Je me demande en ce soir de canicule, si la nuit du 28 au 29 juin 1992, Mohamed BOUDIAF avait un doute quant à sa mort prochaine.
Son instinct lui a peut-être rappelé, peut-être susurré qu'il en allait de sa vie au bout de ce fameux déplacement vers Annaba.
J'ai la naïveté de croire, que ce soir-là Mohamed Boudiaf se doutait, au plus profond de lui-même, que c'était son dernier soir. Peut-être est-ce une nuit blanche cette nuit qui a précédé le lundi noir, qui plongera toute l'Algérie dans un effroi sans précédent.
C'est à Mohamed Boudiaf que vont toutes pensées ce soir, 23 ans déjà !
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Son instinct lui a peut-être rappelé, peut-être susurré qu'il en allait de sa vie au bout de ce fameux déplacement vers Annaba.
J'ai la naïveté de croire, que ce soir-là Mohamed Boudiaf se doutait, au plus profond de lui-même, que c'était son dernier soir. Peut-être est-ce une nuit blanche cette nuit qui a précédé le lundi noir, qui plongera toute l'Algérie dans un effroi sans précédent.
C'est à Mohamed Boudiaf que vont toutes pensées ce soir, 23 ans déjà !
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