Le premier puits de gaz de schiste est entré en production, en fin de semaine passée, selon le site du magazine économique Forbes.
Une production « satisfaisante »
Le forage est mené par une compagnie énergétique irlandaise, Circle Oil, rapporte le magazine américain. Avec un débit de 1,9 millions de pieds cubes par jour, la production est jugée « positive et encourageante » par Circle Oil, toujours selon la même source.
Le puits se situe dans le périmètre de Lalla Mimouna dans la province de Kenitra, au nord du Maroc, détaille Forbes. Le Royaume mise sur des ressources en hydrocarbures conventionnels et non conventionnels (gaz de schiste) pour réduire sa dépendance aux importations, indique le magazine économique.
Diversification du mix énergétique : intérêt des « majors » pétrolières
En effet, le Maroc dépend de l’étranger pour la quasi-totalité de sa consommation d’énergie. Les autorités du Royaume veulent réduire la part des importations d’énergie, notamment en développant les énergies renouvelables.
Cela dit, les hydrocarbures (conventionnels et non-conventionnels) font également partie de la stratégie mise au point depuis près de 5 ans, explique Forbes. L’essentiel du potentiel se situe en off-shore (au large des côtes), selon la même source.
Ainsi, le Maroc commence à attirer des compagnies pétrolières majeures, à l’image de Chevron, BP ou Cairn, précise le magazine. Cependant, en ce qui concerne le gaz de schiste, le voisin de l’Ouest est confronté, en plus du manque de compétences locales, au même problème que l’Algérie : la rareté de l’eau.
L’Algérie, qui détient les troisièmes réserves mondiales, s’était également engagée sur la voie du gaz de schiste, en particulier dans la région d’In Salah, au Sud. Suite à des manifestations récurrentes et parfois violentes, le gouvernement a décidé de temporiser.
TSA
Une production « satisfaisante »
Le forage est mené par une compagnie énergétique irlandaise, Circle Oil, rapporte le magazine américain. Avec un débit de 1,9 millions de pieds cubes par jour, la production est jugée « positive et encourageante » par Circle Oil, toujours selon la même source.
Le puits se situe dans le périmètre de Lalla Mimouna dans la province de Kenitra, au nord du Maroc, détaille Forbes. Le Royaume mise sur des ressources en hydrocarbures conventionnels et non conventionnels (gaz de schiste) pour réduire sa dépendance aux importations, indique le magazine économique.
Diversification du mix énergétique : intérêt des « majors » pétrolières
En effet, le Maroc dépend de l’étranger pour la quasi-totalité de sa consommation d’énergie. Les autorités du Royaume veulent réduire la part des importations d’énergie, notamment en développant les énergies renouvelables.
Cela dit, les hydrocarbures (conventionnels et non-conventionnels) font également partie de la stratégie mise au point depuis près de 5 ans, explique Forbes. L’essentiel du potentiel se situe en off-shore (au large des côtes), selon la même source.
Ainsi, le Maroc commence à attirer des compagnies pétrolières majeures, à l’image de Chevron, BP ou Cairn, précise le magazine. Cependant, en ce qui concerne le gaz de schiste, le voisin de l’Ouest est confronté, en plus du manque de compétences locales, au même problème que l’Algérie : la rareté de l’eau.
L’Algérie, qui détient les troisièmes réserves mondiales, s’était également engagée sur la voie du gaz de schiste, en particulier dans la région d’In Salah, au Sud. Suite à des manifestations récurrentes et parfois violentes, le gouvernement a décidé de temporiser.
TSA
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