SOUSSE, Tunisie (Reuters) - Des centaines de policiers patrouillaient dimanche dans les rues des villes touristiques de Tunisie, deux jours après l'attaque revendiquée par l'Etat islamique qui a fait 39 morts, en majorité des touristes britanniques, dans un hôtel de Sousse, au sud de Tunis.
Les autorités tunisiennes ont annoncé qu'elles allaient renforcer la présence policière à l'intérieur des hôtels.
Au moins quinze Britanniques figurent parmi les victimes, ainsi que des touristes venus d'Allemagne, de Belgique et d'Irlande.
Le ministère de la Santé a précisé que l'attaque, menée par un homme seul armé d'un fusil d'assaut Kalachnikov, a également fait une quarantaine de blessés.
"Nous allons déployer mille policiers armés afin de protéger les hôtels et les touristes", a dit le ministre de l'Intérieur, Najem Gharsalli.
Après la tuerie de Sousse, la ministre du Tourisme, Selma Elloumi Rekik, a parlé d'une "catastrophe" pour l'économie tunisienne.
"Des responsables allemands, français et britanniques nous ont informés qu'ils n'empêcheraient pas les touristes de se rendre en Tunisie mais ils veulent participer à l'enquête et réclament des mesures de sécurité", a-t-elle déclaré dimanche aux journalistes.
"Nous recevrons mardi tous les ambassadeurs pour leur présenter les mesures qui ont été prises afin de protéger les touristes", a-t-elle poursuivi.
Les agences de voyage ont déjà évacué des milliers de touristes de Tunisie.
Les autorités tunisiennes ont annoncé qu'elles allaient renforcer la présence policière à l'intérieur des hôtels.
Au moins quinze Britanniques figurent parmi les victimes, ainsi que des touristes venus d'Allemagne, de Belgique et d'Irlande.
Le ministère de la Santé a précisé que l'attaque, menée par un homme seul armé d'un fusil d'assaut Kalachnikov, a également fait une quarantaine de blessés.
"Nous allons déployer mille policiers armés afin de protéger les hôtels et les touristes", a dit le ministre de l'Intérieur, Najem Gharsalli.
Après la tuerie de Sousse, la ministre du Tourisme, Selma Elloumi Rekik, a parlé d'une "catastrophe" pour l'économie tunisienne.
"Des responsables allemands, français et britanniques nous ont informés qu'ils n'empêcheraient pas les touristes de se rendre en Tunisie mais ils veulent participer à l'enquête et réclament des mesures de sécurité", a-t-elle déclaré dimanche aux journalistes.
"Nous recevrons mardi tous les ambassadeurs pour leur présenter les mesures qui ont été prises afin de protéger les touristes", a-t-elle poursuivi.
Les agences de voyage ont déjà évacué des milliers de touristes de Tunisie.
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