs reprises de « sionistes ».
Il n’a pas manqué dans ce prêche de pointer du doigt l’activiste amazigh Ahmed Assid, le patron de ce qui reste de l’USFP, Driss Lachgar, et surtout le conseiller royal André Azoulay, une brochette de personnalités qui seraient, selon lui, des « sionistes ».
Pour Abou Naïm, « ce sont les Juifs qui sont derrière ces festivals, ce sont les Juifs qui sont derrière ces films malveillants », en référence à Mawazine et au film de Nabil Ayouch, Much Loved.
Mettant tout le monde dans le même sac, énumérant les différents « sionismes », le juif, le chrétien, l’amazigh, et même l’arabe, ils les accusent tous de « vouloir détruire cette nation ».
Le ministère des Habous, qui a été incapable d’arrêter le « mounkar » qu’est le festival Mawazine, la retransmission sur 2M du spectacle de Jennifer Lopez et et le tournage à Marrakech du film de Ayouch, en prend également pour son grade.
Demain
Le cheikh Abdelhamid Abou Naïm, connu pour ses prêches enflammés, s’en est pris vivement dans une vidéo postée sur Youtube au festival Mawazine, à des médias marocains, en visant spécialement la chaine de télévision publique 2M, qu’il a traités à plusieurs reprises de « sionistes ».
Il n’a pas manqué dans ce prêche de pointer du doigt l’activiste amazigh Ahmed Assid, le patron de ce qui reste de l’USFP, Driss Lachgar, et surtout le conseiller royal André Azoulay, une brochette de personnalités qui seraient, selon lui, des « sionistes ».
Pour Abou Naïm, « ce sont les Juifs qui sont derrière ces festivals, ce sont les Juifs qui sont derrière ces films malveillants », en référence à Mawazine et au film de Nabil Ayouch, Much Loved.
Mettant tout le monde dans le même sac, énumérant les différents « sionismes », le juif, le chrétien, l’amazigh, et même l’arabe, ils les accusent tous de « vouloir détruire cette nation ».
Le ministère des Habous, qui a été incapable d’arrêter le « mounkar » qu’est le festival Mawazine, la retransmission sur 2M du spectacle de Jennifer Lopez et et le tournage à Marrakech du film de Ayouch, en prend également pour son grade.
Demain
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