Myers Entreprises, une société américaine, produit des menottes qui délivrent des décharges électriques semblables à celles des tasers. La différence, c’est que celles-ci serviront pour soumettre des individus déjà incarcérés, et non pas pour maitriser des personnes encore en liberté.
« Aujourd’hui, les criminels sont plus endurcis, plus désespérés, et plus dangereux que jamais » affirme la brochure promouvant les menottes. « Que ce soit pour une visite chez le docteur, pour un transfert au tribunal, ou pour des interrogatoires, les prisonniers doivent être maitrisés » rajoute la publicité.
Pour ce faire, cet instrument se fixe aux chevilles ou aux poignets des individus incarcérés. Un simple émetteur, situé à moins de 90 mètres, suffit alors à décharger près de 80 000 volts dans le corps du réfractaire.
Cette technologie a déjà été testée dans certains département de police américains, comme l’attestent les témoignages laissés sur le site web de la firme à l’origine de cet outil.
Un représentant de l’entreprise a récemment déclaré au magazine Police One que « ici, chez Myers Entreprises, on aime bien dire que nos appareils transforment les vilains garçons en enfants de cœur ». D’après ce même représentant, 99,9 % des prisonnier ayant subi ce type de décharge finissent par se conformer aux ordres des agents. « Cela permet aux agents carcéraux d’être plus professionnels dans leurs fonctions » juge-t-il.
Cet outil, qui permet de contraindre n’importe quel prisonnier, coûterait aux alentours de 1 900 dollars.
Source : ijsbergmagazine.com
« Aujourd’hui, les criminels sont plus endurcis, plus désespérés, et plus dangereux que jamais » affirme la brochure promouvant les menottes. « Que ce soit pour une visite chez le docteur, pour un transfert au tribunal, ou pour des interrogatoires, les prisonniers doivent être maitrisés » rajoute la publicité.
Pour ce faire, cet instrument se fixe aux chevilles ou aux poignets des individus incarcérés. Un simple émetteur, situé à moins de 90 mètres, suffit alors à décharger près de 80 000 volts dans le corps du réfractaire.
Cette technologie a déjà été testée dans certains département de police américains, comme l’attestent les témoignages laissés sur le site web de la firme à l’origine de cet outil.
Un représentant de l’entreprise a récemment déclaré au magazine Police One que « ici, chez Myers Entreprises, on aime bien dire que nos appareils transforment les vilains garçons en enfants de cœur ». D’après ce même représentant, 99,9 % des prisonnier ayant subi ce type de décharge finissent par se conformer aux ordres des agents. « Cela permet aux agents carcéraux d’être plus professionnels dans leurs fonctions » juge-t-il.
Cet outil, qui permet de contraindre n’importe quel prisonnier, coûterait aux alentours de 1 900 dollars.
Source : ijsbergmagazine.com
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