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Peugeot en Algérie : aucun dossier n’est ouvert au ministère de l’Industrie

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  • Peugeot en Algérie : aucun dossier n’est ouvert au ministère de l’Industrie

    22:26 jeudi 25 juin 2015 | Par Riyad Hamadi | Actualité tsa-algerie


    aucun dossier en relation avec le projet d’implantation d’une usine Peugeot en Algérie n’a été ouvert au ministère de l’Industrie ni au niveau de la Société de gestion des participations des équipements industriels et agricoles (SGP Equipag), a indiqué, ce jeudi 25 juin, une source proche du dossier des INVESTISSEMENTS étrangers en Algérie.

    Selon cette source, le dossier est actuellement dans sa phase « politique » et n’a rien de concret. Notre source précise que les discussions au niveau politique porteraient sur la production en Algérie d’un seul modèle « probablement la 301 pour le marché algérien ». Notre source s’est montrée sceptique : « Il faut le reconnaître, notre pays n’est pas attractif. Nous devons revoir beaucoup de choses dans notre dispositif d’investissement pour prétendre attirer des projets sérieux ».


    Dix jours après l’annonce faite, lundi 15 juin à Alger, par François Hollande sur une implantation prochaine d’une usine Peugeot en Algérie, le mystère reste entier sur les contours de ce projet.

    Annoncé quelques jours avant la signature du mégaprojet de Peugeot au Maroc, le projet algérien n’a pas été clairement confirmé par le constructeur français. En Algérie, Amara Benyounes et Abdeslam Bouchouareb se sont publiquement contredits sur le dossier. Le premier a affirmé ne pas être au courant d’un tel projet alors que le second a confirmé son existence en fournissant même quelques détails.

  • #2
    ce qui est sure le "bientot" de hollande a mis la puce dans l'oreille, c'est hollande qui veut une usine psa en algerie et il l'obtiendra

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    • #3
      Pour parler sérieusement, il existe une clause dans le contrat avec renault de ne pas laissé un autre constructeur s'installé pour une période de trois ans si je me souviens bien, partant de là toutes ces déclarations c'est de la com a mon avis.

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      • #4
        pas d'usine, pas de marché

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        • #5
          Au dernieres nouvelle le projet propose par Peugeot ne plait pas au gouvernement algérien puisque il s'agit d une ligne de montage de 75000 voitures par an et d un seul type et avec taux d intégration inférieur a 10%. Le gouvernement a demandé a Peugeot de coopéré dans le affaires d évasion fiscale . Autre possible sanctions et de exclure la marque du lion de pas mo moins de 10 ans. Des nouvelles discussion avec un partenaire asiatique plus sérieux sont en cours affaire a suivre...
          If you want to go fast go alone, if you want to go far go together....
          You have to have a dream so you can get up in the morning....

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          • #6
            Le gouvernement algerien serait-il entrain de se réveiller ? Le futur nous le dira.

            Perso je reste sceptique. Hollande a parlé de PSA, donc ce dernier s'installera. Et il ne faut pas rêver sur le taux d’intégration. C'est juste impossible de faire + 20 à 30% actuellement en Algerie.

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            • #7
              d un seul type et avec taux d intégration inférieur a 10%.
              Le taux d'intégration ne dépend pas de Peugeot, il dépend de la maturité de l'industrie algérienne dans ce domaine et nous savons tous qu'elle est faible.

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              • #8
                oui, sauf pour qu'un équipementier (local ou étranger) s'installe, il faut un marché local et ou export, déjà il y a Renault et demain PSA peut etre..
                pour que PSA s’installe, il faut compter 3 ans minimum, soit le temps nécessaire pour préparer l'installation des équipementiers.
                le reste n'est qu'une question de volonté politique/économique.

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                • #9
                  On ne construit pas un tissu industriel en 3 ans ni même en 5 ans il faut au minimum une dizaine d'années si tu les ingrédients sont rassemblées et que tout se passe bien.

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                  • #10
                    3 ans, 5 ans... il faut pas oublier le coté graduel de la montée en puissance..10% d'intégration, pus 15% ainsi de suite, effectivement il faut une politique industrielle volontariste. mais ce n'est insurmontable non plus, le privé peut jouer un rôle important.
                    vous savez que, le fait que l’Algérie commence à chercher à attirer ce genre d'installation / investissement est déjà nouveau et récent en soit: changement de montalité et de politique économique, la baisse du cours du pétrole aide beaucoup à prendre ce virage...

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